Pour les abolitionnistes, la prostitution est une forme d'exploitation et une atteinte à la dignité humaine qui doit être abolie. Les pays abolitionnistes refusent toute réglementation laquelle ne peut que cautionner l'existence de la prostitution.
Le proxénétisme ne fait l'objet d'aucune définition autonome dans le Code pénal, et se définit de manière simpliste comme une forme d'exploitation directe ou indirecte de la prostitution d'autrui. A cet égard, il n'existe pas non plus de définition légale de la prostitution.
Le proxénétisme est puni de vingt ans de réclusion criminelle et de 3 000 000 euros d'amende lorsqu'il est commis à l'égard d'un mineur de quinze ans. Le proxénétisme prévu à l'article 225-7 est puni de vingt ans de réclusion criminelle et de 3 000 000 euros d'amende lorsqu'il est commis en bande organisée.
Personne qui tire profit, qui tire des revenus de la prostitution d'autrui.
Le proxénétisme c'est le fait de d'inciter, d'aider ou de tirer profit de la prostitution d'autrui. On parle de proxénétisme aggravé lorsqu'il y a une ou plusieurs circonstances aggravantes. La minorité de la victime est une circonstance aggravante.
Homme qui débauche et prostitue les femmes et qui reçoit d'elles l'argent qu'elles tirent de la prostitution. Synon. barbeau (arg.), entremetteur, mac (arg.), proxénète, souteneur, taulier (arg.).
Le besoin premier d'un adolescent, c'est de se sentir appartenir à un groupe. Le rejet par les autres peut être vécu comme insupportable, et c'est pourquoi il peut arriver à des jeunes filles ou garçons d'accepter des choses qu'ils ne veulent pas faire, simplement pour se faire accepter ou pour obtenir de l'affection.
définition - prostituée
prostituer (v. pron.) 1.se livrer à la prostitution. prostituer (v.
Nom commun. Femme se livrant au proxénétisme, prostituant d'autres femmes et recevant tout ou partie de l'argent obtenu de cette activité. Tenancière d'une maison close, d'un établissement de prostitution. On dit aussi dans ce sens mère maquerelle.
prostitué, prostituée
prostitué n. Personne qui se livre à la prostitution.
Les proxénètes (ou souteneurs), familièrement appelés « maquereaux » ou « mac » pour les hommes, maquerelles pour les femmes, déformation de l'ancien français marfaux, sont taxés de nombreux noms d'oiseaux dans le milieu.
Le fait de se livrer à la prostitution est en France tout à fait légal.
- le proxénétisme direct, défini comme le fait « d'aider, d'assister ou de protéger la prostitution d'autrui ; de tirer profit de la prostitution d'autrui, d'en partager les produits ou de recevoir des subsides d'une personne se livrant habituellement à la prostitution; d'embaucher, d'entraîner ou de détourner une ...
Le terme oiran est alors apparu : les oiran sont également des courtisanes de haut niveau, mais sans connaissance particulière de la danse ou du chant, car sont alors apparues les geishas (« personne qui pratique les arts »), qui, sans être des courtisanes elles-mêmes, ont repris à leur compte danse et chant.
En France, au XIX e siècle, la demi-mondaine est une femme dont le statut oscille entre la prostituée de luxe et la maîtresse entretenue par de riches Parisiens.
Populaire. Homme qui prostitue les femmes et vit de l'argent qu'elles gagnent ; proxénète, souteneur. (Abréviation populaire : mac.)
La plupart des prostituées sont namibiennes, mais il y a aussi un nombre important de Zambie, du Botswana et d'Angola.
En 2006, les Émirats arabes unis expulsent 4 300 prostituées étrangères. Malgré son illégalité, la prostitution est très répandue, notamment à Dubaï' et Abou Dabi'. Les autorités ferment généralement les yeux à condition que cela reste à l'abri des regards du public.
Au début du XVe siècle, on bannissait simplement les maquerelles et les femmes publiques trouvées en dehors. Puis à la fin du XVe siècle, sous le règne de Charles VIII, on brulait vive les maquerelles convaincues d'avoir prostitué des femmes au moins trois fois.
Les clients de la prostitution sont de toutes situations familiales, de tous niveaux d'études, de professions et niveaux de revenus les plus divers. Si les personnes prostituées sont en majorité des femmes, la plupart des études montrent qu'à l'inverse, l'immense majorité des clients de la prostitution sont des hommes.
Une entôleuse / entauleuse : sous le Second Empire, une entôleuse est une prostituée qui vole les clients des autres ou qui détrousse ses propres clients. On retrouve l'utilisation de ce terme à la fois dans l'argot policier et populaire.
Le proxénétisme est puni de peines pouvant aller jusqu'à 7 ans d'emprisonnement et 150 000 € d'amende.
Des hommes jeunes, mais pas seulement.
Ce sont les hommes de 20 à 34 ans qui représentaient la plus forte clientèle, environ 5% ayant eu une relation sexuelle tarifée au cours des cinq dernières années. Au total, 18,1% des hommes interrogés affirmaient avoir eu recours à une prostituée au moins une fois dans leur vie.