Les ados n'aimant pas lire sont plus attirés par l'action/aventure et l'horreur bien que la plupart (attention, âmes sensibles s'abstenir) n'aient pas ouvert de livres depuis plus d'1 an ! (Certaines personnes que j'ai questionnées cherchent encore la dernière fois où elles ont lu un livre).
Le livre, outil indispensable dans le développement intellectuel de l'enfant, n'occupe plus sa place d'antan. Les raisons profondes de cette crise de la lecture sont à chercher dans le milieu scolaire et même universitaire.
Moralité, les jeunes ne maîtrisent plus la conjugaison et les règles grammaticales. Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…
Quelles sont les raisons des dysfonctionnements, les obstacles ?" - Niveau de lecture insuffisant pour comprendre. - Vitesse de lecture trop lente. - Un vocabulaire ou une syntaxe trop complexe (des phrases trop longues) peuvent gêner la compréhension.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
La non-lecture a donc pour conséquence le contraire de l'essor, de liberté de conscience. beaucoup plus dangereuses. « 1° Cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés ».
« Lire un bon livre, ça redonne envie de vivre. Ça vous donne envie de partir à la recherche du temps perdu », nous dit l'écrivain Pierre Perret. Mais un autre constat est que la génération présente ne puise que rarement dans ce trésor caché. En d'autres termes lire est devenu synonyme de perte de temps.
Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu'elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%). En moyenne, les jeunes lisent six livres par an, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
Les séniors et les femmes comptent parmi les plus gros lecteurs. Le livre reste un objet de plaisir pour nombre de Français, qui en offrent volontiers à leurs proches.
1 – La lecture stimule le cerveau
Et non seulement cette activité est bonne pour le moral, elle permet aussi de booster notre cerveau. Tout comme le tricot qui stimule les connexions neuronales et leur permet de fonctionner plus efficacement, la lecture fait travailler la mémoire et aide à garder l'esprit plus clair.
Les filles restent toujours les plus nombreuses à s'adonner à la lecture plaisir, 87% contre 70% pour les garçons, mais les garçons qui lisent pour le plaisir, lisent plus de livres. Plus le niveau dans les études augmente moins le nombre de livre est lu, c'est-à-dire qu'à l'entrée au collège, on passe de 6 livres à 2.
3- Un autre bon conseil pour inciter à la lecture c'est de lire chaque jour à un moment précis. Si nécessaire, une fois par jour, vous pouvez lire avec vos enfants afin de leur faire comprendre que la lecture constitue une part essentielle de leur routine quotidienne.
Alors, dans les pays qui lisent le plus, on retrouve en première place l'Inde, avec plus de 10 heures de lecture par semaine, suivie de près par la Thaïlande et la Chine.
Selon le baromètre du Centre national du livre, plus de 4 Français sur 5 se déclarent lecteurs. C'est plus qu'en 2017. Ce sont les jeunes qui lisent de plus en plus (91 %, +9 points), mais ceux qui considèrent lire "beaucoup de livres" sont toujours les femmes (32 %) et les 65 ans et plus.
Quel que soit leur âge, que leurs parents leur lisent encore ou non des histoires, les jeunes adorent qu'on leur raconte des histoires : 94 % aiment et 52 % adorent. Le choix du livre passe majoritairement par le héros pour les jeunes de primaires, puis le résumé, quand on est au collège et après – chez les filles.
Le livre serait cette possibilité d'extériorisation du temps propre à la lecture et au lecteur telle qu'elle s'effectue par leur médiation. Il n'est rien d'autre qu'une humanisation du temps. Lire un livre, c'est prendre du temps au temps, devenir humain grâce au temps, c'est produire un temps humain.
La lecture permet de développer la mémoire et les capacités cognitives. Comprendre un livre nécessite de retenir une grande quantité d'informations. De plus, selon le type de livre que vous lisez, vous pouvez être amené à décider des visages, des lieux, de la disposition des éléments.
Accompagner votre enfant
Laissez votre enfant lire et relire librement ce qu'il aime, même si ce n'est pas exactement ce que vous aimeriez lui voir lire. Vous pouvez lui faire d'autres propositions, en lui laissant toujours le choix. La lecture doit rester un plaisir.
Le processus d'apprentissage de la lecture pour les enfants débute en troisième section de maternelle, vers l'âge de 4 - 5 ans. Il s'étale sur trois ans et se termine en cours élémentaire première année (CE1), où les enfants, dont l'âge varie entre 6 et 7 ans, sont généralement aptes à lire des textes courants.