L'orange a été choisi principalement en raison de la teinture disponible à l'époque. La tradition est restée et l'orange est aujourd'hui la couleur de prédilection des adeptes du bouddhisme Theravada en Asie du Sud-Est, par opposition à la couleur marron des moines tibétains.
Dans le bouddhisme, les symboles sont la conque, le parasol, les poissons, l'urne, la roue, la bannière, le lotus, le nœud. Ils furent offerts par les devas au Bouddha lors de sa naissance en reconnaissance de sa « royauté ».
"Dans le bouddhisme, les cheveux sont un masque. Et les raser permet de se montrer tel que l'on est à la face du monde. C'est également un signe de renoncement au monde matériel."
le rouge, pour l'énergie spirituelle ; le blanc, pour la « foi sereine » ; la couleur orangée, pour l'intelligence, est un composé des quatre couleurs précédentes, car l'intelligence est considérée comme la synthèse des qualités que ces couleurs symbolisent et rappelle le safran des robes de moines.
Saṃghāti. La saṃghāti est un pardessus porté dans diverses occasions. Elle recouvre la robe de dessus (uttarāsaṅga) et le sous-vêtement (antarvāsa). Dans les représentations du Bouddha, la saṃghāti est habituellement le vêtement le plus visible, l'uttarāsaṅga dépassant par en bas.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Dans le bouddhisme, l'orange (ou plus précisément le safran) était la couleur de l'illumination, l'état le plus élevé de la perfection. Les couleurs safran des robes à porter par les moines ont été définies par le Bouddha lui-même et ses disciples au 5ème siècle avant JC.
L'orange a été choisi principalement en raison de la teinture disponible à l'époque. La tradition est restée et l'orange est aujourd'hui la couleur de prédilection des adeptes du bouddhisme Theravada en Asie du Sud-Est, par opposition à la couleur marron des moines tibétains.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
Lorsque le Bouddha Gautama a renoncé à sa vie de prince et donc à ses richesses, il s'est entièrement rasé la tête pour symboliser son détachement. C'est donc un évènement qui a marqué sa vie. D'ailleurs, c'est peu après s'être coupé les cheveux que Bouddha est devenu sage, en méditant sous l'arbre de la Bodhi.
Signe particulier des moines chrétiens du Moyen Age, la tonsure, qui consiste à se raser une partie des cheveux au sommet du crâne, est née au IIe siècle. Il s'agit d'abord d'un signe de renonciation à la séduction, les cheveux étant traditionnellement associés au charme depuis l'Ancien Testament.
C'est ce qu'on appelle communément le « karma », sachant que notre futur prend racine dans le présent, lui-même étant le résultat de nos actes passés. Tout ceci est symbolisé par le nœud infini tibétain, dont la forme géométrique parfaite se rejoint en son centre.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
La main de Fatma (Khamsa)
La main de Fatma, plus connue sous le nom de Hamsa ou Khamsa, est un symbole de protection et de paix très populaire. Elle est représentée par une main ouverte avec un œil tiré au milieu. Porter un bijou main de fatma vous permettra en effet d'avoir une bulle de protection qui vous protège !
BOUDDHA, subst. masc. A. − L'éveillé, l'illuminé; surnom de Gautama, appelé aussi Çâkya-Mouni, fondateur du bouddhisme.
Chez les moines, chaque ordre a sa couleur : terre pour les franciscains, blanc pour les dominicains, noir et blanc pour les cisterciens et noir pour les bénédictins. Une autre sorte de robe, longue boutonnée devant, est la soutane, noire pour les prêtres, violette pour l'évêque et rouge pour le cardinal.
Le bouddhisme n'a jamais, exception faite de mouvements récemment constitués ou en voie de réforme, défendu une égalité entre les sexes. Le Bouddha recommandait à ses disciples d'éviter les femmes, et il refusa longtemps de les ordonner.
L'orange est souvent associée à la communication et à la créativité, c'est une couleur chaude qui inspire et insuffle un vent de bonne humeur. Elle est d'ailleurs, avec le jaune, la digne représentante du dynamisme et de l'ouverture d'esprit.
L'orange (ou safran) est la couleur sacrée dans l'hindouisme. Elle représente le feu purificateur, du corps et des passions, synonyme de libération. Depuis la révolution géorgienne, la couleur orange symbolise la liberté politique. Ce symbole a été aussi utilisé en Ukraine, en Israël et au Liban.
En gros, dans les pays chauds et bien ensoleillés (ce qui est le cas d'à peu près tous les pays producteurs d'agrumes) la pelure des oranges déborde de chlorophylle. Près de l'équateur par exemple, les oranges sont vertes à longueur d'année et ne deviennent jamais oranges.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Dans le bouddhisme, Siddhārtha Gautama, le Bouddha, s'est astreint à de longues périodes de jeûne. Les bouddhistes sont censés s'abstenir de manger de midi à l'aube du jour suivant afin de pratiquer la maîtrise de soi. » Des aliments interdits.