Lorsque un tel volume d'air s'échauffe, sa masse volumique diminue. Alors il s'élève. Mais il subit alors ce que l'on appelle une détente (sa pression diminue) et comme tout gaz qui se détend, il se refroidit.
La pression atmosphérique diminue quand l'altitude augmente, car la masse -- et donc le poids -- de l'air sus-jacent diminue nécessairement avec la hauteur, comprimant l'air de moins en moins.
La pression atmosphérique diminue avec l'altitude. Plus on s'élève dans l'atmosphère, moins il y a d'air au-dessus et donc moins le poids est grand. Il y a moins d'air au-dessus du niveau de 12 km qu'au-dessus du niveau de 5 km. La pression est donc plus grande au niveau de 5 km qu'à 12 km.
Le chimiste et physicien français Louis Joseph Gay-Lussac (1778-1850) a démontré qu'il existe une relation entre la pression et la température d'un gaz. Pour un volume constant et une quantité donnée de gaz, il a observé que la pression d'un gaz augmente lorsque sa température augmente, et vice versa.
L'air chaud est moins dense que l'air froid car il contient moins de molécules d'air pour un volume égal (les molécules sont plus distancées les unes des autres à cause de leur agitation plus élevée). L'air chaud étant moins dense, il monte en altitude. La densité de l'air est à la base du principe de convection.
cet air est instable. L'air chaud a un poids spécifique (densité) plus faible que l'air froid, ce qui signifie que l'air chaud est moins lourd que l'air froid. En comparaison avec l'air froid, l'air chaud aura donc tendance à monter tandis que l'air froid aura tendance à descendre.
Tout est question de pression atmosphérique. Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit. L'air perd en moyenne 1 degré tous les 100 mètres.
Quand la température du liquide se stabilise, la pression en fait de même. Et une diminution de la température du liquide entraînera une diminution de la pression, car la vapeur se condensera partiellement.
Sa masse. Plus un objet a une masse importante, plus la force gravitationnelle qu'il exerce est grande. Si la force qu'il exerce est plus grande, la pression qu'il exerce est plus grande également.
La pression atmosphérique varie d'un endroit à l'autre sur la Terre. En effet, plus on monte en altitude, plus la pression diminue. Comme l'air est plus rare à haute altitude qu'à basse altitude, on y trouve moins de molécules de gaz par unité de volume. L'air froid a une masse volumique plus grande que l'air chaud.
Quand on tire le piston, la pression de l'air diminue. Si on réduit le volume de l'air, alors sa pression augmente. On dit que l'air est comprimé. Si on augmente le volume d'air, alors sa pression diminue.
À une température constante et pour un même nombre de molécules, ils ont observé que la pression d'un gaz augmente lorsque son volume diminue, et vice versa. L'inverse est aussi vrai: une diminution du volume d'un gaz résulte en une augmentation de sa pression. Cette relation est nommée loi de Boyle-Mariotte.
Un même volume d'air (par exemple chaque respiration d'un montagnard) contient donc trois fois moins de molécules. Au-dessus de 85 km d'altitude, ces proportions se modifient, à cause du poids moléculaire des composants : les plus lourds se raréfient plus vite que les légers.
La pression atmosphérique peut être associée à la pression qu'excerce l'air sur un point donné. A un endroit précis, la pression atmosphérique est donc le poids exercé par une colonne d'air partant du sol et s'étirant jusqu'au sommet de l'atmosphère.
Pression basse en altitude
Comme la pression atmosphérique est plus élevée au niveau de la mer, c'est en principe là que l'on mesure les températures les plus élevées dans des conditions météorologiques comparables. Plus on s'élève, plus la température diminue, car la pression diminue.
Cette augmentation de vitesse entraîne donc, en vertu de la loi de Bernoulli, une diminution de la pression. L'effet Bernoulli correspond à un phénomène bien connu en physique : lorsqu'il s'écoule dans un tube, un liquide exerce une pression négative sur les parois du tube.
Nous savons que la densité de l'eau est supérieure à celle de l'air. La pression dans une colonne d'eau est donc plus élevée que dans une colonne d'air de même taille. À titre de comparaison, tous les 10 mètres de profondeur, la pression augmente de 1 atm.
La pression et le volume d'un gaz sont inversement proportionnels. Ainsi, une augmentation de volume entraîne une diminution de la pression, alors que la pression augmente lorsque le volume diminue.
Conclusion. La pression de quantité de gaz est directement proportionnelle à la température du volume réglé. Lorsque la température du système augmente, la pression augmente également, et inversement. La relation entre la pression du gaz et la température est déterminée par la loi Gay-Lussac.
La pression de quantité de gaz est directement proportionnelle à la température du volume réglé. Lorsque la température du système augmente, la pression augmente également, et inversement.
Contrairement à l'hypertension, l'hypotension n'est pas une maladie, mais plutôt un symptôme. Il n'existe donc pas de seuils la définissant "de légère à grave", mais une "cote d'alerte" lorsque la pression descend trop souvent en dessous de 10/7, y reste trop longtemps et surtout si elle s'accompagne de malaises…
À faible altitude, la pression atmosphérique baisse de 1 hPa chaque fois que l'on s'élève de 8 mètres, et la température baisse d'environ 1 °C chaque fois que l'on s'élève de 150 m (valeur ISA : perte de 6,5 °C par kilomètre, soit 1 °C pour 154 m ou 505 pieds).
Plus on monte en altitude, plus la pression diminue. Si vous gonflez votre pneumatique à une pression de 2.4 bars au niveau de la mer, la pression de votre pneumatique va augmenter au fur et à mesure que l'on monte en altitude car l'air ambiant opposera de moins en moins de résistance.
Observations : que voit-on ? Le déplacement de l'air est causé par le fait que l'air chaud a tendance à monter et l'air froid a tendance à descendre. L'air chaud monte parce qu'il a une densité plus faible que celle de l'air froid.
Cela signifie que, pendant un court laps de temps après le lever du soleil, la température continue de décroître étant donné que plus d'énergie est perdue au profit de l'espace que gagnée du soleil . Voilà pourquoi la température est à son minimum à ce moment-là.