À chaque lavage les vêtements synthétiques rejettent des microparticules de plastique qui sont relâchées dans les océans. Le coton est aussi la principale culture consommatrice de pesticides dans le monde et sa production nécessite une grande quantité d'eau douce.
La Fast Fashion émet des gaz à effets de serre
L'industrie du textile émet 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre par an. Le travail de production massif des fibres synthétiques comme le polyester, nécessite l'extraction de pétrole. Cette extraction contribue au réchauffement climatique et émet trop de CO2.
Parmi les impacts environnementaux de la fast fashion figure également la production déraisonnée de matières synthétiques polluantes. En effet, des tonnes de polyesters sont produites par l'industrie de la mode chaque année pour alimenter en vêtements les prêts-à-porter, les garde-robes et les dressings.
Cette surconsommation de vêtement de mode est appelé « fast fashion » et est un facteur clé de la pollution causée par l'industrie textile. L'industrie textile est responsable de 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit plus que l'aviation et le transport maritime réunis.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
En prenant en compte la part d'achat sur Shein, chez les garçons et chez les filles, Pixpay a abouti au résultat de 12% et 22% respectivement. À l'échelle mondiale, la mode est déjà responsable de 10% des émissions polluantes et même de 20% des eaux usées.
Les impacts sur l'environnement
Il représente près de 20 % de la pollution mondiale de l'eau. Les déchets issus des grandes industries textiles sont déversés partout sans aucun traitement préalable. Les éléments chimiques utilisés contaminent l'eau et détruisent plusieurs organismes vivants.
LES PRINCIPAUX FACTEURS DE RISQUE ENVIRONNEMENTAUX. Il existe divers types de risques environnementaux qui peuvent être classés selon plusieurs critères : leur nature (biologique ou chimique), le vecteur d'exposition (eau, soleil) ou le lieu (domicile, travail, rue).
Quel est l'impact de la mode sur les jeunes ? La mode vestimentaire est un moyen pour les adolescents d'exprimer leur statut social, de rejoindre une communauté ou d'appartenir à un groupe. L'adolescent tente de démontrer sa personnalité ou de l'extérioriser à travers son style vestimentaire.
Selon l'Agence de la transition écologique (ADEME), l'empreinte carbone de l'industrie textile s'élèverait à 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre chaque année, ce qui représente jusqu'à 10% des émissions de gaz à effet de serre mondiaux.
De plus, cette préoccupation peut créer un mal-être, devenir obsessionnelle, et donc entraîner des séquelles sur la santé mentale. Entre la publicité et la pression sociale, les ados sont constamment exposés aux diktats de la mode.
En communication, il y a celle qui est non verbale et qui transmet un message très fort. Le « mal habillement » des jeunes filles de nos jours ne serait-il pas une autre façon de communiquer, de lancer un message et d'attirer l'attention des parents, des aînés sur leurs préoccupations ?
C'est pourquoi la mode n'est pas seulement une forme d'art mais aussi un marqueur social qui nous permet de clamer notre singularité, notre volonté de nous distinguer du groupe social auquel nous appartenons ou, au contraire, d'afficher notre appartenance à ce même groupe.
La viande industrielle en particulier est extrêmement nocive pour l'environnement : avec une alimentation à base de grains et de soja, la production de viande contribue notamment à la déforestation, à la production de gaz à effet de serre (notamment le méthane).
L'hygiène environnementale ou du travail est une discipline de la prévention qui consiste à étudier les milieux de travail dans le but d'anticiper, d'identifier, d'évaluer et de contrôler les risques pour la santé.
La pollution de l'eau, de l'air, des sols, les habitats vétustes ou les conditions de travail dangereuses sont à l'origine de multiples pathologies, notamment cancéreuses, de troubles de la reproduction et du développement.
Derrière ces vêtements à foison se cache une triste réalité : afin de produire leurs vêtements à moindre coût, les marques de fast fashion font appel aux travailleurs des pays asiatiques, où les salaires sont très bas et le rythme de travail particulièrement intensif.
La fast fashion est loin d'être sans conséquences pour la Planète. On estime aujourd'hui que l'industrie du textile figure parmi les industries les plus polluantes et est responsable de 4% des émissions de Gaz à Effet de Serre soit plus que les vols internationaux et le trafic maritime réunis.
Kiabi reste donc avant tout un généraliste qui habille toute la famille. Le succès des nouveaux acteurs de l'ultra-fast-fashion-ultra-low-cost comme Primark, Topshop ou Forever21 ont montré que la tentation des années 2010 d'aller se battre contre H&M ou Zara était une erreur.
La moitié environ des vêtements sont fabriqués en Espagne, au Portugal et au Maroc, 14 % en Turquie, Roumanie, Bulgarie et Italie. La sous-traitance en Asie (Chine, Thaïlande, Inde, Bangladesh...) représente 35 % de la fabrication.
Fondée en 2008 par Chris Xu (appelé aussi Xu Yangtian), Shein a d'abord été basée à Nanjing, en Chine. D'abord lancée sous le nom de ZZKKO selon le magazine Slate, la marque était spécialisée dans les robes de mariée.
Pourquoi mon ado veut sauver la planète mais surconsomme la fast fashion? FIGARO DEMAIN - Ils marchent pour le climat, font la morale sur le gaspillage et mangent végan. Mais, quand il s'agit de mode, ils plébiscitent les marques à très petits prix, les moins éthiques et les moins écologiques.
Le secteur de la mode emploie 75 millions de personnes à travers le monde. L'industrie du textile dite « jetable » a des conséquences sociales : exploitation des enfants, des femmes, salaires précaires et conditions de travail indécentes.