Comment photographier le Blob, alors qu'il n'aime pas la lumière ? Le Blob ne survit pas à la lumière…. toutefois, il la supporte dans des doses raisonnables. Concrètement, il supporte sans problème quelques minutes de lumières réparties dans la journée.
À maturité, il disparaît en se transformant en millions de spores qu'il envoie dans l'environnement pour se reproduire, mais très peu se développeront. Le blob a deux handicaps : il n'aime pas la lumière et a besoin d'humidité en permanence. Placé sur un papier, il se dessèche en trois jours et ressemble à un lichen.
Sa nourriture favorite les flocons d'avoine ! Après les avoir mangé il les laissera ( ce n'est pas les flocons d'avoine a proprement parlé que le BloB mange mais tous les nutriments et bactéries qui les entourent). Vous pourrez constater que le Blob aime aussi de nombreuses choses, eh oui il est végan !
En fait non pas vraiment une moisissure le noir ce sont des spores, dernière étapes de la transformation d'un plasmode,sa mort mais aussi sa renaissance future en diffusant ses Spores dans la nature par le vent etc...
Endormez votre BloB afin qu'il se métamorphose en sclérote!
Pour endormir votre blob , posez le délicatement sur une feuille humide (sur un filtre à café par exemple) et dans une boîte de pétri propre.
Ainsi il est facile de le conserver. J'ai réalisé des tests sur la résistance des sclérotes au froid, les résultats sont étonnant ! Le blob USA n'a pas supporté le froid du congélateur à – 25°C alors que le blob Australien arrive à survivre jusqu'à 3 jours à cette température.
Il ne craint ni le feu, ni l'eau, peut être découpé en morceaux et peut se régénérer. Le blob présente aussi des caractéristiques des plantes, des animaux et des champignons. Les capacités de cet organisme sans cerveau étonnent.
Mais attention le blob peut mourir de froid, de chaud, de dessiccation, peut être dévoré etc... Il est immortel au laboratoire où les conditions sont idéales.
Questions extravagantes : Le blob est-il comestible ? Oui et non, il est pas très bon mais pas toxique en petite quantité.
Quel est le prédateur du blob ? Les limaces et certains petits scarabées peuvent manger le blob dans la nature.
Le blob est capable d'apprendre, de mémoriser, de trouver le chemin le plus court dans un labyrinthe ou bien d'optimiser son régime alimentaire. Il sait ainsi optimiser les distances entre plusieurs points.
Cette plante aux petites fleurs cruciformes blanches dégage une forte odeur d'ail lorsqu'on frotte ses feuilles, d'où l'origine de son nom.
Ni plante, ni animal, ni champignon !
Le Blob est aussi appelé Physarum polyséphalum. Etre unicellulaire, il n'a pas de nez, pas d'yeux et pas de bouche, et pas de jambes pourtant le blob respire, se nourrit et se déplace. Dépourvu de système nerveux, il ne ressent pas la douleur.
Tout d'abord, il prend l'aspect gélatineux lorsqu'il se nourrit. Cette forme est appelée plasmode car la cellule contient des milliers de noyaux nécessaires à son fonctionnement. Sa couleur est jaune en raison de la présence de pigments. Dans la nature, il se nourrit, entre autres, de bactéries ou de champignons.
Le blob peut changer de couleur, si vous lui donnez de la betterave à manger il deviendra rouge foncé — Photo Kevin Figuier, Aparté.com. Il est jaune et ressemble un peu à des œufs brouillés.
Lorsque les conditions sont défavorables, le blob s'assèche et rentre dans une phase de dormance. Il se transforme en sclérote. Lorsque le milieu lui sera plus favorable, il sera alors capable de sortir de son « sommeil » et de se développer à nouveau.
53 mètres et 9 centimètres : le record du monde du plus long blob battu à Châteauroux. Pendant toute une journée, des élèves du lycée Blaise Pascal de Châteauroux ont crée une spirale de blob, cet organisme vivant aux propriétés étonnantes. Avec un ruban de plus de 53.09 mètres de long, ils ont réussi leur pari !
Quelle taille peut-il atteindre ? Jusqu'à 10 mètres carrés en laboratoire, mais dans la nature, il fera au maximum un mètre carré, car il n'a pas forcément le temps et les conditions qui lui permettent de s'étendre.
Il faut le savoir: le blob dort une grande partie de sa vie.
Si on part en vacances, il suffit de le mettre en dormance et le tour est joué!
Pour peu qu'il commence à vieillir, devenant moins actif et plus sensible aux maladies, cette longue dormance lui donne un coup de jeune : le blob se réveille frais comme un gardon, plus vif et résistant. Plusieurs cycles peuvent se répéter ainsi, si bien qu'on ne connaît pas de mort naturelle au blob.
Un organisme unicellulaire qui ne meurt pas
Lorsqu'il est coupé en deux, le blob ne meurt pas, il est même quasiment immortel. Quand il est endormi, il se régénère et ne vieillit pas. "Les enfants sont fous du blob. Tous les jours c'est "qu'est-ce qu'on fait avec le blob".
En sous-bois, sur le bois mort, les vieilles souches, dans les feuilles mortes (milieux biologiquement riches), il trouve facilement de quoi se nourrir.
Tous les jours, on écarte les restes de repas de Blobi et Bolga avant de changer leur gelée (comptez quinze minutes). Le meilleur outil est… le couteau à beurre. Sauf qu'à chaque manipulation, on tranche un petit bout de la créature avec une pointe de culpabilité.
Parmi ses capacités, des chercheurs toulousains ont déjà démontré que grâce à l'apprentissage il pouvait apprendre et mémoriser. Une nouvelle confirme cette possibilité que le blob emmagasine des souvenirs sur de brèves échéances grâce à son système veineux.