La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
Payée par le fiancé, elle permet de sceller l'union entre deux familles et peut être constitué d'argent, de cadeaux ou d'un mélange des deux.
Il est des coutumes qui traversent les siècles. À Dakar, Yaoundé ou Pointe-Noire, la dot est encore souvent incontournable. Payée par le fiancé, elle permet de sceller l'union entre deux familles. Et demeure très codifiée.
La dot est un symbole fort du mariage coutumier. Elle est une grande marque de considération pour l'homme et la femme. Il paraît ainsi très important pour le jeune, appelé à découvrir sa vocation, de disposer de toute la connaissance relative cette dernière.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.
Dans le mariage traditionnel algérien, l'homme est tenu de verser à sa future épouse une dot en espèces. De plus en plus élevée, celle-ci dissuaderait de nombreux jeunes à fonder un foyer. Selon certains, la cherté de la dot est la raison principale de la hausse du taux du célibat en Algérie.
Les dots discriminent les personnes handicapées
Le système de dot désavantage les femmes qui sont handicapées ou qui ont des problèmes de santé, puisque que la famille d'un futur mari exigera souvent des paiements plus élevés pour le mariage.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée. Mais les temps ont changé.
Delhi, les magistrats déclaraient (Verghese, ibid., 177) : « La dot est un mal social dans ce pays depuis plusieurs siècles [...]. Il est grand temps de combattre ce mal au plan social comme à celui de l'État. »
1. Ensemble des biens meubles ou immeubles donnés par un tiers à l'un ou l'autre des époux dans le contrat de mariage. 2. Biens qu'une femme apporte en se mariant : Un coureur de dot.
Le mariage est également plus protecteur que le concubinage ou le pacs. En effet, il permet au conjoint survivant de bénéficier d'une pension de réversion, c'est-à-dire d'une partie des pensions de retraite dont le conjoint bénéficiait de son vivant.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
La dot n'est pas la seule forme de prestation matrimoniale. Comme chacun le sait, on observe, en gros, deux systèmes. Dans l'un, et on y range pour simplifier le cas du douaire, c'est le mari ou sa famille qui doivent apporter lors du mariage des biens ou des valeurs destinés à la femme ou à sa famille.
Pour le non initié, la dot est un procédé de négociation complexe et très formel entre les deux familles pour parvenir à une entente mutuelle sur le prix que le fiancé aura à verser pour pouvoir épouser la fiancée. Cela peut se voir comme un achat vente, mais cette coutume n'a rien de commerciale.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
Selon l'Islam, comment la dot devrait se faire ? La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
Pourvoir quelqu'un, un groupe, en moyens, en biens ; équiper : Doter le pays d'une industrie puissante. 3. Pourvoir quelqu'un d'une qualité, d'un avantage, gratifier : La nature l'a dotée d'une beauté parfaite.
Le mot s'écrit "une dot". Il vient d'un terme latin « dos, dotis » qui signifie « don », du verbe latin « do, dos, dare » = donner. La dot est un don, un cadeau. Une dot correspond à l'ensemble des biens de valeur qu'une femme (ou plus rarement un homme) apporte en se mariant.
Les valeurs du mariage, c'est l'amour, c'est la confiance, c'est surmonter les moments difficiles, ce n'est pas se promettre de s'aimer toujours, c'est se promettre de s'aimer chaque jour, jour après jour, c'est être libre d'être soi et d'être accepter comme tel, c'est être autant des amoureux, que des amis et amants, ...
Le mariage est ainsi un acte officiel et solennel qui institue entre deux époux une communauté socialement reconnue appelée « famille » (ou foyer, feu, ménage) dont le but est de constituer un cadre de vie stable, commun aux parents et aux enfants pour leur éducation.
Une fois mariés, les époux ont la possibilité d'effectuer une déclaration commune, que ce soit pour l'impôt sur le revenu, l'ISF ou encore les impôts locaux et directs (taxe d'habitation), dès leur première année de mariage.
La possibilité d'utiliser un nom d'usage est facultative et n'est pas automatique. Si vous êtes marié(e), vous pouvez utiliser le nom de votre époux(se) ou uniquement votre propre nom de famille. Il s'agit d'un choix personnel qui ne peut pas vous être imposé.
Si le couple se marie à une date ultérieure, le logement acheté sera automatiquement intégré au patrimoine commun. Il ne sera dès lors plus nécessaire d'établir un contrat de mariage, ce qui peut permettre d'économiser certains frais.
Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance. Les époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille. Ils pourvoient à l'éducation des enfants et préparent leur avenir.
Nourrie par l'expérience, l'Église indique aux couples chrétiens quels sont les piliers essentiels d'une relation conjugale heureuse et solide : la liberté, la fécondité, l'indissolubilité, la fidélité.