La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice.
La paix, en effet, n'est pas la simple absence de guerre, elle est une vertu qui a son origine dans la force d'âme, car l'obéissance est une volonté constante de faire ce qui suivant le droit commun de la Cité doit être fait.
La guerre est donc de ce point de vue un moteur de la paix, l'outil de la nature conduisant à la paix. Cependant cela ne signifie pas que préparer la guerre et s'en remettre à la seule Nature pour la paix suffise.
Guerre et paix constituent deux modalités des rapports entre les nations : la guerre désigne la lutte contre des ennemis extérieurs, la paix l'entente entre les peuples. et chercher le principe universel qui préside à la conduite de la guerre.
Parce que les conséquences des conflits sont vastes
Aider les gens à se confronter et à s'attaquer aux causes premières et aux facteurs de conflits, de même qu'à leurs lourdes conséquences exige un travail de concertation à moyen, voire long terme.
La guerre permet de connaître le sens profond de la vie, la vérité de toute chose. Elle initie les hommes, les révèle, elle leur révèle le monde.
Elle est principalement une donnée sine qua non au développement économique et tout ce qui en découle : culture, éducation, dynamisme… Elle est le cœur d'une économie. Sans paix il ne peut exister une économie prospère. En cela, nous pouvons dire que la paix est l'économie et que l'économie est la paix.
Clemenceau avait raison : « Il est plus facile de faire la guerre que la paix. » La Première Guerre Mondiale en citations : Prologue : la Grande Guerre, « C'est la plus monumentale ânerie que le monde ait jamais faite. » Entrée en guerre : « La mobilisation n'est pas la guerre. »
Elle fait référence à un état intérieur, empreint de calme ou de tranquillité, à l'écart de toute perturbation ou agitation. C'est la paix de l'esprit et celle du cœur.
Les opérations de maintien de la paix multidimensionnelles d'aujourd'hui ne servent pas seulement à maintenir la paix et la sécurité, mais aussi à faciliter les processus politiques, protéger les civils, aider au désarmement, à la démobilisation et à la réintégration des ex-soldats.
Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre » en français) est une locution latine. Elle représente le concept de paix armée. Devise sur le cartouche du Centre culturel des armées à Madrid.
La paix est un choix de vie où les interactions humaines se fondent sur des élans d'humanité capables d'inverser les tendances à la violence des puissants, des vindicatifs et des personnes en colère, en touchant leur cœur et leur raison. Un choix de vie à la fois individuel, collectif, économique et politique.
L'origine de cette tradition est bien sur romaine et serait due à Romain Végèce, auteur qui souligne l'importance d'une très bonne préparation des actions militaires, en opposition avec la dépendance au hasard.
Fait: La défense de la liberté, de la démocratie et de la vie elle-même s'effectue mieux avec un pouvoir non-violent. Seule une domination non démocratique sur les autres requiert la violence et la guerre.
La guerre n'est pas un problème, c'est une solution.
Comme toutes les solutions défensives, comme tous les mécanismes de défense, elle s'avère après coup peu économique que ce soit sur le plan social ou intrapsychique, et si peu efficace qu'elle doit en permanence être réutilisée, réinventée.
Le prince Basile Kouraguine réussit facilement à lui faire épouser sa futile fille, Hélène. Ce mariage malheureux lui fait mieux connaître la société dans laquelle il vit et l'en dégoûte définitivement.
Le changement climatique, le terrorisme, les cyber-attaques, la prolifération des armes de destruction massive, la pauvreté ou la criminalité transfrontière ne sont que quelques uns des nombreux facteurs de déstabilisation de la paix, conduisant parfois à des conflits violents et meurtriers dans certaines parties du ...
Conclusion : On a donc vu que préparer la guerre pour avoir la paix, réflexe déjà présent dans l'antiquité, ne permet que d'assurer une trêve provisoire et finit par déclencher la guerre.
«Battre la chamade», «un rhume carabiné», «tirer au flanc»... Le vocabulaire de la guerre ne cesse d'inspirer nos expressions.
Le maintien de la paix
L'activité de maintien de la paix de l'ONU aide les pays déchirés par des conflits à créer les conditions du retour à une paix durable. Une opération de maintien de la paix se compose de personnel militaire, de policiers et de civils.
Les conflits violents tuent de plusieurs manières: les combats font des victimes parmi les civils et les militaires, les maladies sont plus fréquentes et la criminalité vio- lente s'accroît. Les guerres entraînent des migrations massives.
En effet, la pratique du consensus promeut certaines valeurs indispensables à la paix incluant la non-violence, le respect d'autrui, la tolérance, la solidarité et l'ouverture aux autres.
Le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants, l'éducation aux droits de l'homme, le rapatriement des réfugiés et la promotion des méthodes de règlement des conflits et de réconciliation ne constituent que le début de la liste des activités de consolidation de la paix.