Pourtant, la plupart des habitants de RDC n'ont pas profité de ces richesses. Une longue succession de conflits, d'instabilité, de troubles politiques et de régimes autoritaires a conduit à une crise humanitaire aussi sévère que persistante, à laquelle s'ajoutent des déplacements forcés de populations.
Pour la Banque mondiale, les trois principaux éléments qui freinent la croissance de la RDC sont : l'inefficacité de l'État. le déficit d'infrastructures. la faiblesse du secteur privé
Cette forte exposition au secteur minier la rend très dépendante de l'évolution des cours mondiaux, mais également très peu redistributive : les trois-quarts de la population sont dans une situation d'extrême pauvreté (<1,9 $/j), une situation qui s'est détériorée en 2020.
Ces problèmes énumérés, des tangibles aux intangibles, sont les suivants : 1) la population est en insécurité alimentaire ; 2) la population a un accès difficile aux infrastructures et services sociaux de base de qualité ; 3) les voies de communications sont délabrées et peu praticables ; 4) des ménages ont un faible ...
La paix et la sécurité, la valorisation de la femme, la bonne gouvernance, l'exploitation des potentialités naturelles (que présente la RDC) ainsi que la coopération internationale sont les principaux facteurs qui peuvent, selon président de la Fondation Panzi, conduire au développement du Congo.
Situation économique et sociale catastrophique, pauvreté extrême, corruption endémique, insécurité généralisée : la République démocratique du Congo (RDC) est aujourd'hui l'exemple typique de la mauvaise gouvernance économique et politique d'un pays.
Le sous-sol du Congo compte parmi les plus riches du monde grâce à ses ressources minières (diamants, cuivre, étain, cobalt, or, etc.). Le pays possède également d'abondantes ressources forestières ainsi que des sols fertiles, idéals pour l'agriculture.
La part du secteur privé (hors pétrole) reste également très faible, l'économie dépendant principalement du secteur pétrolier qui représente 70% du PIB, 90% des exportations et 80% des revenus. L'agriculture représente moins de 10% de l'économie et le pays doit importer 25% de sa nourriture.
Ces fluctuations sont dues, principalement, à la croissance de la production pétrolière (+13,2 %) dont, la contribution à la formation du PIB se situant à plus de 40 % ; la croissance des activités hors pétrole étant en dessous de 3 % en 1995 et 1996 ( contre -4,4 % en 1993 et -7,2 % en 1994).
1 Le renforcement de la capacité des institutions congolaises, à répondre de manière transparente aux besoins des citoyens, sera essentiel pour établir une légitimité. Des institutions responsables renforceront la stabilité et attireront ainsi les investissements nécessaires au pays pour sa croissance.
Pour que l'économie congolaise réussisse à dépasser ces difficultés, l'agence de notation insiste sur l'accélération de soutiens financiers internationaux. « Une aide financière extérieure d'urgence sera cruciale dans ce contexte » ainsi qu'une mise en œuvre des réformes économiques structurelles.
Voyons dans cet article les 10 hommes les plus riches du Congo-Brazza. L'homme d'affaires, à la tête de la Société africaine de recherche pétrolière et distribution (SARPD-Oil) et de la Petroleum Exploration & Production Africa (PEPA) occupé toujours la première place des hommes les plus riches du Congo Brazzaville.
Le capitalisme entraîne ainsi un blocage du développement, et la seule voie passe alors par une rupture politique, une déconnexion, selon l'expression de Samir Amin, comme par exemple la révolution socialiste en Chine en 1949, ou à Cuba en 1959 (cf.
Mauvais choix stratégiques de développement et surendettement ; Insécurité des investissements ; Insécurité alimentaire.
Le problème de chômage, de l'emploi, de la pauvreté des ménages congolais, problèmes d'accès à l'eau potable, au service de santé de qualité, au système éducatif de qualité et des infrastructures de base (routes, aéroports, ports).
Les infrastructures routières sont dégradées. Les pays africains ne se modernisent pas. Ils n'ont pas assez de compétences pour réagir face à la globalisation. Ils n'ont pas suffisamment de compétences pour réagir face aux problèmes environnementaux et sociaux.
La corruption est le principal obstacle au développement économique et social dans le monde. Selon la Banque Mondiale, chaque année 1 000 milliards de dollars sont versés en pots-de-vin tandis que quelque 2 600 milliards de dollars, soit plus de 5 % du PIB mondial, sont détournés.
La pauvreté, un niveau de santé bas et des carences en éducation sont autant de freins au développement de l'Afrique. Cependant, cette situation est très contrastée. Aux insuffisances de développement, s'ajoute une situation politique instable. L'Afrique est un continent en marge des principaux échanges internationaux.
Ces mines sont exploitées par deux grandes sociétés : la Minière de Bakwanga, dont l'État est l'actionnaire majoritaire, et la Société sino-congolaise Sacim. La première est en banqueroute en 2020, tandis que la deuxième est en forte croissance.
De manière globale, Le secteur agricole congolais est confronté à de nombreuses contraintes d'ordre technique, économique et institutionnel, qui entravent son développement et plonge les populations dans une situation d'insécurité alimentaire et nutritionnelle aigue.
Les deux entreprises chargées d'explorer le gisement sont la Société africaine de recherche pétrolière et distribution (SARPD-Oil) et la Petroleum Exploration & Production Africa (PEPA).
Moïse Katumbi Chapwe, né le 28 décembre 1964 à Kashobwe au sein de l'ethnie bemba, est un riche homme d'affaires et un homme politique de la République démocratique du Congo.
1. Moise Katumbi. Moïse Katumbi est une des personnes les plus riches du Congo. C'est un homme d'affaires et président de la plateforme « ensemble pour le changement ».
Fally est le garant de la r.d.c.