Dans ce sens, le socioconstructivisme favorise l'apprentissage du vivre-ensemble et contribue au développement des compétences par interaction sociale et par contamination d'attitudes entre des individus confrontés à une même réalité et appelés à répondre à des questions ou à trouver collectivement des solutions.
L'approche socioconstructiviste met l'accent sur le contact avec les autres dans la construction des connaissances et le développement des compétences. Elle est basée sur le fait que toute connaissance s'inscrit dans un contexte social qui la caractérise de même que dans un cadre historique et culturel.
Tous les concepts ne peuvent pas être enseignés sous forme de situation problème. Situation complexe à gérer en classe. Si un élève trouve la réponse, ça ne veut pas dire que tous les autres ont compris, même au sein de son groupe.
Limites: trop axé sur l'organisation des connaissances plutôt que sur le concept de contacte dans le cadre les connaissances doivent être utilisées.
Le socio-constructivisme
Il en reprend les principales idées tout en soulignant l'importance du rôle social des apprentissages. Les connaissances sont acquises à l'aide d'un contexte où les interactions apprenant-formateur et apprenant-apprenant sont riches (Doise & Mugny, 1981).
Le socioconstructivisme requiert un élément primaire, deux participants ou plus. Ces participants s'impliquent dans une certaine forme d'interaction pour la construite de la connaissance. Ils doivent avoir connaissance d'une expérience sociale antérieure. C'est une compréhension partagée entre des individus.
Apprendre c'est échanger du sens, dans des rapports sociaux (le socio-constructivisme) ; Apprendre c'est traiter de l'information, par les mécanismes mentaux internes constitutifs de la pensée et de l'action (le cognitivisme).
Le socioconstructivisme est une théorie selon laquelle la connaissance est une construction sociale. Le terme a été inventé au début des années 1970 par le philosophe des sciences Thomas Kuhn.
Applications pratiques du constructivisme pour la formation
Le rôle du formateur, dans cette approche, est de traduire l'information à apprendre dans un format approprié au bagage de connaissance et aux représentations actuelles de son apprenant.
En sociologie, le constructivisme est une approche qui envisage la réalité sociale comme une construction sociale. Peter L. Berger et Thomas Luckmann sont les premiers à développer cette approche dans un ouvrage de référence: « The Social Construction of Reality » (1966).
Le constructivisme est une approche pédagogique qui met l'accent sur l'importance de l'interaction sociale, des interactions enseignant-élève et des interactions élève-élève. Le constructiviste croit que les humains apprennent à travers le processus de construction des connaissances.
La sociologie de l'éducation a pour objectif d'étudier les processus de socialisation scolaire, les déterminants sociaux des résultats et des destins scolaires, les rapports pédagogiques, les caractéristiques des institutions et du personnel éducatif, les relations entre les diplômes et les postes.
L'enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu'elle s'approprie la connaissance par l'exploration et l'apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels.
Le Socioconstructivisme est une théorie du développement cognitif, qui confère une dimension sociale essentielle aux processus cognitifs qui régissent l'apprentissage. Pour Vygotski qui en est le principal auteur, la vraie direction du développement ne va pas de l'individuel au social, mais du social à l'individuel.
Le constructivisme est une théorie de l'apprentissage fondée sur l'idée que la connaissance est construite par l'apprenant sur la base d'une activité mentale. Les apprenants sont considérés comme des êtres actifs cherchant à donner du sens et des significations à ce qu'ils perçoivent à partir de leurs expériences.
En cela, le constructivisme s'oppose au naturalisme, si l'on veut bien entendre à travers ce dernier terme, la doctrine qui soutient que les phénomènes existent avant même que d'être catégorisés et indépendamment de tout travail de catégorisation.
Bien qu'il existe plusieurs théories concernant les différentes classifications des styles d'apprentissage, la plus répandue est la VARK (V – visuel; A – auditif; R – lecture-écriture; K – kinesthésique).
Le modèle théorique de Vygotski est un modèle de transmission culturelle, via la médiation sociale. Dans ce modèle théorique, le développement des fonctions psychiques supérieures chez l'individu est fondamentalement ancré dans ses dimensions historiques et sociales.
Les formes d'apprentissage classiques, lecture, relecture et prise de notes de manière intensive paraissent être les plus efficaces. Pareil pour l'éducation, nous pensons que l'enseignement classique, la présentation du cours puis la pratique d'exercice est la meilleure technique.
Gardez vos élèves engagés avec une attitude positive. L'enseignement est plus efficace lorsque les élèves sont motivés par le désir d'apprendre, plutôt que par les notes ou les exigences du diplôme. Considérez vos élèves comme des coéquipiers, pas comme des adversaires.