L'alcool peut notamment altérer la partie frontale du cerveau (cortex frontal), potentiellement de manière irréversible. Or, cette partie commande la maîtrise de soi et le comportement en société, ainsi que les actions ciblées, le raisonnement et la résolution de problèmes.
Selon une étude scientifique publiée dans la revue Cognitive, Affective, & Behavioral Neuroscience, cette hausse de l'agressivité serait due à des changements au niveau du cortex préfrontal, zone du cerveau qui sert entre autres à tempérer les niveaux d'agression des individus.
Altérations au niveau du cerveau
L'alcool engendre chez certains un comportement impulsif et agressif qui peut se convertir en un comportement automatique s'ils boivent trop d'alcool sur le long terme. Et il faut ajouter à cela les altérations que l'alcool peut causer au cerveau.
Les alcooliques se mentent pour défendre leur image, pour ne pas être rejetés, pour se soigner d'un problème qui ne correspond pas aux attentes de cette même société. Parfois même, ils se mentent pour se détruire face à une société qui ne les accepte pas tels qu'ils sont.
Il active des récepteurs GABA, qui ont une fonction d'inhibition neuronale. Cela induit un ralentissement de l'activité nerveuse au niveau du cortex cérébral. Il inhibe les récepteurs NMDA, qui sont essentiels à notre système nerveux et qui influent notamment sur la mémoire et d'autres fonctions cérébrales.
Consommer de l'alcool peut affaiblir certaines inhibitions psychologiques et conduire ainsi à un comportement plus ouvert ou une tendance à être plus honnête. En effet, l'alcool peut réduire les influences conscientes et émotionnelles qui pourraient empêcher quelqu'un de parler ouvertement.
un désir de consommer des boissons alcoolisées puissant, compulsif, irrésistible. le besoin de boire toujours plus pour ressentir l'ivresse. l'apparition de symptômes de manque lors d'arrêt de la consommation. une consommation persistante malgré la survenue de problèmes liés à la consommation d'alcool.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit “cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie”. On appelle cela “le déclic”.
Essayez de la maintenir éveillée et en position assise. Donnez-lui de l'eau si elle est capable de boire. Ne lui donnez aucune autre boisson, comme du café, car elles pourraient la déshydrater et l'empêcher de dégriser.
Cette volonté de faire du mal peut être due à des traumatismes liés au passé, à une volonté de revanche, ou au fait de vouloir montrer qu'on a l'ascendant sur l'autre. Il y a toujours une raison derrière un acte de méchanceté, aussi saugrenue ou incompréhensible soit-elle.
Impact des consommations d'alcool sur la personnalité : boire fait devenir anxieux, impulsif et moins agréable. Il est désormais bien démontré que plusieurs traits de personnalité sont des facteurs associés aux consommations d'alcool.
En effet, l'alcool aurait un impact direct sur notre activité cérébrale. Le lendemain de soirées, notre corps est sous pression. Il va donc créer un état de stress physiologique. C'est-à-dire que le niveau de cortisol, qui est considérée comme l'hormone du stress, va augmenter de manière significative.
Afin de rendre compte de la très forte implication de l'alcool dans les épisodes de violences, une explication théorique avancée est que l'alcool serait utilisé comme une excuse pour se livrer à des actes socialement indésirables.
La consommation excessive d'alcool provoque une atrophie du cervelet ; celui-ci n'est donc pas capable de remplir sa fonction correctement. Les troubles sont généralement limités aux jambes. La personne a une démarche irrégulière et saccadée, elle écarte les jambes, et a des difficulté à marcher en ligne droite.
L'oseille aigre
Son goût particulier la rendrait efficace pour dégoûter de l'alcool et en finir avec l'alcoolisme. Comme le gingembre, cette plante favorise la détoxification de l'organisme.
La personne alcoolique se défend alors de trop boire , et va boire en cachette . Très souvent , les proches de l'alcoolique cachent le problème vis – à – vis de l'extérieur , afin de protéger la famille .
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
Ces symptômes en eux-mêmes ne sont pas dangereux et disparaissent généralement après 7 à 10 jours d'abstinence. Après 24 heures, les symptômes de sevrage sont à leur paroxysme, après trois jours le pire est passé. Cependant, les sentiments de tristesse et l'insomnie peuvent durer plusieurs semaines.
Les paramètres influençant la consommation sont le sexe, l'âge, le niveau d'éducation, la classe socio-économique, l'absence d'activité.
Classification. Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière.
Un syndrome de sevrage de l'alcool mineur comprend des tremblements, une asthénie, une céphalée, des sudations, une hyperréflexie et une symptomatologie gastro-intestinale. Une tachycardie peut être présente et la pression artérielle peut être légèrement élevée.
Alors que la production de dopamine et d'endorphine augmente, celle du glutamate, le neurotransmetteur qui stimule l'anxiété, est bloquée. Le cerveau agit alors pour réguler ces déséquilibres, ce qui explique en partie ce sentiment de malaise que l'on ressent après avoir consommé de l'alcool.