(Burkina Faso) (Côte d'Ivoire) (Cameroun) (Argot) (Vulgaire) Sexe de l'homme, pénis.
Le mot bangala signifie « sexe de l'homme, pénis », en particulier en parlant d'un homme à la peau noire. En français, c'est aujourd'hui un mot d'argot, l'un des nombreux mots argotiques qui sont synonymes de pénis . On le rencontre aussi sous la forme bengala .
– Populaire : biroute, bistouquette, bite, bitte, engin, outil, quéquette, queue, zob, zobi.
pisello {m} [infant.]
Étymologie. Pour la pâtisserie : Du francique lorrain et de l'alémanique alsacien schneck (« escargot »). À comparer à l'allemand Schnecke (« escargot », « limace »).
Aux États-Unis, le terme sheesh a d'abord été popularisé par le basketteur LeBron James à partir de 2017, car il l'a beaucoup employé sur les réseaux sociaux pour exprimer son enthousiasme ou bien sa surprise, dans un sens positif.
En effet, le mot « daron » renvoie actuellement au « père » et se décline au féminin avec le terme « daronne » qui renvoie à la mère. Même s'ils sont beaucoup utilisés aujourd'hui, ces mots sont loin d'être nouveaux puisqu'ils ont été employés pendant des années en France.
EXPRESSION POPULAIRE - Le mot est souvent employé comme un équivalent au nom « père ».
Étymologie de « boug »
(Nom commun 1) Des créoles antillais ou réunionnais, signifiant « gars ». (Nom commun 2) Du japonais 盆 , bon.
Daron, daronne : père, mère.
«Faible», «paix» et «pauvre type»
De l'arabe miskīn «pauvre», miskine est un terme qui a peu ou prou conservé son sens originel en passant dans notre vocabulaire. Ainsi l'entend-on souvent employé pour faire part de notre mépris et qualifier une personne pitoyable, voire pathétique.
Le mot Slay vient de l'anglais qui se traduit par "Tuer quelqu'un". Aujourd'hui, la signification a évolué pour désigner quelqu'un ou quelque chose qui étonne, qui laisse sans voix.
"Hess"vient de l' arabe "hessd", qui signifie "volonté de nuire". Employée par les jeunes, cette expression désigne le fait d'être dans la galère.
Diminutif bâti sur la base d'un redoublement de Paul, Popaul est généralement usité par l'homme auquel il est relié et sans lequel il n'a aucune capacité à exister.
Étymologie. Vraisemblablement, variante argotique de fion, ou du créole réunionnais fiaké, qui signifie « faire caca ».
Attesté depuis 2003, le terme est issu du romani, langue notamment parlée par les gitans, bohémiens et tziganes, comme l'indique le Trésor de la langue française. Il signifie «idiot», «fou» et «imbécile». Rien de très positif donc.
C'est pourtant un mot très précis dans sa langue d'origine. Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?".
Ce dicton pourrait alors se traduire par “il n'y a pas de raison de” en bon vieux français. Généralement cette expression est à utiliser lorsque vous êtes choqués, surpris, étonnés ou encore stupéfaits.
Gros, c'est une façon de dire « ami ». Tu peux aussi entendre quelqu'un qui dit : « Tu me prêtes ton téléphone gros ? » Ça veut dire : « Hé mon ami, est-ce que tu peux me prêter ton téléphone ? » Donc, « gros » est utilisé par les jeunes pour dire « ami, copain ».
(Nom commun 1) Emprunt à l'arabe maghrébin zob, zeb (« membre viril, appareil génital masculin ») (en arabe classique zubb, zubr), suivi du suffixe -ī, qui équivaut à un adjectif possessif de la première personne du singulier : zobbī, zebbī = « mon z. ». (Nom commun 2) Contraction de zetta- et de binaire.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
(Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Le mot seum , qui s'emploie surtout dans l'expression avoir le seum , est d'origine arabe, c'est un emprunt à l'arabe. Le mot d'origine appartient à la famille du mot sma , sèmm , qui signifie « venin, poison ». En arabe, par extension, il peut aussi prendre le sens de « jalousie » et de « rage ».
Dans le langage des jeunes, les « darons » ont envoyé les «vieux» aux oubliettes. Mais le terme ne date pas d'hier.