Il apparaît dans la partie de la Bretagne qui a conservé la langue régionale jusqu'à l'époque contemporaine ce qui pourrait donc expliquer une bretonnisation de la terminaison. Autre possibilité, le suffixe -ec (eg en Breton) signifie "remarquable par", action qui pourrait parfaitement convenir à un lieu particulier.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
« Ker » signifie « petit bourg » en langue bretonne, et Cadélac est le nom d'un village situé au cœur des Côtes d'Armor. L'histoire de la marque commence ici, à Cadélac, où un pâtissier décide de créer une petite unité de fabrication dans le sous-sol de sa maison.
Plou- est un appellatif toponymique préfixé d'origine bretonne qui a pour sens « communauté » puis, par extension, « paroisse ». Il procède du moyen breton ploe, lui-même du vieux breton pluiu. Ce dernier terme est emprunté au latin plebs, plebis, « paroisse ».
Yann (prononciation traditionnelle « Yan-n » [jɑ̃n] cf. lann) est un prénom breton, équivalent au prénom Jean en français (voir ce prénom).
Voilà la star bretonne ! Dans la région, le nom de famille Le Gall est le patronyme le plus représenté depuis un siècle, selon le fichier des noms de l'Insee.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Reprenons : ti (anciennement orthographié ty), c'est la maison d'habitation, à laquelle on donne parfois un nom particulier. Ainsi, ti bihan mamm-gozh signifie « la petite maison de grand-mère ». Kêr est, quant à lui, l'élément le plus courant de la toponymie bretonne.
Ty et Ker en breton
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville ! Ti signifie également « maison ».
Le noir pour les pays gallo : Rennais, Nantais, Dolois, Malouin, Penthièvre ; le blanc pour les pays bretonnants : Léon, Trégor, Cornouaille, Vannetais. Un drapeau synonyme de diversité et d'unité.
mabig, merc'hig, & dim.
Le mot ti (ou ty), maison, a donné un dérivé tiegezh qui désigne la famille, celle qui habite sous le même toit. La famille au sens large, qui regroupe toutes les parentés, est désignée par le terme familh qui est un emprunt au français.
C'est ainsi que le Moyen Âge a vu se développer le surnom de « le Gall », l'homme qui n'était pas breton, l'étranger, celui venu d'au delà les frontières du duché de Bretagne, du latin Gallus, « Gaulois » qui est resté dans le nom des Gallos, les Bretons de langue française.
L'hermine héraldique, la queue d'hermine stylisée, devient l'emblème de la Bretagne, comme la fleur de Lys symbolise le Royaume de France.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
En breton, chien se dit ki (un chien, ur c'hi ; une chienne, ur giez…
En savoir plus. « Karantez », c'est « l'amour » en breton.
Pour certains, la présence des 11 hermines sur le drapeau breton symbolise le clergé dans cette région où le catholicisme était très présent, pour d'autres, elles représentent les saints de la région bretonne.
Étymologie. Du moyen breton mam.
GRAND-MERE GRAND-MÈRE : MAMM-GOZH f. -où-k. (loc. mamm-baour), dim.
Le nom de famille est le nom de naissance sauf en cas de changement de nom. Par exemple, un changement de nom après une adoption simple ou une adoption plénière, ou un changement de nom pour motif légitime. le nom de famille correspond à l'ancien nom patronymique, expression aujourd'hui supprimée.
Mari est un prénom breton équivalent de Marie, parfois Mai par contraction, orthographié Maï en français.
AMITIE AMITIÉ : MIGNONIAJ m., & -niezh f. parf.