Le rotor peut être un aimant qui lors de sa rotation induit un champ électrique dans les enroulements du stator du générateur/alternateur. Dans un moteur électrique, le courant passant dans les enroulements du rotor provoque un champ magnétique qui réagit avec celui permanent du stator pour faire tourner l'axe central.
Le rotor voit le champ magnétique tournant net engendré par les trois bobines et se met à tourner en développant ainsi un couple sur l'arbre de transmission du moteur. Ce champ tourne soit dans le sens horaire, soit dans le sens antihoraire, en fonction de l'ordre des phases raccordées au moteur.
– Le ROTOR (pièce qui tourne (ROTOR provient de ROTATION qui signifie en mouvement tournant)) est un AIMANT qui produit un CHAMP MAGNETIQUE. Cette pièce possède un axe. Cet axe est solidaire du rotor et lorsque l'axe est entrainé, il fait tourner le rotor.
Pour tous les moteurs, le mouvement résulte de la force dite « de Lorentz » à laquelle les charges électriques (électrons dans les fils métalliques) sont soumises lorsqu'elles se déplacent dans un champ magnétique.
Pour entretenir la rotation du moteur, il est nécessaire de faire varier soit le courant dans les conducteurs de la cage, soit le champ magnétique. Dans un moteur asynchrone, c'est le champ magnétique qui varie sous forme de champ tournant créé dans le stator.
La différence entre moteurs synchrones et asynchrones vient du rotor : le rotor des moteurs synchrones se compose d'un aimant ou électroaimant alors que celui des moteurs asynchrones est constitué d'anneaux (qui forment ce que l'on appelle la cage à écureuil).
Focus sur le moteur asynchrone
Contrairement au rotor du moteur synchrone, celui du moteur asynchrone tourne moins vite. De cette façon, il n'atteint jamais la vitesse de synchronisme : il subsiste toujours un décalage entre le champ magnétique et la vitesse de rotation de l'arbre.
Dans le moteur sont creusés des cylindres et à l'intérieur de chaque cylindre se trouve un piston. Les pistons descendent, aspirant du carburant et de l'air. En remontant, tout ce mélange est comprimé dans les cylindres. Arrivé en butée haute, il se produit une combustion de ce mélange grâce à une étincelle.
Pour inverser le sens de rotation d'un moteur triphasé, il n'y a rien de bien compliqué. Tout se joue au niveau des connexions. Il suffit en effet d'inverser deux des trois phases du moteur. Votre moteur va pouvoir passer ainsi du sens horaire au sens antihoraire et inversement.
Un condensateur va emmagasiner et stocker l'électricité pour assurer ou faciliter le démarrage du moteur. Sa capacité s'exprime en farad (ou microfarad dans la plupart des cas).
Le rotor peut être un aimant qui lors de sa rotation induit un champ électrique dans les enroulements du stator du générateur/alternateur. Dans un moteur électrique, le courant passant dans les enroulements du rotor provoque un champ magnétique qui réagit avec celui permanent du stator pour faire tourner l'axe central.
La turbine tourne à cause du mouvement de l'eau.
L'énergie mécanique produite par la puissante pression exercée par l'eau sur la turbine est transmise à l'alternateur qui la transforme en énergie électrique.
Le stator et le rotor sont les deux parties du moteur électrique. La différence significative entre ces deux pièces est que le rotor est la partie rotative du moteur alors que le stator est la partie fixe du moteur. Le bâti, le noyau et l'enroulement sont les parties du stator.
Le rotor prend la forme d'un axe métallique entouré d'une bobine alimentée par un courant électrique (principe de l'électroaimant). Cela permet de générer un champ magnétique. Ce champ va exciter les pôles (généralement au nombre de 12) du stator (lui-aussi bobiné), ce qui génère un courant électrique.
Rotor bobiné :
Cependant, il présente les avantages suivants : - le couple de démarrage est plus élevé ; - il est possible de régler la vitesse du moteur à l'aide de résistances extérieures (rhéostat) ; - le courant de démarrage est plus faible lorsqu'on ajoute un rhéostat.
Le glissement dans les machines électriques
Dans le cas du moteur asynchrone le glissement est le rapport entre la vitesse réelle du rotor (la partie tournante du moteur) et la vitesse théorique au synchronisme. Il est généralement donné en % par la formule g=(Ns-N)/Ns avec: g=coefficient de glissement.
Le régime moteur est une mesure qui représente la vitesse de rotation du moteur. Calculée en tours par minute (tours/mn), elle est relevable sur le compte-tours de votre moteur, situé à gauche de votre tableau de bord.
L'inversion de sens s'effectue en : - Inversant le sens du courant circulant dans l'induit pour un MCC à aimant permanent, - Inversant le sens du courant circulant dans l'induit ou dans l'inducteur pour un MCC à bobinages.
Si le courant d'air est dans le bon sens, c'est que la rotation l'est aussi. Attention. Avec une phase en moins, il va tourner aussi, et son sens de rotation est incertain.
Indispensable au bon fonctionnement du moteur, le vilebrequin est synchronisé avec l'arbre à cames et la pompe à injection par la courroie de distribution. Il transforme le mouvement des pistons en mouvement de rotation via le principe de bielle-manivelle.
Cycle d'un moteur à quatre temps. Le moteur à quatre temps est le plus utilisé dans les voitures modernes. Le mouvement du piston se décompose en quatre phases successives pour chaque explosion qui se produit. Ces quatre temps sont : 1, admission d'air et de carburant ; 2, compression ; 3, détente ; 4, échappement.
En général, cependant, deux problèmes peuvent faire que le régime de ralenti du moteur se situe en dehors des spécifications : Problèmes avec la soupape de contrôle du ralenti (ou la vis sur un carburateur) Fuites de vide ou obstruction du flux d'air et de carburant dans la chambre de combustion.
Le stator du moteur étudié au paragraphe précédent disposait d'un seul bobinage et donc de 2 pôles. Tous les 1/100ème de seconde, chaque pôle inverse sa polarisation obligeant le rotor à parcourir un 1/2 tour.
Le temps de démarrage dépend de l'inertie de la masse en mouvement, de la vitesse de rotation finale et du couple d'accélération du moteur. Les valeurs du courant crête sont encore plus élevées, et peuvent atteindre 10 fois la valeur du courant efficace nominal.
Démarrage étoile triangle
Pour diminuer la brutalité au démarrage et réduite le courant d'appel, le moteur démarre avec une connexion en étoile pour ensuite revenir vers le couplage en triangle. Les enroulements sont alimentés avec une tension 3 fois plus faible.