Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Les druides avaient fait du gui le symbole de l'éternité du monde et de l'immortalité de l'âme, et lui attribuaient des vertus curatives. Aujourd'hui, le 31 décembre à minuit, la coutume veut que s'embrasser sous une boule de gui serait gage de prospérité et de longue vie.
La plante devait rendre les récoltes plus abondantes et les femmes fécondes. Le gui faisait éloigner aussi le mauvais sort .
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
C'est donc plus tard, au XVIIIe siècle, que les Anglais ont importé chez nous cette coutume de s'embrasser sous une boule de gui le 31 décembre à minuit, afin de se placer sous de bons auspices et que l'année soit propice.
La mandragore (Mandragora officinarum) fait partie des plantes réputées "magiques" avec une telle ampleur qu'aucune autre plante n'a pu rivaliser : grâce à toutes sortes de maléfices, elle laissait croire qu'elle pouvait guérir de nombreuses maladies et qu'elle conférait des pouvoirs spécifiques.
Si le Breton moderne nomme le gui “uhel varr”: “haute branche”, les autres langues celtiques, comme l'Irlandais ou le gaélique d'Écosse ont gardé dans le vocabulaire populaire la tournure “qui guérit tout”. Plante médicinale, le gui a des vertus antispasmodiques et diurétiques.
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Le gui, un végétal parasite propagé par les oiseaux
Résistant aux sucs digestifs, les graines rejetées par l'oiseau adhèrent aux branches de l'arbre. En effet, la tige du gui y adhère grâce à un suçoir qui pénètre dans l'écorce. Le gui se propage ensuite au reste des branches avec la multiplication de ses bourgeons.
Le Gui est une plante dépourvue de racine qui vit dans les arbres et qui prend, au fil des ans, l'apparence d'une grosse boule. Plante parasite, le gui s'installe dans de nombreux arbres de nos régions comme l'aubépine, le robinier, le saule pleureur, le pommier, le tilleul et surtout le peuplier.
Pour le houx, c'est donc un bouquet de quelques branches, en évitant d'arracher salement les tiges de l'arbre. « C'est de la sensibilisation. Mais tout prélèvement intensif et trop volumineux peut faire l'objet d'une amende », prévient-on à l'ONF. La vente de houx sauvage est par ailleurs proscrite sur les marchés.
A noter que dans plusieurs départements, le houx commun (Ilex Aquifolium) et le petit-houx (Ruscus Aculeatus) sont des espèces végétales protégées. L'interdiction de cueillette peut donc faire l'objet d'arrêtés préfectoraux spécifiques. La vente de houx sauvage est proscrite sur les marchés.
Un symbole d'immortalité
Le gui était pour les Gaulois le symbole de l'immortalité. Une fois par an, au solstice d'hiver, le gui était vénéré chez les druides vêtus de blanc qui le coupaient avec une serpe d'or pour accomplir une fête solennelle sur un chêne, le plus sacré des arbres.
Accrochez un bouquet de gui à votre porte
La tradition de suspendre du gui à la porte du foyer, promesse de fertilité, vient des Celtes. De là l'expression "que le blé germe" est devenue "au gui de l'an neuf" pour se souhaiter la bonne année.
D'autres plantes comme le Ginkgo biloba, le Thé vert, la spiruline ou la griffe de chat ont aussi des vertus contre le cancer en diminuant les cellules cancéreuses.
L'hévéa, aussi appelée plante à caoutchouc, est considérée comme une plante porte-bonheur car ses feuilles rondes dénotent la richesse, la chance et la prospérité selon les principes du Feng shui. Placez-la dans l'entrée ou sur votre bureau pour attirer argent et succès.
Camptotheca acuminata – Arbre du bonheur.
Échanges passionnés des premiers temps de l'amour, nos effusions labiales s'espacent parfois avec les années. Pourtant, s'embrasser, c'est bon pour le moral mais aussi pour la santé, assurent les spécialistes.
Si l'on se réfère à la Bible, c'est pour échapper aux soldats d'Hérode que Marie et Joseph se sont cachés, avec l'enfant Jésus, dans un buisson de houx. C'est l'une des raisons pour lesquelles le houx ornerait nos maisons depuis fort longtemps. Il s'agit également d'un symbole de protection à Noël.
Ou trouver du gui ? Le gui prospère surtout sur les pommiers, peupliers, trembles, aubépines, saules, robiniers, tilleuls… rarement sur poiriers, noisetiers, frênes, cerisiers…plus rarement sur noyers, chênes, ormes… Jamais sur hêtres platanes, châtaigniers….