La surconsommation alimentaire constitue un problème économique, sociétal, environnemental et sanitaire. En plus d'accentuer les inégalités en termes de sécurité alimentaire, le fait de surconsommer ou de jeter des aliments participe aux émissions de gaz à effet de serre et au gaspillage des ressources naturelles.
En France, l'agriculture occupe 54 % du territoire et génère 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Les modes de production ont parfois de lourdes conséquences sur l'environnement : utilisation d'engrais et pesticides, dégradation des sols et des réserves en eau, forte consommation d'énergie...
Mais cette consommation de masse a aussi entraîné des effets néfastes sur l'homme et sur sa santé (problèmes sanitaires, marginalisation des petits producteurs, dégradations des conditions de travail, chômage dû aux délocalisations, etc.), ainsi que sur l'environnement (pollution, épuisement des ressources naturelles, ...
"Des recherches ont montré que les individus qui accordent le plus de valeur à la consommation et à la possession sont, presque toujours, moins heureux. Leur niveau d'estime de soi est plus bas, la qualité de leurs relations aussi, et ils présentent un risque plus élevé de dépression et d'anxiété", souligne-t-elle.
La surconsommation est une pratique consistant à acheter des biens périssables de manière excessive, dans un volume supérieur à la normale.
Augmentation du “poids carbone” et de l'empreinte eau
L'alimentation ainsi que la consommation de masse de manière générale requièrent l'utilisation d'une grande quantité d'eau, ce qui réduit considérablement les ressources naturelles et par conséquent la distribution d'eau potable.
Avantages et inconvénients des sociétés de consommation
La croissance économique a tendance à être plus dynamique, en stimulant autant la consommation. La population a un meilleur accès aux biens et services. Par conséquent, le bien-être général de la population augmente.
Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
Les énergies les plus consommées sont les énergies non renouvelables, elles sont polluante et ne sont pas inépuisable. Les conséquences de la pollution engendré sont divers tel le réchauffement climatique, a pollution de eaux, l'élévation du niveau des mers, la déforestation, l'extinction de certaines espèces animales.
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
La société de consommation résulte du besoin de croissance économique engendré par le capitalisme et son corollaire, l'accumulation du capital.
Le mieux est d'éviter la publicité autant que possible, en coupant le son des annonces télévisées, par exemple. Reporter l'achat. « Acheter maintenant pour profiter du spécial. » C'est l'argument de vente par excellence. Cependant, il est toujours mieux d'attendre pour réfléchir à son achat.
Qu'est-ce que l'impact négatif sur l'environnement ? Les impacts environnementaux négatifs sont les altérations de l'environnement qui nuisent à la fois à l'environnement naturel et à la santé humaine.
Selon une étude du WWF, le sucre est l'une des cultures les plus nocives pour la planète. En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
De nombreux travaux ont par exemple montré l'impact de facteurs nutritionnels sur la survenue de certains cancers, des maladies cardiovasculaires, de l'obésité, de l'ostéoporose, ou encore de troubles métaboliques comme le diabète de type 2 ou l'hypercholestérolémie.
L'impact environnemental de la fast fashion :
La contrepartie de la fast fashion, c'est une pollution massive des sols. À titre d'exemple, une culture comme le coton est très gourmande en eau, alors que cette matière est la plus utilisée dans le secteur de l'habillement (environ ¼ de la production mondiale).
L'époque de la production et de la consommation de masse commence à voir le jour avec la révolution industrielle du dix-neuvième siècle : « Le cycle I de l'ère de la consommation de masse commence autour des années 1880 et s'achève avec la Seconde Guerre mondiale.
Les altermondialistes contestent notamment la société de consommation par leur slogan : « d'autres mondes sont possibles ». Pour ces derniers notamment, il faut donc repenser la société dans son ensemble, mettre en place des alternatives viables et sortir du « monde » actuel qu'est le capitalisme.
« Consommer autrement » signifie privilégier les produits « éco-labellisés », certifiés éthiques, locaux, moins polluants. Pour 32 % des Français, il s'agit de « ne plus consommer de produits ou services superflus », et pour 16 %, de « réduire sa consommation en général ».
Limiter les déplacements en voiture, pratiquer le tri sélectif, utiliser en priorité les produits recyclables, produire de l' électricité photovoltaïque.
La relation entre consommation et bonheur semble un peu moins forte qu'entre revenu et bonheur, en Europe tout du moins. Les personnes qui consomment peu sont davantage satisfaites de leur vie que les personnes qui gagnent peu. Cela tient pour une part à ce que certaines parmi elles ont choisi un mode de vie frugal.