Les personnes aux prises avec l'atychiphobie craignent principalement l'échec parce qu'elles manquent de confiance en leurs capacités. Certains éprouvent une peur extrême de l'échec à cause du ridicule que l'on pourrait rencontrer en raison de l'échec. De même, certains en souffrent par peur de prendre des risques.
VIDÉO - Il y a encore pire que l'échec : échouer après avoir réussi !
Mais pourquoi a-t-on autant peur d'échouer ? Selon Antoine Spath, psychologue, “l'échec renvoie à une blessure narcissique. Il fait mal, car il peut faire perdre confiance en soi, d'autant plus qu'il n'est pas valorisé socialement […]
sociale. Cela peut rendre les choses difficiles pour les phobiques : pour trouver un emploi, on gâche rapidement ses amitiés, etc. La phobie du succès ressemble beaucoup à la peur de l'échec : les deux empêchent celui qui en souffre de rêver et d'atteindre ses objectifs.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
Au moment d'agir, les manifestations de peur sont bel et bien présentes : nuque bloquée, gorge nouée, cœur qui s'emballe, souffle court, mains tremblantes et jambes flageolantes, sueurs froides… Plus l'émotion est forte, plus les tensions corporelles augmentent.
Alors la première raison qui peut pousser à l'échec un zèbre, c'est tout simplement lorsque il n'est pas au courant de son potentiel. En fait, on vu qu'on a un fonctionnement atypique et complètement différent, il est primordial d'être au courant de sa douance pour mieux la vivre.
Une chute nous permet d'apprendre de nos erreurs et de comprendre nos pairs. Ainsi, en plus de nous faire grandir, l'échec nous rend également plus humble. Il nous permet de comprendre que rater quelque chose ne fait pas pour autant de nous un raté. C'est vrai pour nous, mais également pour les autres.
L'échec est l'état ou la condition qui fait que l'objectif désiré ou prévu n'est pas atteint, et peut être vu comme l'opposé de succès, mais cela peut aussi désigner un sentiment qui surgit lorsque l'on regrette quelque chose, au même titre que le regret.
Kakorrhaphiophobie, peur de l'échec.
L'atélophobie est la peur de l'imperfection ou des choses qui vont mal ainsi que la peur de l'échec. Elle se manifeste souvent par un style de pensée «perfectionniste» et peut conduire à un sentiment constant d'insuffisance ou de ne pas être «assez bon».
Un sage nommé Sissa
D'après la légende, l'inventeur présumé des échecs indiens serait un brahmane nommé Sissa. Il aurait inventé le chaturanga pour distraire son prince de l'ennui, tout en lui démontrant la faiblesse du roi sans entourage.
Les Blancs jouent le premier coup de la partie. On dit de celui qui doit jouer qu'il a le trait, et jouer est une obligation (on ne peut pas « passer » son tour).
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
« Quel est votre plus grand échec ? » : c'est la question qui nous fait peur lors d'un entretien d'embauche ! Pendant l'entretien d'embauche, le recruteur évalue notre compatibilité avec l'entreprise. Pour cela, il s'intéresse à nos qualités, nos défauts, nos réussites, notre motivation, mais aussi à nos échecs.
L'épanouissement professionnel n'est plus la condition sine qua non pour réussir sa vie. Elle n'est plus qu'un composant parmi d'autres : l'indépendance, la liberté, la paix intérieure... Et surtout bien en dessous du désir fort de vivre des expériences.
Auteur, philosophe, musicien, chanteur (les métiers artistiques en général) Acteur, scénariste. Consultant. Coach en développement personnel ou autre type de coaching.
Être honnête avec soi-même et avec les autres pour rebondir après un échec. Dédramatiser l'échec permet ainsi d'en accepter la pleine responsabilité. Mais aussi, de prendre les mesures nécessaires pour en limiter l'impact et pouvoir mieux rebondir par la suite.
Accepter l'échec
Comme toujours lors d'une situation difficile, le bon réflexe à adopter en cas d'échec est d'accepter entièrement ses ressentis et de ne surtout pas chercher à faire taire les émotions et les pensées qui nous assaillent. Souffrir après un échec est tout à fait normal et compréhensible.
1. Carpophobie. La carpophobie est une phobie extrêmement rare, caractérisée par une peur irrationnelle des fruits. La personne qui en souffre refuse catégoriquement de consommer des fruits.
L'anatidaephobie, la peur incontrôlable d'être observé par un canard…