Ils sont à la recherche de marques absentes ou difficiles à trouver au Japon. C'est le cas de la cosmétique haut de gamme par exemple, mais aussi des accessoires de luxe qui sortent de l'ordinaire. Ils sont également intéressés par la culture, l'art et l'art de vivre à la française.
En effet, lorsqu'ils évoquent la France, les Japonais l'associent souvent de facto à sa capitale. Première destination française pour les touristes étrangers, Paris est une ville cosmopolite qui connaît la plus grande concentration d'activités artistiques, gastronomiques et de Haute Couture du pays.
Les français sont donc vus au Japon avec bienveillance. La renommée de notre pays donne une bonne image du français, même si celle-ci se nourrit de nombreux clichés. En fait, la culture française et la culture nippone sont si différentes, qu'il y a forcément un décalage, dans la manière de percevoir l'autre.
1. Corée du Sud. 375 119 touristes. Certains ont pu se rendre par erreur au Nord mais vu qu'on n'a plus trop de nouvelles, difficile d'établir des statistiques fiables.
Un peu moins de la moitié des Japonais en France vivent à Paris, selon les données 1996 de l'ambassade du Japon. Les Japonais à Paris vivent dans plusieurs secteurs, les plus fortes concentrations se trouvant dans les 15e et 16e arrondissements.
Selon la liste des plus grandes fortunes mondiales, dressée par le magazine américain Forbes le 6 avril, le Japonais le plus riche est Son Masayoshi, le fondateur et président directeur général du géant de la téléphonie SoftBank.
Une accentuation pourtant très importante, car elle entraîne de nombreuses inflexions qui peuvent changer le sens du mot. Une forme écrite qui ne donne aucun indice sur la prononciation et un système de tons qui peut donner un tout autre sens au mot rendent cette langue particulièrement ardue.
Les japonais ont des codes sociaux très stricts et sont fortement attachés à la politesse, à la modestie, à l'organisation, à l'hygiène et à la ponctualité. Voici une liste non exhaustive des comportements à adopter pour ne pas offenser vos hôtes, ou même les passants dans la rue.
Le Japon commerce surtout avec l'Australie, l'Union Européenne, les Etats-Unis et les pays d'Asie. Il exporte des automobiles et des produits industriels de haute technologie, mais il est totalement dépendant du commerce international avec ses importations massives de produits agro-alimentaires et énergétiques.
Ce grand ménage annuel, les Japonais l'appellent oosouji, qui consiste non seulement à nettoyer chez soi mais aussi à régler les dettes, les factures et les autres tracas sur lesquels on a tendance à procrastiner. Pour effectuer ce rituel tout droit venu d'Asie, il faut réserver un jour où l'on ne travaille pas.
Outre l'aspect économique de votre situation, les Japonaises sont très soucieuses de l'image qu'elles vont donner autour d'elle, de la vision des autres sur leur situation de couple, bref, du regard de la société sur VOUS donc sur ELLES.
Le ministère de la santé souligne la diminution du nombre de personnes en âge de procréer, à mesure que la progéniture des baby-boomers vieillit. Cela s'ajoute à d'autres facteurs, notamment la culture japonaise qui rend difficile à la fois d'avoir un travail en dehors de la maison et d'être mère.
Se moucher en public
Le simple fait de se moucher dans les lieux publics peut irriter les Japonais. Il est préférable de renifler à tout va que sortir son mouchoir et se moucher bruyamment en pleine rue.
Au Japon, les excuses sont un véritable art, qui fait partie du savoir vivre et surtout de l'inconscient collectif de l'Archipel. Pour s'excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d'une brève inclinaison de la tête. Si l'on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt «gomen nasai » (pardon).
Les deux pays ont échangé autant dans les domaines militaire et économique que dans le domaine artistique. Le Japon a modernisé son armée avec l'aide du français Jules Brunet. La France a aidé le Japon à développer ses moyens de construction navale et a participé au développement des lois japonaises.
La réussite professionnelle à tout prix, le dévouement sans limite à l'entreprise et la compétitivité sont les valeurs maîtresses dans le monde du travail au Japon. En 2016, 22% des japonais travaillent plus de 50 heures par semaine et ne prennent en moyenne que 9 jours de congés par an.
Premier point de faiblesse: la dette publique représente un peu plus de 170 % du PIB, comme le rappelle une étude de la mission économique de l'ambassade de France au Japon, et le gouvernement ne semble pas s'inquiéter outre mesure de la situation. "L'augmentation des prélèvements reste un tabou", indique l'étude.
Plus de 10 millions de personnes au Japon vivent avec l'équivalent de moins de 16.000 euros par an, et une personne sur six vit dans une "relative pauvreté", avec un revenu inférieur à la moitié du salaire médian, selon des chiffres officiels.
Ce phénomène typiquement japonais se distingue de la prostitution « classique » par les motivations supposées des jeunes filles impliquées : plutôt qu'une source stable d'argent, c'est une source occasionnelle d'argent de poche ou d'appoint qui serait visée, souvent stigmatisée par le désir de se procurer des produits ...
– La culture manga, otaku et geek : pour beaucoup d'étrangers au Japon, c'est l'une des raisons principales. Ils ont été bercés par cette culture depuis la plus tendre enfance, notamment pour la génération Club Dorothée et les suivantes. Alors, venir à la source de cette culture est une chose des plus normales.
Le régime traditionnel japonais est en partie responsable de cette longévité extraordinaire. Comme le régime traditionnel chinois, il est en grande partie composé de produits frais et non transformés, comme le riz, les légumes cuits ou marinés, le poisson et la viande.
Le Japon se positionne au-dessus de la moyenne dans les dimensions de l'éducation, la sécurité et de la qualité de l'environnement. Il se classe en dessous de la moyenne pour ce qui est des revenus, des liens sociaux, de l'engagement civique et de la satisfaction à l'égard de la vie.
1. L'anglais. C'est la langue la plus parlée au monde, ce qui facilite sa pratique. Elle se compose de mots courts, sa grammaire ne comprend ni genres ni accords de mots et la conjugaison de ses verbes ne change qu'à la troisième personne.
1. Le chinois mandarin. « Je n'y comprends rien, c'est du chinois ». Dans l'imaginaire collectif, le chinois — ou plus précisément le mandarin — est considéré comme l'une des langues les plus dures à apprendre.