Non-respect des droits humains rime avec exclusion sociale, perte de l'identité sociale et individuelle, et marginalisation. Ce qui, en conséquence, laisse peu ou pas de possibilité d'accéder aux biens de production. Le manque de capital est constitutif de la pauvreté tout autant qu'il l'enracine.
L'importance instrumentale des principes des droits de l'homme, comme l'égalité, la participation, la responsabilité et l'état de droit, est aujourd'hui largement acceptée. L'information et la liberté de réunion et d'expression sont des éléments vitaux dans l'élaboration des politiques et la mise en œuvre mesurable.
Syrie, Corée du Nord, Arabie Saoudite, Chine... Les pays où les droits humains sont menacés sont nombreux. Le 10 décembre, instauré journée internationale des droits de l'Homme par les Nations unies, est l'occastion de se pencher sur ces coins du globe où leur respect vacille ou n'existe plus.
Universalité et inaliénabilité Les droits de l'homme sont universels et inaliénables. Tout être humain, partout dans le monde, peut s'en prévaloir. Nul ne peut les céder volontairement.
Les arrestations et détentions arbitraires sont fréquentes, les libertés de la presse et d'opinion sont bafouées, et la torture et les mauvais traitements au sein de l'armée et des centres de détention sont fréquents.
L'ONU soutient le respect de la législation et la protection des droits de l'homme de beaucoup d'autres façons, entre autres : Surveillance de la situation des droits de l'homme dans les pays : les organes de suivi des traités reçoivent une assistance technique, logistique et financière des Nations Unies.
Non-respect des droits humains rime avec exclusion sociale, perte de l'identité sociale et individuelle, et marginalisation. Ce qui, en conséquence, laisse peu ou pas de possibilité d'accéder aux biens de production. Le manque de capital est constitutif de la pauvreté tout autant qu'il l'enracine.
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) est le principal organisme des Nations Unies dans le domaine des droits de l'homme et a pour mandat unique de promouvoir et de protéger tous les droits de l'homme.
La liberté de religion et de conscience sont en effet les premiers des droits de l'homme.
Universels les droits de l'homme ? Les Occidentaux imposent les droits de l'Homme comme devant être universels alors que ces droits sont issus d'une histoire particulière à l'Europe. La réécriture permanente de la Déclaration des droits de l'Homme depuis 1789 montre que cette universalité n'est pas donnée.
La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) a été rédigée et adoptée le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale constituante dans l'immédiateté de la Révolution française. Elle doit donc se lire comme « le but et le programme de la Révolution » (Giorgio DEL VECCHIO).
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Depuis les Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, la France est souvent appelée « la patrie des droits de l'homme », en raison de la vocation universelle de cette première déclaration des droits de l'homme.
Les victimes de cette forme de violence peuvent endurer des violations de leurs droits fondamentaux – par exemple le droit à la vie, le droit de ne pas être soumis à la torture et à des traitements dégradants, le droit de ne pas être victime de discrimination et le droit à la sûreté et la sécurité.
Les droits humains sont les droits inaliénables de tous les êtres humains, sans distinction aucune, notamment de race, de sexe, de nationalité, d'origine ethnique, de langue, de religion ou de toute autre situation. Les droits humains incluent le droit à la vie et à la liberté.
La Convention protège :
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Le premier devoir consiste à respecter les droits d'autrui. Le deuxième consiste à user de ses droits de citoyen (qui dépassent singulièrement le droit de vote) en combattant pour la défense des libertés individuelles mais aussi des droits économiques, sociaux et culturels.
Le fondement moral des droits de l'homme
Et cette « chose fondamentale », c'est le fondement premier des droits de l'homme. Des siècles plus tard, on traduira cela dans la Déclaration universelle par la notion d'égale dignité de tous les êtres humains, quels que soient leur situation sociale, leur sexe.
A l'occasion de la célébration des 70 ans de la Déclaration universelle des droits de l'Homme le 10 décembre 2018, le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes (HCE) appelle préférer l'expression « droits humains » à celle de « droits de l'Homme ».
L'Article 1 de la Déclaration universelle des droits de l'homme stipule que « [t]ous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». La non-discrimination, proclamée à l'Article 2, garantit cette égalité. La non-discrimination imprègne l'ensemble du droit international des droits de l'homme.
Elle est un rempart qui protège les personnes, garantit les règles du vivre ensemble, les droits et donc les devoirs de chacun, les conditions d'une société apaisée et est une réponse à la légitime demande de sécurité des Français.