Accent aigu, syllabe, voyelle aiguë : Dénomination empruntée aux grammairiens latins (accentus acutus traduisant le oxeia prosôidia du grec) pour désigner l'élévation du son (équivalent en grec ancien à une quinte au maximum d'après Denys d'Halicarnasse) qui constitue le ton ou accent de hauteur .
D'où l'utilisation des accents pour distinguer les deux sons : l'accent aigu (introduit en 1530 par Robert Estienne) pour le [ę] et l'accent grave (introduit en 1532 par Jacobus Sylvius ) pour le [ẹ].
Devant une consonne double, la lettre e se prononce « è » et ne prend jamais d'accent. Exemples : la chouette, le dessin, la terre, l'antenne, la libellule. Le son [ k ] s'écrit le plus souvent avec la lettre c devant les lettres : r, a, o, u, l.
«Si le mot "anticonstitutionnellement" a toujours été le plus long de la langue française, le nouveau compte 27 lettres.»
"On met un accent grave lorsque le "e" accentué est suivi d'une consonne, elle-même suivie du son "euh"", écrit Bernard Fripiat. Si le son est différent on met un accent aigu." On écrit ainsi "lève" et "lévitation".
L'accent parisien historique reste associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant — et plus globalement des quartiers populaires dans l'Est parisien et la petite couronne —, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940, mais encore bien présent dans celui des ...
Histoire. L'emploi du tréma commence, de manière très flottante et assez rarement, dans les langues occidentales à partir du XII e siècle dans des manuscrits en anglo-normand. Il se trace comme un double accent aigu (redoublement d'un apex).
Quel est le seul mot de la langue française qui n'a pas de rime ? Eurêkoi.
Bouilloire
C'est parti ! Bingo ! Bouilloire.
“Aiguille”, “biscuit”, “aujourd'hui” sont des mots difficiles à prononcer en français. La principale difficulté vient des lettres UI qu'il faut essayer de prononcer rapidement.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Non, le u avec accent grave n'existe que dans le mot où. Je vais où tu le désires = pronom relatif. Cordialement. Effectivement, il n'existe pas d'autres mots contenant un "ù".
Accent circonflexe ou absolument Circonflexe, Signe d'accentuation en forme de V renversé (^) dont on se sert principalement pour marquer les voyelles qui sont devenues longues par suite de la suppression d'une autre voyelle ou d'une consonne qui les suivait. Âge, blâme s'écrivaient anciennement Aage, blasme.
L'accent du Sud, par exemple, vient d'une forme de français pratiquée par des Méridionaux qui parlaient autrefois (ou parlent encore, pour certains) des dialectes occitans (provençal, languedocien, gascon, etc.).
On dit que, de l'avis de Louis Pasteur, "enthousiasme" était le plus joli mot de la langue française.
Amphigourique. Un «propos amphigourique» est un propos qui n'a pas de sens; qui est confus. Ce terme vient d'«amphigouri», à savoir «discours ou écrit burlesque, volontairement obscur ou incompréhensible», ainsi que le note Le Trésor de la langue française.
Il s'agit de l'appellation chimique de la Titine, la plus grande protéine connue. Mais le mot le plus long du dictionnaire anglais serait en fait le mot « pneumonoultramicroscopicsilicovolcanoconiosis », de 45 lettres, qui désigne une maladie des poumons. Les médecins la surnomment « P45 ».
Certains mots de la langue française ne riment avec aucun autre nom commun. C'est le cas par exemple de « triomphe », « quatorze », « quinze », « simple », « pauvre », « meurtre », « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».
Tout comme une courte série d'autres mots de la langue française, le mot «belge» ne rime avec aucun autre.
acarien, adérien, Adériens, aérien, agrarien, Albérien, albertivillarien, Albertivillariens, almodovarien, Américano-Libérien, anaryens, Angèloirien, Ankarien, antiaérien, apollinarien, arien, aryen, beauvoirien, bersarien, beverarien, bévérarien, canarien, castellarien, césarien, colombarien, coronarien, cybérien, ...
Le tréma est un signe qu'on place sur certaines voyelles. Il vient d'un mot grec qui veut dire "trou". En règle générale, le tréma se place sur les voyelles ï, plus rarement sur ë, ü, pour signaler que la voyelle précédente doit être prononcée séparément.
Le ‹ ë › est d'usage assez rare en français et ne se rencontre que dans deux catégories de mots. Elle se retrouve dans certains mots où le tréma indique que la voyelle qui précède est prononcée séparément comme ambiguë ou aiguë.
Même s'il y a bel et bien deux points alignés horizontalement, le signe en lui-même, formé de ces deux points, s'appelle «un tréma». Un tréma comprend forcément deux points. On ne mettra donc pas «des trémas» sur une voyelle…