Le 8 juillet, Louis XVIII remonte sur le trône. Alors qu'il accueille le Roi à son retour de Gand, le préfet de la Seine Chabrol de Volvic évoque les « Cent jours » de Napoléon, expression passée à la postérité pour désigner le bref retour de l'empereur déchu.
Les Cent-Jours sont la période de l'histoire de France comprise entre le retour en France de l'empereur Napoléon Ier , le 1er mars 1815 , et la dissolution de la Commission Napoléon II, chargée du pouvoir exécutif après la seconde abdication de Napoléon Ier , le 7 juillet 1815.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Une bataille décisive
Or, les souverains européens réunis au congrès de Vienne (18 septembre 1814-9 juin 1815) refusent le retour de l'empire. Ils déclarent Napoléon hors-la-loi et décident de reprendre la guerre contre la France.
Les « Cent jours » désignent la dernière période du règne de Napoléon Ier, de son retour de l'île d'Elbe et son entrée dans Paris le 20 mars 1815 à sa seconde abdication, suite à la défaite de Waterloo, le 22 juin 1815.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues. C'est la mère de toutes les batailles, mais de toutes les batailles perdues.
"Son autoritarisme (...), son sens d'un Etat fort, son mépris du régime parlementaire, son impérialisme et surtout son génie de la propagande ; tout peut y faire penser". Mais "il n'y a chez Napoléon ni l'idéologie meurtrière, ni le délire raciste de ceux que l'on présente comme ses successeurs", ajoute l'historien.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique. Nous sommes le 18 juin 1815 à Waterloo, dans l'actuelle province du Brabant wallon, en Belgique.
Origine du symbole
Alors qu'il est proclamé Empereur des Français le 28 floréal an XII (18 mai 1804), Napoléon doit choisir ses emblèmes. Plusieurs animaux lui sont proposés comme le lion, l'éléphant ou l'aigle. Depuis l'Antiquité, l'aigle est associé au pouvoir et à la gloire militaire.
Pourquoi Napoléon Bonaparte a-t-il était exilé à l'île d'Elbe ? Outre les victoires, Napoléon connu également de dures défaites. 31 mars 1814, après la difficile campagne de France, Paris tombe aux mains des Russes et des Prussiens. Devant ce désastre, Napoléon est alors contraint d'abdiquer.
La Route Napoléon, officiellement nommée en 1932, suit religieusement une partie de ce tracé traversant deux régions (Provence-Alpes-Côte d'Azur et Rhône-Alpes) et 4 départements (Alpes Maritimes, Alpes de Haute-Provence, Hautes-Alpes et Isère).
Après quelques succès – à Ligny où il parvint à vaincre les Prussiens, aux Quatre-Bras où Ney remporta une demi-victoire contre les Anglais (16 juin) –, il affronta les Britanniques du duc de Wellington à Waterloo le 18 juin 1815.
1804-1815 > l'Empereur des Français Napoléon Ier.
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
Bicorne de Napoléon Ier
L'image du bicorne est souvent associée à Napoléon Ier . Son usage a cependant été institué pendant la Révolution française pour les militaires, et les officiers et une partie des hommes de troupe portaient le bicorne pendant le régime napoléonien.
Il s'appelait Marengo. C'était un pur-sang arabe blanc-gris clair, capturé en Égypte en 1799. Il était le cheval préféré de Napoléon Bonaparte, qui le monta lors de plusieurs batailles victorieuses, de Marengo à Austerlitz, Iéna et Wagram.
Pozzo di Borgo, l'ennemi juré de Napoléon.
Il motive cette misogynie avec des attendus laborieux : « La femme est notre propriété, nous ne sommes pas la sienne ; car elle nous donne des enfants, et l'homme ne lui en donne pas.
Pourquoi Napoléon n'a jamais déménagé ? Parce qu'il avait un Bon Appart !
Bataille gagnée par Napoléon sur les Autrichiens de l'archiduc Charles. Après Essling (20 mai 1809), Napoléon a fortifié l'île Lobau, y concentrant 187 000 hommes et 488 canons, en attendant l'arrivée du prince Eugène avec l'armée d'Italie.
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.