– Enfants exploités (exploitation sexuelle ou encore travail forcé) : Souvent, les enfants sont victimes d'abus sexuels. La plupart du temps, les violences sexuelles augmentent considérablement en temps de conflit. Par ailleurs, les enfants sont aussi soumis au travail forcé et participent, malgré eux, aux hostilités.
Les guerres traditionnelles ont généralement pour effet d'affermir le pouvoir de l'État, temporairement ou de manière durable. Elles ont même contribué à la naissance de ce dernier. Dès le début des conflits armés, le pouvoir de décider et de mener la guerre a permis l'affermissement du pouvoir des dirigeants.
Et la réponse des assistants vocaux est pour le moins curieuse : « La troisième guerre mondiale commencera le 23 novembre 2023 à 18h05 quand la Russie lancera une attaque contre l'Allemagne ».
la guerre comme facteur de cohésion sociale. Tant du point de vue de l'attaquant que de l'attaqué, la guerre semble contribuer à maintenir ou restaurer la cohésion sociale d'un groupe ou pays.
La guerre est un phénomène protéiforme. Elle peut être une guerre de conquête (ou défensive pour le territoire agressé) qui a pour but d'agrandir son territoire ou de piller le territoire ennemi. Il s'agit de la forme la plus ancienne de la guerre. Elle n'a pas pour but la destruction de la partie adverse.
Parce que les conséquences des conflits sont vastes
Aider les gens à se confronter et à s'attaquer aux causes premières et aux facteurs de conflits, de même qu'à leurs lourdes conséquences exige un travail de concertation à moyen, voire long terme.
La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice.
Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2023 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la réforme des retraites de 2023. En tout cas, il est tout même utile de rester prudent et de se préparer au mieux au cas où la guerre se déclenche.
Ainsi, la victoire se fête le 8 mai chez les occidentaux, et le 9 mai en Russie. Ce jour marque la fin de la guerre en Europe, mais elle se poursuit dans le pacifique, jusqu'à la capitulation japonaise après les bombardements nucléaires de Hiroshima et de Nagasaki, les 6 et 9 août 1945.
La guerre à l'Ukraine déclenchée par Vladimir Poutine le 24 février 2022, , fait l'actualité en Occident. Ce conflit spectaculaire, commenté massivement par toutes les chaînes d'info, est certes important.
Nous avons dû lui faire la guerre pour éviter nous-mêmes d'être exterminés ou asservis. Beaucoup estiment d'ailleurs à raison que, si nous avions réagi plus tôt, par une guerre précisément, nous aurions pu vaincre plus vite Hitler et éviter des dizaines de millions de morts.
Le but de la guerre est d'amener une situation politique. Cette dernière constitue donc la visée de l'État car une campagne bien menée permet de négocier en position de force. Il est alors indéniable que la guerre trouve sa raison et sa fin dans la politique.
Pourquoi nous aimons jouer à la guerre
Ces jeux nous aident à montrer au monde, et plus particulièrement à nos ennemis, que nous sommes meilleurs qu'eux : notre stratégie est plus astucieuse, nos réflexes plus aiguisés et nos compétences supérieures.
Ainsi, le recours à la guerre peut à priori demeurer plus facile car plus approprié à des fins politiques et/ou économiques de la part des Etats qui ne prennent pas en compte les guerres précédentes qui se sont soldées par des résultats désastreux pour les population.
Pourquoi est-ce important de se rappeler ce qu'il s'est passé durant la guerre ? Se souvenir de cette guerre, c'est se rappeler toutes les personnes qui ont souffert, qui sont mortes, mais aussi qui se sont battues pour garantir, aujourd'hui, notre liberté.
Mettre en avant la protection des populations civiles, c'est exclure les bombardements, l'envoi de matériel militaire pour renforcer un camp — car cela ne fait que renforcer le malheur des civils. Les conventions internationales intègrent déjà l'interdiction de la fourniture d'armes à des belligérants (2).
La guerre, dans cette perspective, est un moyen de résolution des conflits. C'est une solution. Elle vient s'intercaler dans un cours des choses régit par des principes reconnus et partagés, ce qu'on appelle la paix. Ainsi, la guerre est une tâche essentielle de l'État, et dans le même temps elle révèlerait l'État.
Participant à l'effort de guerre, les femmes ont joué un rôle fondamental durant le conflit de 1914-1918. Elles remplacent les hommes partis au front et deviennent postières, conductrices de tramway, « munitionnettes »… Les femmes s'engagent et se montrent patriotes et solidaires…
En 1635, les Habsbourg catholiques sont sur le point de vaincre les protestants et la France craint de voir resurgir l'empire de Charles Quint. Elle se lance donc activement dans la guerre. Les batailles sont nombreuses et la lutte reste longtemps incertaine.
Si vis pacem, para bellum (« Si tu veux la paix, prépare la guerre » en français) est une locution latine. Elle représente le concept de paix armée. Devise sur le cartouche du Centre culturel des armées à Madrid.
La seconde guerre mondiale (1939-1945) a impliqué la plupart des pays de la planète. Elle a également mobilisé l'énergie et les ressources des belligérants. C'est la raison pour laquelle elle est considérée comme une « guerre totale ».
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.