Divisée en quatre zones d'occupation, l'Allemagne devient rapidement un lieu symbolique de la guerre froide. Le
Tout au long de la guerre froide, les affrontements entre les États-Unis et l'URSS sont nombreux mais restent indirects. Berlin est la source d'affrontement principal en Europe car il s'agit d'un îlot du bloc de l'Ouest au milieu du communisme.
La Seconde Guerre mondiale à peine terminée, l'Allemagne bascule dans une période d'antagonismes Est-Ouest. La conquête simultanée de l'Allemagne par les troupes soviétiques et anglo-américaines, qui assurent leur jonction à Torgau en avril 1945, est à l'origine de la division de ce pays durant la guerre froide.
L'année 1989, la chute du mur de Berlin constitue le symbole de la fin de la guerre froide : En 1989, confrontée à une grave crise interne, Gorbatchev annonce que l'URSS n'interviendra plus dans les démocraties populaires.
Le Mur, symbole de la guerre froide
Le mur de parpaings est édifié peu après : 45 km entre Berlin-Est et Ouest et 110 km entre Berlin-Ouest et le reste de la RDA. Le système du Mur se met en place : la bande de la mort avec ses installations enceinte d'un double mur.
En 1989, tous les autres États communistes ont remplacé leur gouvernement par un gouvernement non communiste. En novembre de la même année, le mur de Berlin, véritable symbole de la guerre froide, est finalement détruit. Après l'effondrement du mur de Berlin, c'est au tour de l'Union soviétique de s'effondrer en 1991.
Les Américains aident les pays qui combattent les Soviétiques, et l'Union soviétique soutient ceux qui luttent contre les États-Unis. On parle de « guerre froide » parce que les tensions entre les deux ennemis sont énormes, mais ils ne se combattent jamais directement.
Objectifs de l'invasion
la destruction de l'Union soviétique par la force militaire. l'élimination définitive de la menace communiste perçue en Allemagne. la confiscation de terres de qualité situées au sein des frontières soviétiques, le Lebensraum (« espace vital ») où installer les Allemands sur le long terme.
La guerre froide a rendu difficile la vie quotidienne des Allemands car leur pays était au cœur du conflit. L'Allemagne était divisée en deux, une partie ouest alliée des Etats-Unis, la RFA (République fédérale d'Allemagne) et une partie est alliée de l'URSS, la RDA (République démocratique allemande).
La Journée de l'unité allemande vient célébrer la réunification officielle de l'Allemagne, scellée par l'adhésion de la RDA à la République fédérale d'Allemagne qui a pris juridiquement effet le 3 octobre 1990.
C'est le début de la « guerre froide » qui aura pour effet de diviser l'Allemagne et de provoquer, à partir de 1948, le processus qui va conduire à la création de deux États allemands, de geler les lignes de confrontation en Allemagne et en Europe.
Le blocus de Berlin est l'une des toutes premières crises de la guerre froide.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne fut occupée par les quatre puissances victorieuses, puis partagée en deux États, d'une part la République fédérale d'Allemagne (RFA), liée au bloc occidental, d'autre part la République démocratique allemande (RDA), sous influence soviétique et intégrée au bloc de l'Est.
La guerre froide se caractérisait par un affrontement idéologique entre les deux camps, par des guerres régionales et ponctuelles et par une course aux armements, atomiques en particulier. La guerre froide a été aussi qualifiée de «paix belliqueuse» ou de «guerre limitée».
En novembre 1989, le mur de Berlin est détruit, ce qui permet la réconciliation des Allemands de l'Est et de l'Ouest. Ainsi le symbole matériel de l'antagonisme est-ouest disparaît et les Allemands font connaître leur volonté de reformer un seul et même État.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisaient de grandes manifestations, ont provoqué le 9 novembre 1989 la chute du mur de Berlin, suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la ...
La guerre froide se décompose en trois phases : La coexistence pacifique de 1947–1962. La détente de 1962– 1975. La guerre fraîche de 1975– 1985.
Chacun des deux blocs forment des alliances économiques mais aussi militaire, ainsi les membres du Bloc Occidental se regroupent au sien de l'OTAN et les pays communistes avec le Pacte de Varsovie. Ils mettent aussi en place une politique d'endiguement dont l'objectif est de limiter l'expansion de l'idéologie adverse.
L'affrontement direct entre les deux superpuissances doit être évité : le fait que les deux pays possèdent l'arme atomique ne permet pas de laisser dégénérer un conflit. C'est pour cette raison que l'on qualifie cette guerre de « froide ».
Cependant, ce sont bien les Soviétiques qui sortent vainqueurs de la bataille de Koursk. La raison principale de cette victoire est à rechercher dans la grande préparation des Russes à l'attaque. Leur système d'espionnage a en effet fait perdre aux Allemands l'avantage de la surprise.
Désespérant de vaincre l'Angleterre, le Führer décide malgré tout d'attaquer l'URSS, avec le risque d'ouvrir un double front. Il suit de la sorte un objectif qu'il s'est fixé dès le début de sa carrière politique : offrir au peuple allemand l'« espace vital » (Lebensraum) indispensable à son développement.
Le 3 septembre 1939, suite à l'agression de la Pologne, la Grande-Bretagne puis la France déclarent la guerre à l'Allemagne.
Mikhaïl Gorbatchev a reçu le prix Nobel de la paix en octobre 1990 pour son rôle dans la fin de la guerre froide et la réunification de l'Allemagne. En Russie, cependant, sa réputation ne s'est jamais rétablie parmi ceux qui le considèrent comme le responsable de la chute de l'Union soviétique.
Pour certains, le discours du premier ministre britannique Winston Churchill du 5 mars 1946, au cours duquel il explique qu'« un rideau de fer est descendu sur le continent », marque le véritable début de la guerre froide. Pour d'autres, ce conflit larvé a débuté dès la fin de la seconde guerre mondiale, en 1945.
Staline souhaitait instaurer des États qui serviraient de zone tampon en cas de nouvelle attaque sur le territoire de l'URSS. Ce désaccord a marqué le début de la guerre froide, qui ne s'est jamais exprimée en conflit armé ouvert entre les deux puissances.