L'extension du territoire du pays et l'installation de colons juifs en Cisjordanie, partiellement occupée et administrée militairement par Israël à partir de 1967, avive les oppositions. Face à cette situation, la résistance palestinienne crée deux mouvements politiques : le Fatah, puis le Hamas.
L'année 1948 signe la nakba (« la catastrophe ») pour le peuple palestinien : la proclamation de l'État d'Israël par David Ben Gourion et la première guerre israélo-arabe, qui contraint les Palestiniens à s'exiler massivement. Cet événement marque le début du long conflit israélo-palestinien.
Les objectifs du Hamas sont de détruire Israël, de ne pas aider la population de Gaza. Cette organisation terroriste islamiste ne se soucie pas du nombre de vies palestiniennes qu'il doit sacrifier pour atteindre cet objectif.
"Une attaque préventive" d'Israël contre le Jihad islamique
L'armée israélienne a présenté son opération comme une "attaque préventive" contre le Jihad islamique, la justifiant par leurs craintes de représailles du Jihad islamique après l'arrestation de Bassem al-Saadi.
Le Hamas aujourd'hui dirigé par Khaled Mechaal, depuis son exil à Damas, se refuse toujours à reconnaître l'existence de l'État d'Israël, ainsi que les accords d'Oslo de 1993.
Cependant depuis le début des années 1990 le Hamas est largement financé par l'Iran.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
La prise de contrôle de Gaza par le Hamas fait référence à l'offensive du mouvement islamiste dans la bande de Gaza opérée entre le 12 et le 14 juin 2007 contre les attributs du pouvoir présidentiel de Mahmoud Abbas et plus généralement contre les forces du Fatah.
Notoriété Pour l'historien militaire, Pierre Razoux, « les nombreux succès [de l'armée israélienne] ont contribué à forger le mythe d'une armée israélienne toute puissante, quasi invincible. » Elle est également considérée comme l'« armée la plus puissante du Proche-Orient ».
Mahmoud Abbas est élu, le 9 janvier 2005, président de l'autorité palestinienne.
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
L'Etat d'Israël n'est pas un Etat confessionnel. Les Juifs relèvent pour la plupart du judaïsme « traditionnel » (55%), libéral ou conservateur ; 17% sont « orthodoxes » et 8% haredim (« ultra-orthodoxes »). 20% des Juifs israéliens se déclarent non religieux.
Le gouvernement marocain a accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États. Certaines villes marocaines possèdent des mellahs (quartiers juifs), notamment celle de Marrakech.
Le 29 novembre 2012 , l'État de Palestine est reconnu comme État observateur non-membre de l'ONU. En 2017, l'État de Palestine est reconnu par 136 États (70,5 % des 193 États membres que compte l'Organisation des Nations unies).
La France officielle ne reconnait pas la Palestine comme état pour la simple raison qu'historiquement parlant le moyen orient a toujours être habitait par les juifs.
L'État d'Israël, indépendant depuis 1948, n'est pas reconnu par 21 États membres de l'ONU (voir Conflit israélo-arabe).
À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
Les membres sympathisants du Fatah se trouvant à Gaza sont arrêtés et emprisonnées par le Hamas, tandis qu'en Cisjordanie, le Fatah traque, arrête et emprisonne les membres du Hamas. À Gaza, le gouvernement de facto du Hamas a créé le délit de « coopération avec Ramallah et l'Autorité palestinienne ».
Comment aider les Palestiniens ? Pour 95€, offrez un kit de secours aux familles dans les régions à haut risque. Pour 350€, fournissez de la nourriture à pas moins de 30 personnes non rassasiées depuis la tragédie.