Dans la légende arthurienne c'est Merlin l'enchanteur qui incite les chevaliers de la Table ronde à se mettre en quête du Graal. Ils le recherchent pour guérir le roi pêcheur qui a reçu des blessures autrement incurables. Cette quête est finalement menée à bien par Bohort,
C'est pour punir Perceval que Dieu l'a empêché de poser des questions au sujet du Graal : s'il avait demandé à quoi il servait et à qui il était destiné, le père du Roi Pêcheur, immobilisé dans son lit, aurait été guéri et il lui aurait été redonné le pouvoir sur sa terre !
Les chevaliers de la Table ronde constituent un ordre légendaire au service du roi Arthur que ce dernier a chargé de mener la quête du Graal et d'assurer la paix du royaume. La première trace écrite de la légende des chevaliers de la Table ronde se trouve dans le Roman de Brut écrit par le poète normand Wace en 1155.
Le Graal est un objet important dans la légende d'Arthur et de ses chevaliers. Ils vont tous essayer de prendre le Graal. Le raison est simple : celui qui possède le Graal peut survivre jusqu'à la fin des temps. Le Graal a ce pouvoir car des gouttes de sang du Christ se trouveraient dedans.
Galaad, Galahad, ou Galaaç est le fils du chevalier Lancelot du Lac et d'Ellan, fille du roi Pellès, le roi Pêcheur, qui détient le Graal. Son nom vient du gallois Gwalchaved : « faucon d'été». Il est le plus jeune chevalier de la Table ronde.
Le roi Arthur est mortellement blessé à la bataille de Camlann, qu'il menait contre les forces de Mordred, le fils incestueux qu'il avait eu avec sa demi-soeur, Morgane.
GRAAL, subst. masc. 1. Coupe creuse ou vase qui aurait servi lors de la Cène et où Joseph d'Arimathie aurait recueilli le sang issu de la blessure infligée par Longin au Christ en croix.
À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur, et donc imiter le Christ. Cette quête devient une parabole qui exprime le don de soi, la quête de justice et de vérité. Le caractère sacré du Graal devient encore plus important avec le Concile de Latran IV, en 1215.
Amateurs d'associations et aventures secrètes, vous avez sûrement déjà entendu parler des Templiers ? La légende veut que pendant des centaines d'années, ce mystérieux ordre religieux et militaire s'était donné pour mission de garder et protéger le Saint Graal…
D'après Robert de Boron, le Graal est le « Saint Graal » : le calice contenant le sang de Jésus-Christ, recueilli par Joseph d'Arimathie quand le Christ fut descendu de sa Croix. Ce calice est par ailleurs présenté comme étant celui dont Jésus s'est servi lors de la Cène, dernier repas avec les apôtres.
Le Graal est une relique dotée d'un double caractère sacré puisque le Christ y a pris son dernier repas et que Joseph d'Arimathie l'utilise comme réceptacle du Précieux Sang.
Dès les récits les plus anciens, il est impliqué dans la quête du Graal. Chez Chrétien de Troyes, il rencontre le Roi pêcheur blessé et voit le Saint-Graal, mais ne pose pas de question qui aurait guéri le souverain. Ayant appris son erreur, il ne cherche plus qu'à retrouver le château du Graal et à terminer sa quête.
Si aucun élément historique ne peut prouver que le personnage d'Arthur Pendragon a réellement existé, on sait néanmoins qu'il s'est nourri du folklore breton et s'est inspiré de plusieurs grands chefs de Grande-Bretagne.
La coupe qui est conservée dans la chapelle du Saint Calice de la Cathédrale de Valencia se compose de trois parties différenciées. La relique elle-même est le gobelet en agate polie qui se trouve au sommet.
Dans des versions précoces, la bien-aimée de Perceval était Blanchefleur et il est devenu roi de Corbénic après avoir guéri le Roi Pêcheur, mais dans des versions postérieures, il est resté vierge et est mort après avoir retrouvé le Graal.
Au sens premier, le mot "Graal" présente une connotation religieuse, voire mythique. Désigné comme le Saint-Graal, il s'agirait de la coupe dans laquelle Jésus-Christ a bu le vin au cours de la Cène, la veille de sa crucifixion.
Le Saint-Graal a le pouvoir d'offrir aux chevaliers de la Table Ronde le plat de viande que chacun préfère, et devient ainsi une sorte de corne d'abondance. Ailleurs, le Graal est une pierre brillante, une gemme précieuse.
La forme ronde, symbolisant la fraternité, évite toute préséance entre ceux qui s'asseyent, leur rappelant que les chevaliers n'héritent de leur place que grâce à leur courage.
Calogrenant : Cousin de Yvain. Bohort : Cousin de Lancelot. Galaad : Il est le fils de Lancelot et l'unique à pouvoir s'asseoir sur le siège périlleux. Tristan : Second meilleur chevalier de la table ronde et triste héros de la celébre histoire Tristan et Iseut.
Nom donné par la tradition romanesque du Moyen Âge à l'objet précieux dont le mystère et la quête orientent l'aventure de quelques chevaliers de la Table ronde, depuis Perceval jusqu'à Galaad.
Symbole du salut spirituel, objet d'une quête dont le succès requiert de ceux qui l'entreprennent une pureté de cœur absolue (associé au Cycle des romans arthuriens, le Graal ou Saint Graal est devenu le thème central d'un ample corps de récits romanesques et légendaires).
Le Graal est une relique mythique qui constitue la quête majeure des Chevaliers de la Table Ronde sur demande des Dieux. Il aurait servi à recueillir le sang du Christ après sa mort.
C'était la Dame du lac offrant à Arthur une épée magique incassable, forgée de la main même d'un elfe forgeron d'Avalon, ainsi qu'un fourreau qui permettrait de la protéger autant que son porteur, tant qu'il l'aurait sur lui.