Ara ! », ces fameux cris d'alerte que la police traduit par « Attention ! » Pour cette mission, qui s'étale sur plusieurs heures, nuit et jour — ici pas de 35 heures : un mi-temps, c'est 10 heures-18 heures ; un temps plein 10 heures-minuit —, les guetteurs des Marronniers seraient, disent-ils, rémunérés « 200 euros la ...
Ce « Ara » est un terme utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de drogue de la présence des policiers. Zakaria est interpellé quelques instants plus tard. Le sac qu'il avait tenté de dissimuler contenait quant à lui 25 sachets de cannabis.
Dans le langage des jeunes, il a pris la signification d'une alerte pour prévenir qu'une personne arrive. Il est, par exemple, utilisé par les guetteurs pour prévenir que la police arrive : "Arah, Arah, Arah (voilà les flics !)"
Ce mot signifie attention en arabe. Souvent utilisé par les guetteurs pour annoncer la venue des policiers.
SELAH est un mot qui signifie "pause" en hébreu, et que l'on retrouve dans les Psaumes à plusieurs reprises.
Schneck. Étymologiquement, ce terme vient de l'allemand qui veut dire "escargot", "limace". Mais comme le dictionnaire de L'internaute l'indique, "schneck" vient également de l'argot contemporain et désigne "le sexe féminin, précisément la vulve".
C'est un mot qui a pour racine le verbe Poukh utilisé dans la langue des Roms, des gitans, et qui signifie trahir, dénoncer. Ses synonymes sont balancer, cafter, rapporter. Il peut aussi bien désigner le fayot de la classe, un indic, ou quelqu'un qui dénonce une injustice.
« Vingt-deux » signifie couteau dans l'argot français du XIX e siècle. L'expression signifierait donc « tous à vos armes ». L'arme favorite des voyous du temps était le « couteau d'arsouille » avec sa lame de 22 centimètres ; Un homme normalement constitué a deux jambes, qui forment le nombre 11.
Flic ou keuf
Ce terme apparaît au XIXe siècle et nous arrive sans doute d'Allemagne (de l'argot Flick « garçon » ou Fliege « mouche »). Victime de son succès, il s'est ensuite décliné en fliquer, flicage voire flicaille, encore plus péjoratif.
Abréviation d'araraca, qui est, au Guarani, le nom de ce perroquet. (1558) Du tupi-guarani ara.
ara n.m. Perroquet d'Amérique latine, aux vives couleurs, au bec fort et...
Le guetteur - celui qui surveille si la police pénètre dans une cité où un quartier contrôlé par le trafic de stupéfiants (ndlr) - explique se «sentir en sécurité» dans son activité. Selon lui, il est plus simple de «rester entre ces murs» à attendre les clients et surveiller la zone où s'écoule le trafic.
Personne qui guette. Personne chargée de surveiller et de donner l'alerte. ➙ sentinelle.
guetteur, guetteuse
Personne qui fait le guet, qui surveille, épie. 2. Veilleur qui, du haut d'un beffroi ou d'une tour, surveillait les environs et sonnait l'alarme.
De l'allemand schmied « forgeron », terme véhiculé chez les jeune par le romani (dialecte sinto). Le forgeron étant celui qui fabrique les menottes dont se sert le policier (Goudaillier) .
C'est lors des grands travaux du baron Haussmann que cette caserne est édifiée… sur un ancien marché aux volailles. Les parisiens ne tardent pas à assimiler les nouveaux occupants des lieux aux anciens. Les policiers parisiens deviennent des poulets et rapidement cette expression gagne l'ensemble du pays !
Schmitt est un terme argotique employé pour désigner un policier, un gendarme. Il provient de l'allemand "Schmitt" qui signifie "forgeron".
Le numéro d'appel d'urgence de la Police nationale est le 17, qui est d'ailleurs partagé avec la Gendarmerie nationale. Les appels au 17 police-secours sont ainsi traités par l'une ou l'autre force de l'ordre en fonction de la localisation de l'appelant.
Cela provient de la formation de la Metropolitan Police Service au XIX e siècle, lorsque les policiers n'étaient pas armés, en partie pour contrer les craintes du public et les objections envers les forces de maintien de l'ordre armées comme cela avait déjà été vu avec l'armée de terre britannique maintenant l'ordre en ...
Le mot " police "vient du latin politia qui, lui-même, trouve son origine dans le grec politeia (art de gouverner la cité), lequel dérive du mot polis (cité, ville). En vieux français, pollice signifiait " gouvernement ".
Nom donné aux vendeurs de drogues et aux trafiquants ainsi qu'à l'action même des vendre des stupéfiants.
"Miskine" désigne en arabe "pauvre". Le terme peut se transformer en "Miskina" et est employé pour signifier que vous inspirez la pitié.
Le beauf est né dans les années 1970 sous le trait de Cabu. Il désigne un individu vulgaire et étroit d'esprit. Archétype bien franchouillard, il fleure souvent le mépris de classe. En 1972, Cabu, jeune dessinateur, esquisse un nouveau personnage pour les journaux satiriques Hara Kiri puis Charlie.
Diminutif bâti sur la base d'un redoublement de Paul, Popaul est généralement usité par l'homme auquel il est relié et sans lequel il n'a aucune capacité à exister.
(Nom commun 1) Des créoles antillais ou réunionnais, signifiant « gars ». (Nom commun 2) Du japonais 盆 , bon.