Les biscuits tirent leur origine des dypires, ces pains-galettes grecs cuits deux fois. C'est au Moyen Âge que les marins, qui fabriquaient à bord des navires ces galettes plates, faites de farine, d'eau, de sucre ou de sel, et parfois d'oeufs, leur donnèrent le nom de «bis-cuits».
Étymologie. Le mot est le résultat de l'évolution linguistique du terme « bescuit » de l'ancien français, issu lui même du préfixe bis- et -cuit, bis cotus en latin, signifiant donc « cuit deux fois ».
LES EGYPTIENS SONT A L'ORIGINE DU BISCUIT
Ils ajoutent du miel au pain pour mieux le conserver, mais ils décidèrent de le cuire deux fois plus longtemps. C'est ici que l'on retrouve l'étymologie du mot « bis-cuit » : cuit deux fois.
Historique. Le biscuit est nommé d'après La Joconde de Léonard de Vinci. Sa recette est mentionnée dans Le Mémorial des glaces de Pierre Lacam, publié en 1899.
À l'origine, les biscuits à la cuillère étaient de forme ronde. Ces biscuits bien particuliers, doivent leur nom à la manière dont ils étaient moulés. En effet, au 17ème siècle, les pâtissiers confectionnaient la pâte et la dressaient sur une plaque de cuisson à l'aide d'une cuillère.
Le boudoir, parfois appelé biscuit champagne, est un biscuit sec et croquant, de forme allongée, et saupoudré de sucre cristallisé.
Le biscuit à la cuillère, officiellement créé par Marie-Antoine Carême au XVIIIe siècle, est souvent utilisé pour réaliser charlotte, tiramisu ou simplement boudoirs pour le thé. Cette recette de biscuits à la cuillère sera parfaite pour toutes vos créations.
La religieuse est ainsi nommée, car la couleur des choux faisait penser à la robe des religieuses des couvents. C'est le Signor Frascati, glacier d'origine napolitaine, qui propose à la clientèle de son café parisien en 1856, cette gourmandise sucrée. Le succès est immédiat.
Le terme apparaît pour la première fois dans le dictionnaire Larousse en 1904. Selon la légende, elle a été nommée ainsi car la couleur de son glaçage rappelait celle de la robe des religieuses.
La pâtisserie remonte à plus de 7 000 ans et c'est chez les Grecs que l'on retrouve le premier gâteau préparé. Ce gâteau s'appelant « obélias » signifie « offrande », une pâtisserie qui sert à faire des offrandes aux dieux grecs.
Les Français sont friands de biscuits en tout genre : ils en mangent en moyenne 8kg par an, soit l'équivalent de 40 paquets. Leurs préférences sont nettes : LU caracole en tête, suivi de Prince, Granola, Milka, Belvita, Oreo et Mikado.
Depuis sa création en 1912, près de 500 milliards d'exemplaires de ce cookie ont été écoulés à travers le monde.
Aux origines du biscuit
Le mot bis-cuit, cuit deux fois, nous vient de cette pratique alors nouvelle. Au temps du Moyen Âge, on pratique toujours la double cuisson pour les galettes, mais on commence à y ajouter des épices, de la cannelle, ce qui se trouve à ce moment pour ajouter un peu de goût.
– le petit-beurre mesurait à l'origine 7 cm, 1 cm par jour de la semaine. – ses 52 dents symbolisent le nombre de semaines de l'année. – Les 4 coins du biscuit représentent les saisons. – Et les 24 petits points présents en surface figurent les 24 heures de la journée.
Le Petit-Beurre compte en effet 52 dents (en comptant les quatre grosses aux angles coins), ce qui représente les 52 semaines de l'année. Les quatre « oreilles », elles, symbolisent les quatre saisons. Et les 24 points qui le perforent évoquent les 24 heures de la journée.
Une religieuse, moniale ou sœur, est une personne membre d'une communauté religieuse féminine, qui accepte d'obéir aux vœux de pauvreté, chasteté et obéissance. Dans le langage courant, elle était anciennement qualifiée de nonne, ou familièrement bonne sœur lorsqu'elle travaille dans la santé ou l'assistance à autrui.
D'après Jacques Montandon, l'expression "religieuses" serait due au fait que des religieuses, au début du XXe siècle, quand elles visitaient des familles, leur demandaient de mettre de côté ce qui n'était pas utilisé en cuisine, dont les croûtes du fromage. Elles auraient utilisé ces dernières pour leur gratin.
Cette friandise ancienne typique est usuellement nommée « tête de nègre » dans la gastronomie du Nord de la France. Les commerçants la remplacent souvent par une pâtisserie nommée « boule meringuée au chocolat », « boule choco », « arlequin » ou d'autres noms encore selon les régions.
pâtissier / pâtissière - Onisep.
Définition de religieux
Le mot “Pâtissier” est attesté pour la première fois en 1278 et s'écrivait “pasticier”, avant de rejoindre l'orthographe actuelle en 1617. Il fait alors référence à tout ce qui se fait avec de la pâte, d'où notamment les pâtés, mais aussi les tourtes que préparaient aussi les pâtissiers jadis.
Le mot « boudoir » apparaît dans un poème de Jean-Antoine Du Cerceau en 1726 et est véritablement défini pour la première fois dans le Dictionnaire de l'Académie française en 1740 comme « un petit cabinet où l'on se retire quand on veut être seul ».
Le boudoir est aussi appelé biscuit de Champagne, car il accompagne souvent cette boisson. Deux chefs peuvent prétendre à son invention : celui d'Amedeo VI de Savoie qui l'aurait créé pour Charles IV de Luxembourg. Et le grand Antonin Carême, au 18e siècle, pour satisfaire Talleyrand.
D'après les fabricants eux-mêmes, "les biscuits et gâteaux sont majoritairement consommés au goûter pour 55% des enfants (contre 28% des adultes) et au petit-déjeuner pour 35% des adultes (contre 32% des enfants)".