Ils sont adeptes du "sexe convivial" dont l'objectif est avant tout social. Ces accouplements sont destinés à résoudre les conflits, par exemple en apaisant un individu agressif ou si une rivalité éclate entre deux membres de la communauté.
Les femelles ont une manière bien précise de se faire des papouilles : «elles se frottent mutuellement le clitoris à raison d'une moyenne de 2,2 mouvements latéraux par seconde, soit au même rythme que les coups de rein du mâle. Ce comportement est appelé friction GG (pour génito-génitales).
La renommée du lapin n'est plus à faire : avec une fréquence qui peut atteindre 40 rapports par heure, il est parmi les animaux les plus actifs sexuellement…
Gèrent-ils ainsi tous les conflits ? Oui, le sexe sert à réguler les disputes aussi bien entre mâles (ils privilégient la monte), entre femelles (elles recourent plus souvent au frottement vagin contre vagin), entre mâles et femelles (monte, attouchements ou copulation), au sein même d'un groupe ou entre deux groupes.
Reproduction. Bonobos s'occupant d'un petit. Les femelles et les mâles arrivent généralement à maturité sexuelle entre l'âge de 13 et 15 ans. Ils peuvent se reproduire toute l'année et la période de gestation dure de 230 à 240 jours.
Ces variations sont dues à la diversité physiologique et/ou comportementale des petits eux-mêmes –pour tout ce qui relève, par exemple, de la prise calorique–, mais aussi à la capacité qu'ont les femelles d'adapter leur investissement maternel afin de maximiser leur propre succès reproductif.
Exemples de reproduction asexuée chez certains animaux : le requin-marteau, le requin léopard, le poisson-scie, l'anémone de mer, le Dragon du Komodo, le gecko, le puceron, la cochenille…
Les bonobos ont une sexualité très libre, s'adonnent à la masturbation et ont des rapports sexuels fréquents en dehors de toute volonté reproductive. Entre mâle et femmes ou individus du même sexe, le sexe est la solution à tout chez les bonobos !
De tous les primates, seuls les humains et les bonobos s'accouplent couramment face à face et non en position dorso-ventrale. A quelques rares occasions cependant, ce fait avait été rapporté pour des gorilles de montagne, mais jamais photographié.
Ils utilisent souvent des gestes comme se regarder et se toucher, se tenir la main ou hocher la tête. Ces actions se faisaient avant et après des rencontres telles que le toilettage ou le jeu. Les chercheurs britanniques assimilent ces gestes à des salutations. Le comportement est plus fréquent chez les bonobos.
La morphologie des organes sexuels n'est pas la seule chose qui intervient dans le plaisir animal. Il y a de nombreux animaux qui ne disposent ni de pénis, ni de clitoris, ni même de vagin et qui sont parfaitement capables de jouir.
Le paresseux
Les paresseux s'accouplent en effet seulement tous les deux ans. Après cet accouplement, la grossesse de la femelle dure 6 mois. Contrairement à de nombreux autres mammifères, elle ne donne naissance qu'à un seul petit, ce qui fait que les paresseux se reproduisent peu en comparaison d'autres animaux.
Les albatros hurleurs
Il est connu pour sa grande longévité, pouvant aller jusqu'à 80 ans. Des décennies qu'il passe avec le même compagnon. Car les albatros sont connus pour leur grande fidélité "en amour".
La perruche
C'est l'un des animaux les plus fidèles qui existe envers son partenaire. Il aura toujours besoin d'un partenaire pour être heureux dans la cage et une fois qu'il sera avec lui, il ne voudra pas s'en séparer.
Au sens large, l'Homme, en tant que primate, partage inéluctablement un ancêtre commun avec le reste des primates, mais, d'un point de vue génétique, il est en fait son cousin. [EN VIDÉO] Interview : pourquoi les primates sont-ils si particuliers ? Les primates sont fascinants à plusieurs égards.
Comme tous les singes anthropoïdes, le bonobo est une espèce particulièrement menacée du fait de sa répartition exclusive dans une région ravagée par les guerres auxquelles s'ajoutent la déforestation, l'exploitation du diamant et la chasse pour sa viande.
Lors de l'accouplement, le lion maintient fermement le cou de sa partenaire entre ses dents pour la calmer. La pénétration est en effet très douloureuse pour les lionnes ; les poils présents à l'extrémité du pénis des mâles sont durs comme des épines, mais nécessaires pour déclencher l'ovulation de la femelle.
L'accouplement se déroule après une période de parade plus ou moins longue (mais généralement courte : le chien se contente de renifler la vulve de la femelle). Le chien chevauche la femelle, la pénètre, et commence à faire des mouvements de va-et-vient (10 à 20).
Gorilles peuvent faire l'amour en face à face… (position du missionnaire). Si l'on observe, en milieu naturel, la manière dont les mammifères s'accouplent on constate que majoritairement, c'est la position dorso-ventrale (dite du « en levrette ») qui est la plus répandue.
Aucun autre être vivant ne nous ressemble autant: avec les chimpanzés, les bonobos sont nos plus proches parents. Pourtant, nous sommes aussi le principal ennemi de ces singes pacifiques. Le WWF s'engage pour la protection de l'espèce et de son habitat naturel. Les bonobos partagent 98,7% de son ADN avec l'être humain.
Synthèse. La lignée humaine comprend tous les groupes d'êtres vivants descendants du dernier ancêtre commun de l'homme avec son plus proche parent, le chimpanzé. Le seul représentant actuel de la lignée humaine est l'Homo sapiens.
Le Bonobo est l'un des cinq grands singes (avec le Chimpanzé, le Gorille, l'Orang-outan et nous, les humains) et, de ce fait, est dépourvu de queue. Avec le Chimpanzé commun, le Bonobo est le primate le plus proche de notre espèce avec laquelle il partage plus de 98 % du patrimoine génétique.
Lapin, cobaye, chinchilla : la belle-famille
C'est un peu la même chose pour ces trois animaux, qui peuvent vous montrer des signes d'affection, mais qui passeraient sans doute de meilleures journées en compagnie de bestioles de la même espèce.
L'hippocampe. C'est clairement la star en terme de paternité animalière. En effet, le mâle prend en charge la gestation des œufs (qui peuvent aller jusqu'à 1800 tout de même, ça fait du monde au balcon) dans sa poche incubatrice ventrale.
La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l'on trouve des cas de parthénogenèse chez d'autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure ...