Chacun sait qu'en Belgique, on va à la toilette, quand en France on va aux toilettes, ce qui fait dire aux Belges que le Français utilise le pluriel parce que dans son pays il faut faire le tour de plusieurs toilettes pour en trouver une propre !
En Belgique, le W se dit WOUA. De ce fait pour un wagon c'est WOUAAGON alors qu'un français dira Vagon. Le plus drôle c'est WOUAISC (comprenez WC)…
Locution verbale - français
Se rendre aux toilettes temporairement pour se soulager des déjections corporelles.
Les belges sont un peuple enthousiaste et trouvent tout « très chouette ! », et disent tout le temps « ça va » au lieu de OK. Quand ils te disent au revoir, ils te disent « à tantôt ! », quand ils te parlent de ce qu'ils ont fait il y a quelques heures, ils disent « tantôt » aussi !
Saviez vous que "En Belgique, une serviette de bain se dit un essuie de bain."
clignoteur n.m. En Belgique, clignotant.
Non, peut-être : expression bruxelloise pour dire « oui, bien sûr » !
(Nord et Belgique) La drache, c'est la pluie et quand «il drache», il pleut. (Nord) «Viens, on va faire el'ducasse», c'est du chti, ça veut dire «viens, on va faire la fête».
Comment Dit-on pluie en Belgique ? (Nord et Belgique) La drache, c'est la pluie et quand «il drache», il pleut.
Dans ce cas l'erreur est double, car le mot « toilette » est toujours au féminin et quand il s »agit du lieu d'aisance il est toujours au pluriel. Ne dit-on pas « je fais ma toilette » et « je vais aux toilettes ». Et là vous en conviendrez, ce n'est pas la même chose même si l'on fait sa toilette aux toilettes !
A la demande de la Reine Elisabeth Ire d'Angleterre, l'inventeur John Harington conceptualise des projets de toilettes qui resteront à l'état de plans sans jamais être réalisés, mais inspireront plus tard Sir Alexander Cummings, inventeur anglais des canalisations en S, ancêtres des ''water-closets''.
La fréquence des selles varie beaucoup selon les personnes
Un transit est considéré normal lorsque la fréquence d'évacuation est comprise entre deux fois par jour et tous les trois jours. La fréquence des selles n'est pas le seul élément de diagnostic de constipation ou de diarrhée.
1. La drache. « La drache » est peut-être le mot le plus important à apprendre quand on va en Belgique.
En Belgique et en Amérique du Nord, un torchon est un linge servant à nettoyer les sols, qu'on appelle en France serpillière. En Lorraine, la serpillière est également appelée « torchon de plancher ».
L'origine de ce comptage remonterait aux Celtes, qui auraient influencé les Gaulois. A la fin du Moyen-Age, les langues évoluent et de nouveaux mots apparaissent dont trente, quarante, cinquante, soixante, septante, octante, nonante qui sont basés sur un comptage de dix en dix.
La soirée commence à 18 h, heure à partir de laquelle on se salue avec goedenavond (bonsoir). Contrairement au français, goedenacht (bonne nuit) ne s'utilise pas uniquement pour dire au revoir ou aller se coucher, mais aussi pour saluer quelqu'un au cours de la nuit (entre minuit et 5 h 59 au sens strict).
« Hallo » est la manière de dire bonjour et saluer quelqu'un en néerlandais. Cela permet d'initier une conversation avec quelqu'un en Belgique et aux Pays-Bas. « Goedendag » est le bonjour le plus formel que l'on peut utiliser tout au long de la journée sans aucune variation.
Parfois, la Belgique peut être atteinte par des des masses d'air chaud, qui peuvent amener des températures supérieures à 30 °C. Ces vagues de chaleur sont de plus en plus fréquentes en raison du réchauffement climatique. En juillet 2019 la température a atteint 37 °C à Spa, 39 °C à Ostende et 40 °C à Bruxelles.
La plus célèbre expression belge, celle que les Français portent au pinacle du "parler belge" est celle de l'invitation à son fils d'un père souhaitant les explications de celui-ci: Arrivez une fois, fiske ! Pour faire court, "Une fois" signifie tout ce que vous voulez, sauf une fois (p.r. à deux fois ou plus).
Cela peut être utile, surtout si votre chef vous demande par exemple : “est-ce que tu sais me donner une latte (règle)”.
« Comme des diables »
Et si les Belges n'ont pas toujours évolué en rouge dans leur histoire, leur petit surnom s'y est adapté : les Diables Blancs dans les années 1970 ou encore les Diables Noirs au début des années 2000.
A l'inverse, Pougin évoque trois expressions synonymes, «être bleu», «être mouche» et «être toc» désignant un acteur ou une oeuvre exécrables. Pierron ne mentionne que la première et cite en passant les deux autres disparues, de fait, du vocabulaire théâtral.
Wallon, français régionaux et français "commun" de Belgique
On confond encore souvent les parlers wallons et les français régionaux de Belgique alors qu'ils représentent une réalité linguistique complètement différente.