De jour, l'absorption du rayonnement solaire est bien supérieure à l'émission du sol à travers l'atmosphère si bien qu'au final le sol chauffe sur une faible épaisseur dizaine de centimètres. La nuit, l'absorption du rayonnement solaire n'a plus lieu et le sol se refroidit vers le ciel à travers l'atmosphère.
Le rayonnement infrarouge nocturne
La nuit, il n'y a pas de compensation, donc la terre se refroidit. Avec l'absence d'émission solaire, et donc d'apport radiatif, la terre émet un rayonnement vers l'espace (déperdition infrarouge nocturne) provoquant une baisse de la température au niveau du sol.
Une croûte refroidie, plus fragile
En dessous de celle-ci, l'énergie thermique a provoqué des événements majeurs, tels que la tectonique des plaques ou ce qui est observable aujourd'hui, des mouvements volcaniques. C'est ainsi que la Terre est dépeinte comme une planète active.
Troisième planète à partir du Soleil, la Terre n'est ni trop chaude ni trop froide pour permettre aux océans d'exister. Sa température est aussi parfaite pour favoriser la vie. Et c'est ainsi qu'elle existe depuis des milliards d'années.
L'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre - un peu plus de 23 degrés - et sa rondeur font que les rayons arrivent de façon plus diffuse en hiver qu'en été. Ainsi, la même quantité de lumière chauffe une surface plus grande en hiver. La chaleur est donc moins concentrée dans l'hémisphère Nord.
Au contraire, c'est au mois de juillet que la Terre est la plus éloignée du Soleil et au mois de janvier qu'elle en est la plus proche. La montée des températures l'été s'explique en fait par deux facteurs: l'inclinaison de la Terre, et la durée plus longue des journées durant les mois d'été.
En fait, dans l'hémisphère Nord, la Terre est plus loin du Soleil durant l'été! En réalité, la différence de température entre l'été et l'hiver s'explique par l'inclinaison de l'axe de la Terre. Si la Terre n'était pas inclinée, il n'y aurait ni été ni hiver.
Une chose sûre dans ce domaine concerne la couche d'ozone : elle absorbe les ultraviolets, très énergétiques et très nocifs. En son absence, toutes les formes de vie seraient brûlées vives à part certaines bactéries primitives.
La Terre est une planète rocheuse du système solaire. Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l'existence d'eau liquide et d'une atmosphère compatible avec la vie.
Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit.
La Terre se refroidit et son noyau se solidifie
Quand, dans quelques milliards d'années, la graine occupera une grande part du noyau, le champ magnétique terrestre s'éteindra. Privée de ce bouclier, la Terre sera irradiée par le vent solaire.
L'ellipticité trop faible fait que nous avons manqué cette période favorable pour un début de glaciation. Les prochaines périodes favorables de mise en glace auront lieu 23.000, 46.000 ou 69.000 ans après cette dernière période favorable (il ya 5000 ans approximativement), soit dans 18.000, 41.000 ou 64.000 ans.
Le Soleil n'émet pas de chaleur car il est dans le vide de l'Univers dont la température avoisine les –270°C. Pourtant il semble chauffer la Terre et ses habitants à une température qui permet l'existence de vie. En fait, le Soleil fabrique de la chaleur et de la lumière. La chaleur reste prisonnière du Soleil.
Les femmes sont plus sensibles aux écarts de température et la température à laquelle elles se sentent bien est environ 2,5° supérieure à la température convenant aux hommes.
Le soleil est omniprésent, il chauffe le sol et l'air environnant. Les températures sont donc hautes et l'évaporation importante.
Le record officiel de chaleur a été enregistré le 10 juillet 1913 à Furnace Creek, dans la fameuse Vallée de la Mort en Californie. La température de l'air a alors été mesurée à 56,7 °C. L'endroit détient même le record de la plus forte température au sol, avec 93,9 °C mesurés le 15 juillet 1972.
Ainsi, on ne sait pas encore avec certitude où sont apparues les premières formes de vie. Beaucoup de scientifiques croient que la vie a émergé dans les sources hydrothermales au fond des océans, alors que d'autres pensent que les premiers organismes ont évolué dans de petites mares chaudes avoisinant des volcans.
Tout s'est fait petit à petit. Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum !
Les premiers êtres vivants étaient de simples cellules vivantes, certainement des Procaryotes. Vers 3500 millions d'années (on a découvert que c'était plutôt 3700 millions d'années récemment) des êtres vivants très simples ont laissé des traces de leur présence.
Le résultat pour les terres émergées donne un point moyen (ou centre de gravité) situé à 1 758 km à l'est du méridien 0 (16°23 E) et 1 642 km au nord de l'équateur (14°47 N): en plein Sahara tchadien, à 300 km au NE de N'Djamena.
La structure interne de la Terre désigne la répartition de l'intérieur de la Terre en enveloppes emboîtées : principalement la croûte terrestre, le manteau et le noyau, selon le modèle géologique actuel, qui s'efforce de décrire leurs propriétés et leurs comportements au cours des temps géologiques.
Quelques années plus tard, en 1983, il dépassait les 12 000 mètres. C'est en 1989 qu'il a atteint sa profondeur finale de 12 262 mètres.
Les changements de saison sont causés par deux phénomènes. D'abord, le mouvement de la Terre autour du Soleil. Ensuite, l'axe de rotation incliné de la Terre. La Terre tourne autour d'un axe.
L'âge de la Terre est connu grâce aux méthodes de datation basées sur la radioactivité naturelle des minéraux. En datant des roches terrestres, mais aussi des météorites arrivées de l'espace, les géologues s'entendent aujourd'hui pour dire que la Terre a plus de 4,5 milliards d'années.
C'est la vitesse de la Terre qui l'empêche de « tomber » sur le Soleil (car elle est attirée par le Soleil). Sa vitesse moyenne de 29,783 km/s (ou de 107 220 km/h) a tendance à la faire quitter son orbite actuelle (sans le Soleil, elle irait « tout droit »), mais la gravité du Soleil la retient.