Pour les adultes, le jeu peut sembler sans but, voire inutile. Pourtant, il serait indispensable à tous, et ses bienfaits sont indéniables: réduction du stress, stimulation intellectuelle, développement de la créativité, connexion avec les autres, etc.
Les jeux pour adultes, c'est bon pour les neurones
Toutes nos fonctions cognitives sont stimulées lors d'une partie de jeu, de quoi entretenir et développer notre muscle le plus important : notre cerveau.
Le jeu nous permet justement de « tordre la réalité » comme il nous paraît approprié, cela nous donne une sensation de liberté et de puissance. Le jeu nous permet de progresser, comme vu plus haut dans l'aspect « objectif ». Mais le jeu nous donne surtout la possibilité de visualiser cette progression.
Pour ceux-là, l'adulte qui joue est en régression puisque « Jouer c'est pour les bébés !» Il existe pourtant de nombreux types de jeux : des jeux de règle comme les jeux de société, des jeux de rôle, des casse-tête, des jeux d'action, etc. Et tous ces jeux nous apportent des bienfaits importants.
Jouer permet à l'enfant d'apprendre à vivre avec les autres. Quand il joue avec d'autres enfants, un tout-petit apprend à partager, à attendre son tour, à faire des compromis et à régler de petites chicanes. Quand il joue, l'enfant apprend à dire de nouveaux mots, à exprimer ses idées et à se faire comprendre.
Habituellement, les gens prennent part à un jeu de hasard et d'argent dans le but de gagner un montant d'argent ou un objet qu'ils convoitent. Certaines personnes jouent aussi pour le plaisir ou l'excitation que cela leur procure.
Grâce au jeu, l'enfant apprend à coopérer et à adopter un comportement socialement approprié. La simulation renforce les compétences sociales de l'enfant en lui permettant de s'autoréguler, de faire face au stress et de parler de ses émotions.
Le traitement de l'addiction aux jeux vidéo passe par une prise en charge psychologique à l'aide le plus souvent d'une thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Le but du traitement est de réduire et contrôler le temps de jeu, l'abstinence n'étant en générale pas réaliste.
comme une amante » Jouer peut être une façon pour le couple de mieux se retrouver ensuite : dans cet espace de transition entre vie pro et vie perso, le joueur se retrouve, libère son stress, sa créativité…
La dépendance aux jeux de hasard et d'argent est le résultat d'un ensemble de facteurs qui, progressivement, peuvent influencer le comportement de la personne qui joue et son rapport au jeu. Ce qui n'était qu'un simple divertissement devient alors un besoin : le jeu n'est plus un jeu.
joueur adj. Qui aime jouer, s'amuser.
C'est presque toujours en lien avec un manque d'estime de soi et la manière dont, enfant, on s'est senti(e) abandonné(e) (ou on ne s'est pas senti aimé(e)/reconnu(e)) par ses parents. Psychothérapie intégrative (EmètAnalyse), thérapie systémique du couple et de la famille. Cela vous a été utile ?
«Selon vous, le jeu est-il toujours ludique ?» Tel est le sujet de français sur lequel ont dû plancher mardi 14 juin les lycéens de voie professionnelle… pour leur plus grand désespoir. Car ils étaient nombreux à ignorer le sens du mot ludique et à rendre un hors sujet, quand ce n'était pas une copie blanche.
Jouer, c'est également se mettre dans sa “bulle”, c'est oublier l'ennui et les ennuis. Le jeu peut prendre des allures d'antidépresseur, fort cher et aux effets secondaires indésirables. La recherche de plaisir et de gain stimule la plupart des joueurs au début. Peu à peu pourtant, les motivations changent.
Le jeu permet à l'enfant d'acquérir de nombreuses compétences qu'il utilisera sans cesse pour continuer à apprendre et comprendre le monde qu'il l'entoure. L'application du jeu permet le développement intellectuel, social, sensoriel, moteur et favorise également l'apprentissage du langage.
Jouer pour créer
Ces conditions sont associées à la créativité. C'est en jouant et seulement en jouant, dit-il, que l'individu, enfant ou adulte, est capable d'être créatif et d'utiliser sa personnalité tout entière. C'est seulement en étant créatif que l'individu découvre « le soi ».
On l'appelle le gaming disorder en anglais. Le trouble du jeu vidéo en français. L'Organisation mondiale de la santé a décidé de reconnaître ce trouble comme une maladie.
Joueur passionné : un « joueur passionné », plus souvent appelé Hardcore Gamer, désigne un joueur qui s'implique énormément dans un jeu vidéo.
Un geek [ɡik] (de l'anglais : [ɡiːk]) est une personne passionnée par un ou plusieurs domaines précis, le plus souvent pour les domaines liés aux « cultures de l'imaginaire » (certains genres du cinéma, les séries, la bande dessinée, les jeux vidéo, les jeux de rôles les wargames).
Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou de jouer (craving) Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance ou au jeu. Beaucoup de temps consacré à la recherche de substances ou au jeu. Augmentation de la tolérance au produit addictif.
Le comportement à risque des adolescents et des jeunes adultes facilite en effet les premières expériences, et l'usage précoce de drogues expose à un risque accru d'apparition d'une addiction par la suite. Dans l'ensemble, les hommes sont plus souvent concernés par les addictions que les femmes.
Le jeu : source de plaisir et de détente
Le jeu permet de s'amuser, de rire et aussi d'oublier les contraintes habituelles en matière de règles ou de temps. Seul ou avec d'autres personnes (enfants ou adultes), inventer un jeu est une source d'évasion et donc de bien-être.
Les nombreux bienfaits du jeu
Il favorise le développement : des fonctions exécutives du cerveau : la planification, l'inhibition, la mémoire de travail, l'attention. du langage oral et écrit : apprendre de nouveaux mots, exprimer ses idées et se faire comprendre.
Le jeu permet le développement moteur, social, intellectuel, sensoriel et il favorise également l'apprentissage du langage.