Depuis le début du XIXe siècle, des Espagnols choisissent de s'exiler en France, pour des raisons politiques ou économiques. Cette immigration atteint un point culminant dans les années 1930, dès les prémices de la guerre d'Espagne en 1931 jusqu'à la Retirada et la fin des hostilités en 1939.
Le début de l'exode
L'avancée des troupes franquistes oblige, dès 1936, de nombreux républicains à quitter provisoirement l'Espagne pour fuir les combats. Un exode intérieur jette également sur les routes des milliers d'Espagnols, qui trouvent progressivement refuge en Catalogne.
L'immigration des Espagnols vers la France existe depuis la fin du XIXe siècle, surtout dans les régions frontalières. Ils travaillaient essentiellement comme journaliers agricoles dans le Midi, et dans l'agriculture ou l'industrie dans le Sud-Ouest.
Ces migrants venus de la province d'Alicante étaient en majorité des ouvriers agricoles et ils constituèrent une main d'œuvre indispensable pour les grands travaux de l'été dans les exploitations appartenant aux colons français. La population de certaines villes de l'Oranais prit ainsi un caractère nettement espagnol.
Cependant, malgré cette sympathie idéologique, l'Espagne n'entre pas dans la guerre comme un belligérant, et contrarie les volontés allemandes qui souhaitaient une neutralisation de Gibraltar. L'Espagne stationne également des forces armées dans les Pyrénées pour dissuader l'Allemagne d'occuper la péninsule Ibérique.
Alors que l'État français souhaitait au départ se tenir strictement à ces accords internationaux, il finit néanmoins par « relâcher » la non-intervention durant le printemps 1937. C'est-à-dire qu'il ferma les yeux sur le trafic illégal à destination de la République espagnole.
Le 9 janvier 1719, la France déclare la guerre à l'Espagne. Le conflit est la conséquence de la rivalité personnelle entre le roi Philippe V d'Espagne, petit-fils de Louis XIV, et le Régent de France Philippe d'Orléans.
D'après le Larousse, « pied-noir » (et « pieds-noirs ») est un nom et un adjectif qui signifie : « Français d'origine européenne installé en Afrique du Nord jusqu'à l'époque de l'indépendance. »
À partir de 1952-1953, l'Algérie en déficit pour ses dépenses de fonctionnement est financée par la France. À la suite de la guerre d'Algérie (1954-1962), l'indépendance du pays est proclamée et voit l'exode des pieds-noirs et de certains harkis.
Celtibères, Phéniciens et Grecs
Les Ibères sont les premiers habitants de la péninsule à laquelle on a attribué leur nom, dans les sources écrites. La migration des Celtes et leur installation en Espagne provoque des métissages et donne naissance, entre autres, aux Celtibères.
Étymologie de « espingouin »
Pour nos voisins du sud, la France reste avant tout une destination de loisirs, qui constituent la principale motivation des Espagnols pour visiter la France (68%), très loin devant les visites à la famille (14%) et le travail (12%).
L'enjeu majeur de la colonisation est bien évidemment la quête de métaux précieux : le terme « Siècle d'or espagnol » s'applique au sens propre à la péninsule ibérique du XVIe siècle, car l'afflux d'or et d'argent va conférer à la monarchie de Charles Quint puis de Philippe II, une puissance économique et un ...
Au début des années 1510, les Portugais prennent pied dans l'archipel des Moluques, qui est la zone de production des clous de girofle. Les Espagnols leur contestent le droit de s'établir sur place, estimant que le traité de Tordesillas a divisé la terre en deux hémisphères et que l'archipel se trouve dans leur partie.
Il semblerait en effet que l'Espagne vive depuis un très grand nombre d'années dans le mauvais fuseau horaire ! Si l'on observe une carte du monde il est facile de voir que l'Espagne devrait se trouver dans le fuseau UTC, celui de l'Angleterre ou du Portugal, pays avec lesquels elle se trouve alignée.
Cette dénomination s'opposait à celle de « camp nationaliste » qui désigne les forces rebelles au gouvernement de la république. Les républicains furent également désignés d'autres noms, en particulier par leurs adversaires. Ceux-ci usèrent des termes de « rouges », « communistes », « anarchistes ».
Au cours de l'occupation turque, qui dura de 1515 à 1830, l'Algérie bénéficia d'une grande autonomie, sous l'autorité d'un pouvoir militaire exercé par le dey et contrôlé par la milice des janissaires turcs. Les Ottomans construisirent des fortifications tout le long du littoral et y installèrent des garnisons.
La prise d'Alger, le 5 juillet 1830 , par les troupes françaises, commandées par Louis Auguste Victor de Ghaisne, comte de Bourmont.
La guerre d'Algérie a ramené le général de Gaulle au pouvoir et mis fin à la IVe République.
Pourquoi ? Parce souvent ils ne portaient pas de chaussures dans les « bleds », les villages. Comme ils allaient pieds nus, ils avaient les pieds sales. Cette désignation serait ensuite passée en métropole où elle aurait désigné les Français d'Algérie, une façon de les cataloguer comme des Français de seconde zone.
Vandales, principautés maures et reconquête byzantine.
Après l'indépendance de l'Algérie, les Algériens de statut civil de droit commun ont conservé la nationalité française de plein droit. Algériens bénéficiant du statut civil de droit local : Personnes régies par la loi musulmane.
Le soulèvement de la population madrilène le 2 mai 1808 marque pour les Espagnols le déclenchement de la guerre contre les Français. Il n'est pas totalement une surprise pour Napoléon qui avait déjà mis en garde Murat contre la « populace » de Madrid.
La guerre civile espagnole, également appelée guerre d'Espagne, a commencé en 1936 avec le coup d'État orchestré par le général Francisco Franco. Comme toujours dans ce genre de conflit, la guerre civile en Espagne tire ses origines d'un profond malaise au sein de la société.
La guerre est due à la volonté de Napoléon de mieux contrôler l'Espagne afin de renforcer le Blocus continental contre le Royaume-Uni. Après avoir contraint le roi d'Espagne Charles IV et son fils Ferdinand à abdiquer en sa faveur (mai 1808), Napoléon donne le trône d'Espagne à son frère Joseph Bonaparte.