Selon Haïm Korsia, c'est un signe de « soumission à Dieu », et non de « reconnaissance ». Plus généralement, la kippa permet au Juif d'afficher son humilité et son respect à travers sa croyance pour sanctifier le Nom de Dieu (voir yarmulke défini supra).
C'est comme une conscience permanente qu'il y a quelque chose au-dessus de nous, la kippa représente symboliquement cette présence au-dessus de nos têtes. C'est comme si on avait besoin de nous souvenir qu'il existe plus grand que nous, qu'il existe un au-delà de nous.
La kippa rappelle la modestie inhérente à chaque être humain. » Pour le grand rabbin de France, Haïm Korsia, c'est bien un signe « de soumission à Dieu », et non « de reconnaissance ». Aujourd'hui, la tradition veut que les juifs portent une kippa, ou en tout cas se couvrent la tête, à l'intérieur d'une synagogue.
Pour faire tenir la kippa, il faut la fixer aux cheveux. Cela se fait en général à l'aide d'une (ou plusieurs) barette(s) semblable à celles qu'utilisent les femmes pour fixer leur coiffure, mais d'une forme spécifique, allongée et triangulaire.
Description. Le schtreimel est un chapeau de fourrure à large bord fait de treize queues, en règle générale, de zibeline canadienne ou russe, parfois de martre, fouine ou même de renard gris américain. Ces treize queues sont censées représenter les treize aspects de la miséricorde divine.
Aujourd'hui, obligatoirement, tout homme pénétrant dans une synagogue ou tout Juif priant portera une kippa (par mesure de piété) ou le couvre-chef de son choix. Cependant, il n'y a pas d'obligation pour un Juif de son port au quotidien.
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Traditionnellement, les petits garçons portent un talith katan à partir de l'âge de trois ans. Techniquement, le port des tsitsit est une mitsva de jour. Mais, d'après la kabbalah, les tsitsit devraient être portés même pendant le sommeil nocturne.
Mais les Tefiline doivent être mis avant le coucher du soleil. Les lanières, tant du bras que de la tête, doivent toujours être placées le côté noir vers l'extérieur. On ne doit pas s'interrompre par la conversation ou par des gestes pendant que l'on est occupé à mettre les Tefilines.
Pourquoi on ne peut pas toucher d'objets électriques pendant Shabbat ? L'interrogé rappelle que Shabbat est un jour de repos. Plus précisément, il s'agit d'un jour pendant lequel il faut se couper du reste de nos habitudes.
Mais existe-il des différences entre les kippas ? Certaines sont en velours noir, plus classiques, plus grandes pour recouvrir toute la tête. D'autres sont en soie blanches, destinées davantage aux fêtes comme les mariages et aux Bar Mitsvah.
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu.
Les juifs les portent accrochées aux quatre coins de leur vêtement (en générale une petite cape blanche) pour la prière et sont ainsi invités à méditer le nom de Dieu et les commandements.
Les Juifs observants portent des vêtements munis de tsitsit afin de se conformer à une prescription biblique. Dans le judaïsme orthodoxe, le tsitsit n'est porté que par les hommes.
On n'exige pas, le Chabbat, un uniforme de cérémonie. En revanche, on veut éviter la catégorie beit (« B »), réservée aux classes, à l'entraînement et aux opérations de terrain.
Chez les juifs orthodoxes, les papillotes, ces bijoux de la chevelure, s'imposent de soi alors que les femmes, dès le mariage, sont obligées de se raser la tête faisant le deuil de leurs cheveux dont on sait quel attribut séduisant ils représentent.
Selon la loi juive, une femme et une jeune fille, dès l'âge de trois ans, doivent s'habiller correctement, c'est-à-dire couvrir les clavicules, les épaules, les bras jusqu'au coude (inclus), les jambes. Elles porteront des jupes ou robes couvrant les genoux même lorsqu'elles sont assises.
Le pantalon et la veste noirs portés sur une chemise blanche seront la tenue de tous les jours pour d'autres croyants qui couvriront aussi leur tête d'un chapeau toujours noir du style Borsalino.
La loi halal exige que l'on prie à Allah avant ou pendant l'abattage de chaque animal, mais la loi kasher ne requiert pas de prière avant chaque abattage. Un shochet, ou un rabbin spécialement formé, doit abattre l'animal, tandis que tout adulte musulman, chrétien ou juif peut l'abattre en vertu de la loi halal.
La loi juive (halakha) interdit en effet de consommer du porc (parce qu'il a le sabot fendu sans être un ruminant) mais aussi les insectes et toute une liste de volailles (autruche, mouette, cigogne…) ainsi que l'ensemble des coquillages et crustacés (parce qu'ils n'ont pas d'écailles ou de nageoires). "
Une légère différence dans les méthodes d'abattage
La viande kasher est effectivement kasher, tandis que la viande halal n'est pas kasher. La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif.
La signification de l'étoile à six branches dans le judaïsme
Elle représente aussi la protection des juifs contre les persécutions. En effet, en hébreu, l'étoile de David est désignée par les mots « maghen dawid », ce qui signifie « bouclier de David ».
L'allumage des bougies est effectué traditionnellement par la femme de la maison, mais en l'absence d'une femme, l'obligation revient à l'homme. Après avoir allumé les bougies, la femme passe ses mains autour des bougies, se couvre les yeux, et récite une bénédiction. Bougies allumées pendant le Sàbat.
Le shabbat correspond au jour de repos hebdomadaire consacré au culte. Il débute le vendredi, 18 minutes avant le coucher du soleil et se termine le samedi soir, après après la tombée de la nuit. Les juifs ne doivent donc pas pratiquer certaines activités comme le travail.