La Torah interdit la consommation de porc, et les règles alimentaires juives stipulent que les animaux terrestres doivent avoir des sabots fendus et ruminer pour être considérés comme casher. Le porc ne répond pas à ces critères, car il a un sabot non fendu et ne rumine pas.
Eh bien, non : la religion chrétienne n'interdit pas aux chrétiens de manger du porc ni quoi que ce soit d'autres. Il n'y a aucun interdit alimentaire à caractère religieux dans le christianisme.
Dans l'islam, le porc est considéré comme impur (haram) en raison de son statut théologique. Selon les enseignements islamiques, le porc est associé à des caractéristiques négatives et est considéré comme un animal impur. L'interdiction de sa consommation est donc une façon de se purifier spirituellement.
Le porc possède deux des trois caractéristiques : un pied fourchu et de la corne fendue (sur le pied), mais n'est pas un ruminant.
En termes de boucherie, seuls les ovins, bovins, caprins et camélidés peuvent être halal, ainsi que les chevaux, les lapins et certaines volailles. Ce n'est pas le cas de la viande de porc.
Lévitique 11:7-8 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts : vous les regarderez comme impurs. »
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
- les animaux qui se meuvent sur le sol (reptiles, batraciens, invertébrés) (Lévitique XI, Pentateuque 1978). «Voici les animaux que vous pouvez manger parmi toutes les bêtes qui vivent sur terre : tout ce qui a le pied corné et divisé en deux ongles parmi les animaux ruminants, vous pouvez les manger ».
Ruminants à sabots fendus...
La religion juive ne permet que la consommation de quadrupèdes ruminants à sabots fendus et des oiseaux herbivores. Sont exclus: le porc, l'âne, le cheval, le chameau et le lapin. Pour les poissons, le casher les veut de mer ou de rivière « munis d'écailles et de nageoires ».
L'esturgeon, qui perd ses écailles lors de l'accouplement, n'est pas casher, ni la lotte, le silure, la raie, l'anguille ni aucun fruit de mer (crevette, langouste, homard, huître, moule, etc. ).
Il semble que le Coran comporte peu d'interdictions alimentaires. Mais, parmi les plus sévères, figure l'interdiction de manger de la viande de porc et de chameau. De plus, s'ils ne peuvent pas manger de porc, il est aussi interdit aux musulmans de les approcher.
Dans les pays musulmans, la consommation de porc est généralement interdite en raison des enseignements de l'islam. Selon les préceptes de l'islam, le porc est considéré comme "haram", c'est-à-dire interdit.
7 Vous ne mangerez pas le porc, qui a des sabots fendus mais qui ne rumine pas : vous le considérerez comme impur. 8 Vous ne mangerez pas de leur chair et vous ne toucherez pas leur cadavre : vous les considérerez comme impurs.
On peut supposer que Jésus a mangé de l'agneau à Pâque durant sa vie, puisque c'était la pratique habituelle. » M. Tabor voit plutôt la Cène de manière allégorique. « Jésus, en proposant de manger son corps, demande de s'abstenir de manger de la viande, de remplacer l'agneau pascal par l'eucharistie. »
L'Église de Dieu (Septième Jour) respecte l'ensemble des interdictions alimentaires telles que données en Lévitique. Quant à eux, les Adventistes du Septième Jour condamnent la consommation de viande de porc et conseillent même le végétarisme, mais sans l'imposer.
Les animaux impurs
Correspondent à ces critères le porc, le chameau, le lion, l'ours, l'éléphant, le singe, la chauve-souris, le hérisson, le lièvre et reptiles de type lézard et tortue.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3).
L'homme doit porter, pendant l'amour, un châle de prière, le Tzitzis. La femme garde une pièce de vêtement léger qu'elle retrousse. La masturbation est absolument interdite puisque la semence ne doit pas être perdue. Éjaculer en pure perte est considéré comme un péché.
Pour l'abattage casher, le sacrificateur juif récite une bénédiction qui signifie « Béni sois-tu... Qui nous as sanctifiés par tes commandements et nous as ordonné l'abattage ». une seule bénédiction suffit pour l'abattage de plusieurs animaux.
La loi juive (halakha) interdit en effet de consommer du porc (parce qu'il a le sabot fendu sans être un ruminant) mais aussi les insectes et toute une liste de volailles (autruche, mouette, cigogne…) ainsi que l'ensemble des coquillages et crustacés (parce qu'ils n'ont pas d'écailles ou de nageoires).
Hamin, dafina ou cholent, le plat qui régale les Juifs depuis des siècles - The Times of Israël.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
Selon la loi juive, l'animal doit être vivant, en bonne santé et ne doit souffrir d'aucune blessure au moment de l'abattage. Dans le cas contraire, il est déclaré impropre à la consommation. L'étourdissement et l'anesthésie sont proscrits, car ils rendent l'animal impropre à la consommation (nevela).
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
L'interdiction de consommer de la viande de porc remonte aux textes bibliques fondateurs, communs aux trois grandes religions du Livre ; elle est explicite dans le Pentateuque, que les Juifs nomment la Torah (rédigée entre le IXe et le ivc siècle avant J. -C), et plus précisément dans le Lévitique et le Deutéro-nome.