À la suite de la guerre d'Indochine et de l'échec de la France pour se maintenir en Indochine à la suite de la victoire du Việt Minh à la bataille de Diên Biên Phu le 7 mai 1954 , les accords de Genève divisèrent le pays en deux par une zone démilitarisée au niveau du 17e parallèle nord.
Le territoire vietnamien avait été divisé en deux en 1954 à la suite des accords de Genève. La fin de la présence française n'a cependant pas mis fin aux hostilités qui ont atteint de nouveaux sommets au cours des années 60 avec l'implication d'un fort contingent états-unien.
La principale cause de la guerre du Vietnam provient du découpage du Vietnam réalisé à la fin de la guerre d'Indochine (1946-1954). Cette séparation favorise un régime autoritaire au Sud-Vietnam incarné jusqu'en 1963 par le président Ngô Dinh Diêm.
La guerre d'Indochine s'est déroulée de 1946 à 1954. Le régime colonial imposé par la France à plusieurs pays asiatiques est à l'origine de ce conflit, qui a fait plus de 500.000 victimes et a notamment conduit à la scission du Vietnam.
Les causes directes de la guerre
La guerre débuta réellement avec le FNL (Front National de Libération), un mouvement militaire apparu au Vietnam du Sud, mais partageant l'idéologie communiste. Il entrera en guerre contre les dirigeants sud-vietnamiens et sera appuyé bien évidemment par le Vietnam du Nord.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Fin de la guerre du Vietnam : le pays est unifié
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
Seule la participation de la France à l'OTASE lui permettait de garder une certaine responsabilité dans le maintien de la paix en Asie du Sud-Est.
Le Dai Viêt fut renommé Viêt Nam en 1804 jusqu'en 1838, mais fut appelé An Nam (l'Annam) par les Chinois. L'État, épuisé par des décennies de guerres, fut réunifié et restauré par Gia Long et ses successeurs: Minh Mang (1820-1840) et Thieu Tri (1840-1847).
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
Les États-Unis et la France sont de proches alliés
La France est l'ami et allié le plus ancien de l'Amérique. Notre relation repose sur notre engagement commun envers les mêmes valeurs – la démocratie, les droits de l'homme, la primauté du droit, la sécurité et la prospérité.
Les États-Unis ont « perdu » la guerre en Afghanistan, admet le chef d'état-major américain.
Les Américains justifient leur intervention militaire au Viêt Nam par la théorie des dominos, selon laquelle il fallait éviter le basculement d'un pays vers le communisme, car les pays voisins basculeraient à leur tour. Le but est de prévenir une future domination communiste du sud-est asiatique.
Au mois de janvier 1956, le Sud-Vietnam fait savoir officiellement que la présence militaire française n'est plus souhaitée, le 28 avril 1956, CEFEO est dissout. Les Français cèdent la place aux Américains et, sans grandeur, quittent l'Indochine, presque un siècle après leur arrivée.
Le Viêt Nam est un pays d'Asie du Sud-Est situé à l'est de la péninsule indochinoise, et sa délimitation est restée inchangée depuis la fin de la Guerre du Viêt Nam en 1975. Il est bordé par le golfe de Thaïlande à l'ouest et par la mer de Chine méridionale à l'est.
Le 2 septembre 1945, à Hanoi, une des villes de l'Indochine française, un inconnu, Hô Chi Minh, proclame l'indépendance du Vietnam. Un geste inouï qui ébranle l'Empire français. Mais, en novembre 1946, le bombardement de Haiphong fait basculer l'Indochine dans la guerre. Hanoï, 2 septembre 1945.
Religion. Les religions les plus répandues sont le culte des ancêtres, le bouddhisme, le confucianisme, le taoïsme, le catholicisme et le caodaïsme. Le culte des ancêtres est millénaire et constitue la plus vieille pratique religieuse du Vietnam.
Le nom de Cochinchine dérive de l'usage par les Portugais de la ville de Cochin pour désigner l'Inde (d'où, plus tard, la dénomination Indochine) : les navigateurs occidentaux désignent alors du nom de Cochinchine la région de Đà Nẵng.
Colonisée par la France à la fin du XIXe siècle, elle a recouvré son indépendance en 1954 au terme de la guerre d'Indochine tout en se divisant en deux États rivaux : le Nord-Vietnam pro-soviétique (20 millions d'habitants, capitale : Hanoï) et le Sud-Vietnam pro-occidental (15 millions d'habitants, capitale : Saigon).
Le président des États-Unis, Richard Nixon, lors de la conférence de Paris, le 23 janvier 1973. Annonce de la fin de la guerre au Viêt Nam. « We have today concluded an agreement to end the warand bring peace with honor in Vietnam and in Southeast Asia. »
Les accords de Genève mettent fin à l'Indochine française en 1954, mais les Américains ne ratifient pas ce traité : cela débouchera sur la guerre du Vietnam. Au nord Vietnam, la route coloniale 4 (RC 4) devient le symbole d'une importante défaite des troupes françaises.
Mi-août 1914, le Japon lance un ultimatum à l'Allemagne, exigeant la cession immédiate de la concession de Tsing-Tao et le départ de la flotte allemande du Pacifique. Berlin ne juge pas même utile d'y répondre et, le 23 août, le Japon déclare la guerre à l'Allemagne.
Seconde Guerre mondiale (1939-1945) : le conflit le plus meurtrier de l'histoire.
Le 14 mars 1967, Il préside la cérémonie de départ de ces dernières du camp de Saint-Germain-en-Laye. A 16 heures, sous l'œil des photographes et caméras visibles au premier et à l'arrière-plan de cette image, les drapeaux français et américains sont descendus devant des détachements de militaires des deux pays.
Historien militaire, Hastings est plus familier des armes et des équipements que beaucoup de ses prédécesseurs. Comme ceux de la plupart des armées révolutionnaires du monde, les combattants du Viêt-cong étaient équipés du célèbre fusil d'assaut soviétique AK-47, une kalachnikov rustique et imprécise.