POURQUOI LE DIABÈTE AUGMENTE-T-IL LE RISQUE D'AVC ? Le diabète contribue au durcissement des artères (athérosclérose), ce qui augmente le risque de formation de caillot sanguin ou de rupture d'un vaisseau sanguin.
Le diabète est un important facteur de risque des maladies cardiovasculaires et est reconnu comme un facteur indépendant de risque de l'AVC ischémique. Le risque d'AVC est 50 % plus élevé chez les personnes diabétiques.
Chez le diabétique, une hypoglycémie ou une mononeuropathie aiguë peuvent mimer un accident vasculaire cérébral (AVC). À la phase aiguë d'un AVC, une hyperglycémie est présente dans plus de 40 % des cas. Elle peut être rattachée à un diabète antérieurement connu ou non, ou à une réaction de stress.
Le diabète et l'atteinte des artères cérébrales
À la longue, les parties du cerveau qui sont mal irriguées ne reçoivent plus assez d'oxygène pour fonctionner normalement (on parle d'ischémie), et les tissus risquent d'être endommagés.
Après un AVC, les personnes ayant des niveaux élevés de sucre dans le sang ont une mortalité augmentée, indépendamment de leur âge, de la gravité de l'AVC ou du type d'accident vasculaire cérébral (AVC). L'insuline peut réduire le taux de la glycémie.
Les principaux signes avant-coureurs et symptômes d'un AVC comprennent : une faiblesse d'un seul côté de votre corps. un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres.
« Le déterminant le plus important de la survie à long terme était l'âge au moment de l'AVC », indiquent les auteurs. « Dans le groupe d'âge de 65 à 72 ans, 11 % ont survécu 15 ans après l'AVC. Dans le groupe d'âge moins de 65 ans, 28% ont survécu 15 ans ».
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Le coma hypoglycémique, le cas le plus fréquent
Ils apparaissent autour de 0,60 g/l de sang ; Ensuite, à 0,40 g/l des signes neurologiques apparaissent, le diabétique devient confus, irritable, les personnes de son entourage peuvent alors déceler un changement de comportement ; Au-delà, c'est la perte de conscience.
Un accident vasculaire cérébral (AVC), également souvent encore appelé « attaque », survient lorsque la circulation sanguine vers ou dans le cerveau est interrompue par un vaisseau sanguin bouché (AVC ischémique le plus fréquent) ou par un vaisseau sanguin rompu (AVC hémorragique), dans moins de 15% des cas.
La fièvre constitue dans la plupart des cas une conséquence de l'AVC ischémique. Cette fièvre est le plus souvent liée à une complication infectieuse, surtout bactérienne. Elle peut parfois témoigner d'une complication non infectieuse, comme les com- plications thrombo-emboliques : phlébite ou embolie pulmonai- re.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Il est cependant difficile d'identifier la raison de ce refus. L'une des raisons et probablement la principale, serait le risque potentiel de transmission d'une maladie du sang au receveur, puisque la personne qui vit avec le DT1 fait l'usage d'aiguilles de façon plus ou moins quotidienne.
S'il n'est pas dépisté, ou si le taux de glucose n'est pas contrôlé, le diabète peut alors déclencher de graves problèmes de santé au niveau du cœur, des vaisseaux sanguins, des reins, des yeux, du système nerveux… Les maladies cardiovasculaires sont de 2 à 4 fois plus fréquentes chez les diabétiques.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Des études ont montré que le risque d'AVC ischémique était augmenté par la prise d'antipsychotiques, médicaments aux propriétés antidopaminergiques[2] communément prescrits en psychiatrie.
Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladies du cœur et d'AVC.