Nous sommes naturellement dotés d'un système cognitif et hormonal capable de nous aider à maintenir notre « poids de forme », en nous signalant quand manger et quand nous arrêter. Mais la malbouffe parvient souvent à éteindre ces signaux hormonaux et cérébraux, ce qui nous fait prendre du poids.
Parce que le cerveau désire les aliments qu'il connaît, avoir constamment sous la main de la nourriture faible en calories fera en sorte que vous en mangerez plus souvent, et que vous voudrez en consommer davantage.
La dopamine continue d'être sécrétée par notre cerveau, mais les récepteurs moins productifs continuent d'en réclamer. Le corps demande alors plus de cette nourriture. Ce phénomène peut provoquer une addiction qui peut aussi entraîner des dépressions lorsque le manque se fait ressentir.
L'excès de gras, par exemple, augmente directement le risque des maladies cardio-vasculaires. Le cholestérol bouche les artères et peut provoquer un infarctus. On parle d'hypercholestérolémie quand le taux de cholestérol sanguin est supérieur à 2 g par litre (en l'absence d'autre facteur de risque).
Obésité, insuffisance cardiaque, hypertension, diabète et même cancer. La malbouffe est aujourd'hui accusée de tous les maux. Et aujourd'hui, les scientifiques affirment même qu'elle peut avoir des conséquences sur le fonctionnement du cerveau.
La malbouffe
Les conséquences de la malbouffe peuvent être dramatiques et entrainer facilement un état de fatigue permanente. Le gras, le sucre raffiné, le fait de trop manger... ce sont des ennemis à éviter car ils peuvent anéantir les défenses de notre corps, et le rendre fatigué et extrêmement vulnérable.
La personne en surpoids qui croit pouvoir mincir en mangeant des barres minceurs qui au final sont composées à 50% de sucre et d'édulcorant. Le végétarien pressé qui veut se faire des boulettes de légumes sous vide bourrées d'additifs et de sucres.
L'environnement familial contribue à expliquer le désordre alimentaire qui sévit chez les jeunes Français. 55 % d'entre eux affirment avoir grandi dans des familles où les repas étaient pris devant la télévision.
Malbouffe : graisses, sel et additifs
et pauvres en éléments de base. La restauration rapide est globalement accusée de faire de la malbouffe. Ainsi, les hamburgers, les pizzas, les frites et les sodas qui les accompagnent figurent parmi les aliments les plus représentatifs de cette junk food.
En pleine croissance, les adolescents ont des besoins alimentaires spécifiques. Veillez notamment à leurs apports en nutriments, en fer, en calcium et en vitamine D. En revanche, la consommation de produits gras ou sucrés est à limiter. Informez-les sur les dangers de l'alcool.
Les scientifiques soulignent que les aliments sont des activateurs très puissants des centres du plaisir. Selon certaines études, lors d'un bon repas la stimulation du système dit "dopaminergique" est proche de celle d'un orgasme ! Et c'est ce même système qui est activé lors de la consommation de drogues.
Le Whopper cumule forte teneur en kilocalories, en graisses et en cholestérol. Il occupe aussi la seconde place en ce qui concerne les glucides et le poids. Son taux en acides gras saturés et en acides gras trans est également l'un des plus élevés. Il constitue donc le plus mauvais de ces cinq fastfoods.
Nous consommons des aliments parce qu'ils fournissent l'énergie qui permet à notre corps de demeurer en vie. En plus de donner de l'énergie, les aliments apportent également tous les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de notre corps.
Les consommateurs plébiscitent le croustillant
Selon le Pr Spence, c'est sans doute parce que le son nous donne le sentiment de texture, et que nous l'associons alors à la qualité. "Si une pomme croque sous la dent au lieu de fondre, alors vous savez qu'elle est bonne".
Le pâte à tartiner au chocolat et aux noisettes
Truffées d'huile de palme, ce composant très mauvais pour la santé, certaines pâtes à tartiner, malgré leur goût addictif, peuvent être vraiment néfastes pour l'organisme.
Les pizzas dégoulinantes de fromage ou les frites gorgées d'huile sont devenues les archétypes de la "malbouffe". Mais il n'est pas nécessaire d'être vendu dans un fast food pour entrer dans cette catégorie.
Par «malnutrition», on entend les carences, les excès ou les déséquilibres dans l'apport énergétique et/ou nutritionnel d'une personne.
Les très faibles revenus ont une autre incidence sur les comportements alimentaires. D'une part, les personnes pauvres mangent rarement à l'extérieur. D'autre part, leurs faibles ressources ne leur permettent pas de « recevoir des parents ou des amis, pour boire un verre ou pour un repas, au moins une fois par mois ».
Le régime alimentaire marocain, de type méditerranéen, est basé sur une large consommation de céréales et de fruits et légumes. L'alimentation se diversifie progressivement, surtout pour les ménages urbains et les classes plus aisées.
Les sucres contenus dans les aliments sucrés et raffinés (soda, barres chocolatées, céréales raffinées, viennoiseries…) sont de faux pourvoyeurs d'énergie. Bien sûr, sur le moment, ils vous boostent mais gare à l'effet boomerang !
« Le manque de sommeil altère la production d'hormones régulatrices de l'appétit en augmentant la production de ghréline, une hormone liée à la sensation de faim et en diminuant le taux de leptine, associée au sentiment de satiété », expliquait il y a quelques temps la nutritionniste Isabelle Mallet dans un article du ...
Une pizza apporte 1.000 à 1.200 kcal, soit environ 200 à 300 kcal pour 100g ! La pizza est donc plus calorique que le hamburger, mais ce critère n'est pas le seul à prendre en compte pour évaluer l'impact d'un aliment sur la ligne.
Round #1 : Comparaison du nombre de calories
Le Big Mac de chez McDonald's compte un total de 508 calories, soit 229 calories par 100 grammes. Le Whopper de chez Burger King compte, lui, 670 calories sans fromage ou 730 avec fromage.