L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
Les boissons vitaminées, comme le Pepcid, sont très prisées par les Asiatiques américains car elles permettraient de limiter le rougissement dû à l'alcool.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Votre visage rougit après avoir bu deux verres de vin ? Vous faites peut-être de l'hypertension artérielle. C'est une étude sud-coréenne qui l'affirme. D'après les chercheurs, ce phénomène serait dû à un des composants de l'alcool, l'éthanal, que le foie détruit chez la plupart des gens.
- Activité physique. - Consommation d'alcool ou de nourriture épicée. - Exposition de la peau à des températures trop élevées (soleil, sauna, douche ou bain dont la température de l'eau est excessive,...). - Réaction allergique (cosmétique ou réaction cutanée suite à la prise d'un médicament).
L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
La rougeur est due à une dilation des vaisseaux sanguin de la peau au niveau de la couche du derme, sous l'épiderme. Le rougissement du visage peut être une réponse normale du corps lors d'une forte émotion comme par exemple l'embarras, la colère, l'excitation ou le stress.
Des quantités excessives d'acétaldéhyde seraient à l'origine des rougeurs au visage et de l'hypertension artérielle. La prévalence de ces rougeurs au visage liées à l'alcool diffère selon les groupes ethniques et est plus fréquemment rencontrée chez les Asiatiques.
Rhinophyma est un terme générique décrivant un nez très large, bulbeux et sanguin.
La consommation excessive d'alcool modifie la composition des télomères (extrémités des chromosomes permettant de protéger la séquence d'ADN) et accélère le vieillissement, selon les résultats d'une étude présentée lors du 40e congrès annuel de la «Research Society on Alcoholism».
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
L'alcool fait prendre du poids pour plusieurs raisons : les calories de l'alcool, un stockage des graisses par l'organisme, un dérèglement de la satiété et de l'appétit. L'alcool fait grossir pour plusieurs raisons. La première est que c'est un produit très calorique. Chaque gramme d'éthanol contient 7 calories.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes. Mais d'autres indices peuvent alerter, comme un laisser-aller général : du désordre, des machines à laver en retard, de la nourriture périmée dans le frigo...
Cette réaction résulte de l'accumulation d'acétaldéhyde, un sous-produit de la dégradation enzymatique de l'alcool, dû à un manque en acétaldéhyde déshydrogénase. Ce syndrome est associé à un risque accru de cancer de l'œsophage chez les personnes qui boivent.
les conditions de température : le froid, la chaleur, le vent, le soleil; certains aliments: l'alcool, les boissons chaudes, les plats épicés, la caféine; le stress et les émotions fortes; les produits cosmétiques gras, parfumés ou à base d'alcool.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
Gonflement
Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès.
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.
Les symptômes physiques et psychologiques
D'un point de vue physique, un sevrage de l'alcool peut entraîner des sueurs, des tremblements, de la transpiration, des nausées/vomissements, une grosse fatigue, de possibles vertiges, des maux de tête, de la tachycardie…
L'alcool dénaturé n'est pas bon pour la peau. Sa nature rugueuse peut déshydrater votre peau et la dessécher avec le temps. Mieux vaut l'éviter.
Le craving ou l'envie irrépressible de boire est le premier signe qui laisse suspecter une dépendance à l'alcool. Sa consommation devient régulière et intense : elle boit des grandes quantités à longueur de journée.
Mieux vaut donc s'y confronter et assumer son rougissement face à l'interlocuteur, en faisant preuve d'humour par exemple. Une autre astuce intéressante pour se détacher de son rougissement consiste à s'intéresser à son interlocuteur, se concentrer sur son discours, lui poser des questions, le regarder dans les yeux...
Autrement dit, ceux qui ont une solide confiance en eux et une maîtrise de leurs émotions rougissent moins. C'est pourquoi, souvent, ce phénomène s'amoindrit avec le temps. C'est en principe entre 10 et 20 ans que l'on rougit le plus. Ensuite, on devient généralement moins sensible au regard des autres.
Vous souffrez très probablement d'éreutophobie, c'est-à-dire la crainte excessive, voire pathologique, de rougir en public. Il s'agit d'une forme de phobie sociale, c'est-à-dire une peur présente chez des individus qui ressentent, dans certaines situations sociales, une forte anxiété.