lorsque les prix diminuent : la quantité offerte diminue : les producteurs sont moins incités à produire, la quantité demandée augmente : moins les prix sont élevés, plus les acheteurs sont disposés à acheter.
A l'inverse, quand le prix diminue, la demande augmente. On dit que la demande est une fonction décroissante du prix. Quand le prix d'un produit augmente, généralement l'offre augmente car sa production devient plus rentable ; les offreurs réalisent plus de profits et cela les encourage à produire plus.
L'offre quant à elle est une fonction croissante du prix. Ce qui signifie que lorsque le prix augmente l'offre augmente et inversement, lorsque le prix diminue alors l'offre diminue.
Quelles sont les conséquences sur le prix d'équilibre et les quantités d'une diminution de la production ? Si l'offre diminue, le prix d'équilibre augmente (car le produit est plus rare) et la quantité échangée sur le marché diminue.
L'équilibre est unique. Si le prix est supérieur au prix d'équilibre, l'offre est excédentaire et le prix doit donc baisser pour retrouver le niveau d'équilibre. Si le prix est en dessous de son prix d'équilibre, il y a une pénurie ou demande excédentaire ce qui fait augmenter le prix jusqu'au prix d'équilibre.
Lorsque le prix baisse, toutes choses égales par ailleurs, le surplus du producteur diminue. Au prix d'équilibre les deux surplus, celui des vendeurs (producteurs) et des acheteurs (consommateurs) sont à leur valeur la plus élevée possible.
Si le prix fixé est inférieur au prix d'équilibre, la demande est supérieure à l'offre. L'offre devient insuffisante (les produits deviennent de plus en plus rares), ce qui fait augmenter le prix (les produits rares sont plus chers).
On considère que la consommation d'un bien ou d'un service est élastique par rapport au prix (c'est à dire sensible au prix) si une légère baisse des prix entraîne une forte hausse de la demande de ce produit. Pour mesurer l'élasticité, on rapporte la variation de la demande à la variation des prix.
Cela pénalise les ménages si leurs salaires ne sont pas indexés sur la hausse des prix. Ils subissent alors une perte de pouvoir d'achat qui peut les amener à réduire leur consommation ou à désépargner pour maintenir leur niveau de vie. Mais cela favorise les emprunteurs car le niveau réel de leur dette diminue.
Les coûts baissent sous l'effet de la concurrence parce que les entreprises investissent, croissent et développent des effets d'échelle, découvrent et mettent en œuvre des technologies plus puissantes, améliorent leur productivité, automatisent certains processus, innovent et conçoivent des produits plus adaptés, ...
La relation entre le prix et la quantité offerte est appelée loi de l'offre : toutes choses égales par ailleurs, lorsque le prix d'un bien augmente, la quantité offerte du bien augmente aussi et quand le prix baisse, la quantité offerte diminue aussi.
À quoi correspond le surplus du consommateur ? Le surplus du consommateur correspond à la différence entre le prix d'équilibre du marché et le prix que le consommateur est disposé à payer.
Les facteurs influençant la demande d'un bien sont le prix du bien, les prix des autres biens, le revenu du consommateur et les goûts du consommateur.
La demande représente la quantité de produits que les acheteurs sont prêts à acquérir à un certain prix. ,L'offre est la quantité offerte par les vendeurs pour chaque niveau de prix. Lorsque le prix augmente, la demande baisse. Plus le prix est élevé, plus le nombre d'offreurs est important.
L'élasticité prix est un indicateur qui mesure la réaction de la demande (par exemple des consommateurs) face à une variation du prix d'un service ou d'un produit. L'élasticité-prix est, en règle générale, de signe négatif, car la demande est une fonction décroissante du prix (loi de la demande).
D'une façon générale, baisser les prix aide pour plusieurs choses : - Faire bouger un inventaire si le prix réel était bien déterminé ; - Ravir des parts de marchés à un ou des concurrents ; - Attirer de nouveaux clients.
- L'inflation profite à ceux qui peuvent emprunter à des taux de faveur et, si possible, inférieurs au taux d'inflation : - La capacité d'emprunter est cumulative, et dépend déjà de la capacité antérieure d'emprunter. Ce qui confirme précisément le proverbe populaire bien connu : « On ne prête qu'aux riches ».
Une inflation trop élevée peut déboucher également sur une forte hausse des salaires, ce qui réduit la compétitivité des entreprises et du pays », indique notre source. Mais une inflation modérée (2% à 5%, c'est le cas actuellement dans le monde) reste bénéfique, et est facilement maîtrisable.
Le sentiment de baisse de pouvoir d'achat exacerbe le sentiment d'augmentation des prix. des produits de nouvelles technologies. > Les baisses de prix dans les secteurs de la grande consommation se traduisent par une baisse en volume des ventes.
Inflation : elle correspond à une perte du pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix. Indice des prix à la consommation (IPC) : il permet d'estimer la variation moyenne des prix d'un panier fixe de biens et services consommés par les ménages.
Il y a trois raisons principales à cela : la réouverture rapide de notre économie, l'augmentation des prix de l'énergie, qui pousse l'inflation à la hausse, et un facteur que les statisticiens appellent « effet de base ».
Pour fixer un prix, les analystes distinguent généralement trois facteurs : la demande, les coûts et la concurrence.
Le prix d'équilibre est celui qui égalise la demande et l'offre. C'est donc celui qui satisfait en même temps les désirs des acheteurs et des vendeurs. Tant que le prix d'équilibre n'est pas atteint, il existe soit une demande, soit une offre excédentaire. Il faudra alors soit baisser, soit élever le prix.