Désignation courante d'un épisode de la Bible (Exode, 7-12) au cours duquel Yahvé inflige dix fléaux à l'Égypte pour contraindre Pharaon à libérer le peuple des Hébreux retenu en esclavage. Ces « Dix Plaies » étaient destinées à montrer à Pharaon la toute-puissance du dieu des Hébreux, Yahvé.
La septième plaie peut être reliée à des orages mêlés de grêle et de foudre ou à une éruption volcanique (notamment l'éruption minoenne) à l'origine d'orages de gros grêlons formés, non de glace, mais d'accrétions de cendres.
La Plaie de la Peste (mort des troupeaux) illustrée par Gustave Doré. Pour que le peuple d'Israël puisse quitter l'Égypte, Dieu inflige dix châtiments (plaies) pour convaincre Pharaon de les laisser partir.
L'apparition des eaux rouges en Egypte est le si¬ gnal d'une surélévation remarquable du niveau du Nil. Dans la première quinzaine d'Août, notamment, elle s'accuse avec une grande énergie, et l'on en pro¬ fite pour remplir les canaux qui doivent répandre l'inondation dans tout le pays.
Ramsès II y est incarné par Yul Brynner et présenté comme le Pharaon de l'Exode biblique, qui s'oppose à Moïse. Cecil B. DeMille n'est pas le premier à faire cette interprétation : plusieurs traducteurs de la Bible, puis des historiens après eux, ont fait de Ramsès II l'oppresseur des Hébreux esclaves.
Retournant en Égypte, il essaya de négocier avec le Pharaon, qui ne fut pas réceptif, et dit ne pas connaître le dieu de Moïse. Moïse, sous l'ordre de Dieu, invoqua une série de plaies. Finalement, le Pharaon agréa la demande des israélites, de laisser Moïse les conduire dans le désert pour honorer leur dieu.
Chez les dynasties pharaoniques, réputées d'ascendance divine, s'est imposé le rituel du mariage entre frère et sœur, destiné à préserver de toute souillure cette ascendance.
Depuis l'Égypte antique
Les Égyptiens, hommes comme femmes, se maquillent d'abord pour leur santé. Leur climat, aride et sablonneux, attaque leur peau et leurs yeux et le khôl, fard noir gras, agit comme une membrane de protection pour les yeux.
Mais lorsqu'on l'a découverte en 1817, son corps momifié avait disparu. Séthi Ier tel que représenté sur un relief décorant son tombeau. Au cœur de la vallée des Rois, derrière l'une des portes qui masquaient autrefois les entrées des sépultures royales se trouve une structure baptisée KV17 (King's Valley 17).
Appelée « croix ankh » ou « croix ansée », la croix égyptienne symbolise le don divin de la vie éternelle. Elle était l'attribut des dieux de l'Égypte Antique, le plus souvent associée à la déesse Isis. Aussi connue sous le nom de « croix de vie », elle est le symbole de la vie éternelle, de l'immortalité.
Prenant de court ses ennemis, l'armée hittite semblait inarrêtable lorsqu'elle a affronté l'Égypte dans la plus grande bataille de chars de tous les temps. Ce relief représente un char écrasant un ennemi. Il a été réalisé entre le Xe et le VIIIe siècle avant notre ère dans le royaume néo-hittite de Karkemish, en Syrie.
Longtemps oubliées des archéologues, ces nécropoles livrent aujourd'hui les vestiges d'une des plus grandes civilisations que la terre ait portée. Les pharaon et reine noirs les plus connus se nommaient Taharqa et Kandake.
"Dans les temples ou les tombes, la partie endommagée est la partie qui avait une fonction pendant un rituel. Si le rituel requiert que la statue sente, voie, entende ou encore mange, alors le nez, les yeux, les oreilles ou la bouche étaient détruits pour empêcher le rituel de fonctionner.
Tous les défunts étaient pourvus de ces deux attributs pour accéder à la résurrection. Les dieux tiennent également ces deux signes en mains car ils sont une incarnation d'une force créatrice issue de l'astre solaire. Ils ont la puissance (Ouas) et sont éternels (ânkh).
La détention d'esclaves proviendrait de captifs de guerre que le pharaon aurait donnés comme butins ou récompenses aux soldats et généraux vainqueurs ou à d'autres personnages importants.
Selon les mythes funéraires des Anciens Égyptiens, l'au-delà est le lieu où séjournent les dieux, les bienheureux et les damnés. Domaine d'Osiris, ce monde supranaturel est à la fois souterrain, terrestre et céleste.
Parce que les chats sont très utiles ! Les Égyptiens l'ont vite compris. En éloignant les rongeurs des récoltes, les petits félins préviennent les famines. Et en chassant les scorpions, les serpents et surtout les rats des foyers, ils contribuent à lutter contre la peste.
Au temps des pharaons, vers -3400 avant J-C, les égyptiens découvrent les avantages d'élever une structure, une forme de lit. Symbole de statut social, il concernait les riches princes et la famille royale car la population dormait plutôt sur des feuilles de palmiers empilés dans un coin de la maison.
L'étude publiée dans Nature Communication indique en effet que les anciens égyptiens sont en réalité plus proches génétiquement des habitants actuels de pays du proche-orient comme Israël, la Jordanie ou le Liban, de la Turquie, voire de l'Euope.
L'expédition d'Egypte est une campagne militaire menée par Bonaparte entre 1798 et 1801 afin de s'emparer de l'Egypte et de contrôler la route des Indes dans le but de lutter contre la Grande-Bretagne, hostile à la France de la Révolution.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant l'État d'Israël, la Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
Terre d'Israël (selon la Sainte Bible), que Dieu aurait promis aux trois personnages de la Genèse que sont Abraham, Isaac et Jacob. Terre promise peut également désigner le paradis pour les chrétiens.