Entre 3 et 4 ans environ, un enfant commence à poser de nombreuses questions qui débutent souvent par « pourquoi ». Chaque réponse qu'il obtient amène ensuite une nouvelle question.
À travers le câlin, l'organisme libère aussi de la dopamine, un autre neurotransmetteur souvent qualifié d'hormone du bonheur : en créant une sensation de plaisir, la dopamine est directement impliquée dans l'action, la motivation et le déclenchement de bonnes vibrations intérieures, comme la musique.
Quand votre enfant reçoit de l'affection, il comprend qu'il est aimé et qu'il a une valeur. Il se sent en sécurité et cela développe aussi son estime de soi. Et c'est justement ce dont votre enfant a besoin pour explorer ce qui l'entoure et apprendre des choses.
Forcer un enfant à concéder un bisou peut générer chez lui un malaise chronique. Surtout lorsque les personnes rencontrées ne sont ni de sa famille ni de son entourage proche. L'obliger lui renvoie par ailleurs à l'idée que sa décision concernant son corps ne compte pas et que son consentement n'a aucune valeur.
Les prostituées préfèrent ne pas embrasser leurs clients
La raison ? Un baiser demande plus que du sexe, un désir authentique et un sentiment d'amour pour la personne. En ne s'embrassant pas, les prostituées s'assurent de pouvoir faire leur travail sans s'impliquer émotionnellement.
Il n'est tout simplement pas à l'aise d'avoir des contacts physiques avec des personnes qui ne sont pas de sa famille proche. D'autres enfants montrent une hypersensibilité aux contacts physiques et n'aiment pas les câlins ni les bisous. Certains de ces enfants sont aussi sensibles à tout ce qui touche leur peau.
La grand-mère dispose aussi d'une expérience de parentalité et est apte à prendre du recul, en cas de situations difficiles. Celle-ci n'a pas à prendre en charge le poids de l'éducation : elle n'a pas à être autoritaire, ni à inculquer les règles de la vie (bien qu'elle puisse tout à fait le faire).
Lorsque la carence affective se prolonge ou se répète, des signes plus spécifiques apparaissent. Balancements, stéréotypies, automutilations, tous ces comportements ont pour objectif une autostimulation de l'enfant qui cherche ainsi à se sentir vivant.
Les câlins diminuent le stress et l'anxiété : Comme vue déjà plus haut, le câlin provoque la libération d'ocytocine, une hormone qui favorise l'attachement et diminue le niveau de stress. Ainsi, grâce à la libération d'ocytocine, le niveau de stress et d'anxiété diminue.
Pro endorphine et Anti-stress
Il nous faut une dose d'endorphine, ce presque opiacé naturel secrété par notre cerveau qui nous fait tant de bien. On peut partir faire un jogging d'une heure (ce qui permet de libérer un peu de ladite endorphine)… ou faire un câlin (plus simple et moins fatigant).
Mieux se connaître et apprendre à s'accepter
Ce qui m'amène à autre chose : devenir mère m'a permis de mieux me connaître et m'accepter. Comme de nombreux parents, je m'efforce de faire de mon mieux pour éduquer et surtout pour vivre avec mes filles.
La science a montré que les enfants utilisent davantage l'énergie d'origine aérobie que les adultes, ce qui diminue la part anaérobie produisant la fatigue. Leur métabolisme aérobie s'activant aussi plus vite que chez leurs aînés, ils ont moins recours à l'énergie anaérobie au démarrage de l'exercice.
L'angoisse de la séparation se manifeste généralement entre l'âge de 6 mois et 3 ans. Il s'agit d'une étape observée chez de nombreux enfants.
Le manque affectif se ressent par une douloureuse sensation de vide intérieur et une tendance aux conduites addictives. Identifiable comme symptôme de la dépendance affectif, le manque d'affection s'exprime dans le cadre des relations affectives.
La carence affective renvoie à la privation d'amour, d'affection, de tendresse et d'attention des parents, mais surtout de la mère, envers les enfants. Elle se manifeste par différents facteurs qui peuvent aller de l'absence physique des parents – due à une maltraitance, une négligence ou un rejet – à l'abandon.
Pour pourvoir guérir de la carence affective, il est important de prendre conscience de cet état. Il est donc nécessaire d'encourager les personnes victimes de ce trouble à consulter un psychologue, pour qu'elles puissent accepter la réalité.
La place des grands-parents dans la vie des enfants
Bien souvent, les grands-parents sont là pour jouer les intermédiaires entre les générations différentes. Beaucoup plus disponibles et souvent plus à l'écoute que les parents, ils occupent à la fois un rôle éducatif et affectif.
Pour construire une relation de confiance, il faut s'investir dans la vie de vos petits-enfants. Amenez-les à se confier à vous : faites-leur quelques confidences et prouvez-leur qu'ils peuvent vous en faire en retour.
Première solution, simple et immédiatement accessible : se prendre soi-même dans les bras. « Quand on est seul, mieux vaut fermer les yeux et se prendre seul dans les bras que ne rien faire. Le cerveau ne fait pas la différence et libère un peu d'ocytocine. ». Autre solution en solitaire, les coussins-doudous.
Donner de l'affection à travers le jeu
Certains bisous, comme celui du coucher, font partie du rituel. Il est donc important de s'y tenir. Si votre enfant refuse que vous l'embrassiez, instaurez un jeu.
Câliner bébé, essentiel
Dès la naissance, on fait du « peau à peau » avec bébé. Cela permet de construire le lien avec l'enfant, (notamment pour le papa) et c'est magique de voir à quel point ça l'apaise.