Le Petit Prince raconte qu'il fut malheureux parce qu'il avait accordé plus d'importance aux mots qu'aux actes de la rose. Une leçon sur l'amour, plus nous éprouvons des sentiments envers une personne et plus il sera difficile de faire la part des choses entre les mots et les actes.
Toujours en quête d'amis, le petit prince arrive sur Terre, et c'est encore la solitude et l'absurdité de l'existence qu'il va découvrir comme sa rencontre avec le serpent. Enfin, il arrive dans un jardin de roses. Il se rend alors compte que sa fleur n'était pas unique et devient bien malheureux.
Apprivoiser, aimer, se séparer…
Le Petit Prince comprend qu'en apprivoisant, il arrive à faire sortir de la « masse » un être qui devient, pour lui, « unique au monde ». Par ces mots Saint-Exupéry veut nous faire comprendre que nos yeux seuls ne peuvent pas percevoir la singularité d'un individu, d'une chose.
Or il y avait des graines terribles sur la planète du petit prince... c'étaient les graines de baobabs. Le sol de la planète en était infesté. Or un baobab, si l'on s'y prend trop tard, on ne peut jamais plus s'en débarrasser. Il encombre toute la planète.
Le Petit Prince n'est pas dupe et trouve ce personnage, assoiffé d'un pouvoir inexistant, étrange. Le vaniteux, coiffé d'un étrange chapeau, se voit comme le plus beau, le plus intelligent de sa minuscule planète.
Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c'est fatigant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications ».
Le Petit Prince nous réapprend à utiliser notre imagination. C'est une histoire qui veut nous faire oublier ces choses de grandes personnes, très sérieuses et très importantes, qui ont remplacé tout ce qui était évident quand nous étions enfant comme l'amour ou l'imagination.
«Quand nous prendrons conscience de notre rôle, même le plus effacé, alors seulement nous serons heureux. Alors seulement nous pourrons vivre en paix et mourir en paix, car ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.»
Le Petit Prince est le livre le plus traduit au monde après la Bible. C'est très loin d'être un hasard… Sublime parabole de notre insouciance perdue, ce dernier a encore tant à offrir. De ses citations cultes à ses leçons de vie, sa rose, son renard…
Le renard apprend au petit prince qu'apprivoiser signifie créer des liens et devenir unique l'un pour l'autre. Par analogie, le petit prince comprend qu'il a, lui aussi, été apprivoisé par quelqu'un d'autre, en l'occurrence la rose.
Le renard explique ce que signifie apprivoiser : c'est créer des liens, et devenir unique l'un pour l'autre, parmi cent mille autres : « – Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi.
Il renonce à son enveloppe corporelle qui n'est pas l'essentiel, mais son âme rentre chez lui. Ce n'est pas un suicide au sens propre du terme. Oui je le voyais comme Kilmeny, une sorte de renoncement du corps mais l'âme qui rejoint quelque chose de fabuleux, l'essentiel ...
Prendre du temps pour soi est la clé du bonheur
A chaque minute, il doit allumer puis éteindre son réverbère. Chaque minute est un jour pour lui. Il n'a jamais le temps de se reposer ni même de dormir. La leçon de vie: Il faut apprécier chaque instant qui passe, profiter de la vie.
Le Petit Prince, tombé d'une autre planète, rencontre un homme, seul au milieu du désert en train de réparer son avion, et lui demande: «S'il vous plaît... Dessine-moi un mouton...» Le mouton dessiné ne sera jamais celui qu'il faut, une caisse prendra sa place sur le papier, et le Petit Prince sera ravi du mouton qu'il ...
Le Petit Prince est empreint d'une dimension satirique, que l'on retrouve souvent dans les contes philosophiques. Le regard naïf du Petit Prince sur le monde permet de mettre à jour les problèmes de la société, et de critiquer ce qui ne va pas.
Irritable et agressive, la rose fait de son mieux pour «lui infliger ... des remords» chaque fois qu'elle en trouve le motif. Il n'est pas surprenant que le prince commence à lui en vouloir et devienne malheureux ; il trouve sa rose «bien compliquée» et commence vite à douter d'elle.
Mais pourquoi le Petit Prince est si célèbre ? Parce que tout le monde peut s'identifier à lui : enfants et adultes. C'est un petit garçon qui vit seul sur une planète lointaine. Amoureux d'une rose très capricieuse, il part en voyage sur d'autres planètes à la recherche d'amis.
Quand l'aviateur découvrit le serpent, il fit un bond et tirant son revolver, il s'élança pour le tuer. 5./ Pourquoi le petit prince prend-il rendez-vous avec un serpent ? Le petit prince prend rendez-vous avec un serpent car il souhaite se faire mordre et ainsi retourner sur sa planète.
Le Petit Prince est une excellente option pour commencer à lire. Les enfants qui lisent dès leur plus jeune âge - entre 2 et 5 ans - ont tendance à mieux réussir sur le plan scolaire.
C'est le "temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante". Le renard avait un secret à avouer au Petit Prince : "On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux." Tout le monde connaît cette phrase qui s'applique autant à l'amitié qu'à l'amour.
1. Quel est le secret du petit Prince ? Le secret du petit Prince est la protection d'une fleur unique.
Quand il allume son réverbère, c'est comme s'il faisait naître une étoile de plus, ou une fleur. Quand il éteint son réverbère ça endort la fleur ou l'étoile. C'est une occupation très jolie. C'est véritablement utile puisque c'est joli.
Sans doute l'auteur pense-t-il à l'état de la planète Terre ravagée par la guerre tandis qu'il écrit "Le Petit Prince". "J'ai été dominé par le sentiment de l'urgence." : le narrateur a senti qu'il était essentiel, vital de mettre en garde les enfants de la Terre contre le danger des baobabs.
La découverte d'une rose l'amène par exemple à découvrir l'ego et l'orgueil, mais aussi les tourments que peut entraîner l'amour, illustrés par les épines qui ornent la tige de la fleur vaniteuse.
Dans le conte de 1943, traduit dans 318 langues, le petit garçon blond comme les blés, qui demande au narrateur de lui dessiner un mouton, meurt mordu par un serpent : « Il n'y eut rien qu'un éclair jaune près de sa cheville.