Chaque élément possède un mouvement naturel de translation rectiligne par lequel il regagne son lieu naturel lorsqu'il en a été séparé par violence : les lourds (la terre et l'eau) vont vers le centre de la Terre, confondu avec le centre de l'univers ; les légers (l'air et le feu) se dirigent vers la périphérie du ...
La gravité est une force qui agit sur un objet qui tombe - en fait c'est ce qui fait tomber l'objet - en l'attirant vers le centre de la Terre, direction que nous appelons "le bas". Aussi longtemps que l'objet est en l'air, la gravité agit sur lui, l'incitant à tomber de plus en plus vite.
Nous sommes constamment attirés vers la Terre en raison de sa force de gravité. C'est la raison pour laquelle nos pieds finissent toujours par toucher le sol. Que nous soyons en contact direct avec la Terre ou légèrement éloignés d'elle, notre planète exerce sur nous sa force de gravité.
Pour Aristote, la chute des corps dans l'air est un phénomène analogue qu'il explique en ayant recours aux quatre éléments d'Empédocle. Ces éléments sont, du plus léger au plus lourd, le feu, l'air, l'eau et la terre. Ces quatre éléments sont présents dans chaque corps mais en proportions différentes.
Un objet lourd compresse plus d'air sous lui
Plus il accélère, plus la résistance de l'air augmente. Or un objet lourd pourra vaincre une compression supérieure et aller plus vite. Une balle de tennis tombe donc moins vite qu'une boule de pétanque.
La chute libre est le mouvement vertical effectué par un objet lorsqu'il ne subit que l'effet de la force gravitationnelle. Si on néglige le frottement de l'air, un objet qui effectue un mouvement de chute libre subit toujours une accélération de 9,8m/s2 9 , 8 m/s 2 orientée vers le sol.
La relativité générale et la gravitation.
Son point de départ est le fait que tous les corps lâchés à la surface de la Terre tombent avec la même accélération, indépendante de leurs masses.
Situation de l'activité Dans l'Antiquité, le modèle d'Aristote expliquait que les objets chutent pour rejoindre leur élément d'origine : la terre. D'autres modèles plus élaborés lui ont succédé. Aujourd'hui, la chronophotographie permet d'identifier facilement les aspects importants de la chute des corps.
Pour que la pomme tombe vers le bas, elle doit être attirée par une force. Cette force, la gravité, était encore inconnue avant que Newton n'élabore la loi de la gravitation universelle. En gros, cette loi dit que tous les objets s'attirent les uns les autres.
V = gt est l'équation utilisée pour calculer la vitesse durant la chute libre. Dans cette équation, « V » correspond à la vitesse de chute en mètres par seconde, « g » à l'accélération gravitationnelle en mètres par seconde au carré et « t » au temps de chute en seconde.
Un jour d'automne en regardant une pomme tomber de son arbre, il réalise qu'une force attire la pomme vers la Terre, la force de gravitation. La même que celle qui s'exerce sur la Lune. Or la Lune ne tombe pas sur notre tête car elle tourne autour de la Terre.
Le phénomène gravitationnel est créé par l'interaction entre deux corps. La force de gravité qui agit sur l'humain lorsqu'il est sur la Terre est la résultante de l'interaction entre la Terre et le corps humain.
Ainsi, la Terre attire tous les objets vers elle. Lorsqu'on lâche un objet, il tombe: cette action exercée par la Terre est appelée la pesanteur. A ne pas confondre avec l'apesanteur !
Pourquoi la balle tombe-t-elle ? La balle tombe car elle est soumise à l'attraction gravitationnelle exercée par la Terre.
L'inertie est la résistance qu'un corps massique oppose au changement de son mouvement. Le principe d'inertie énonce que lorsqu'un corps massique est soumis à des forces qui se compensent, ou à aucune force, alors le corps massique est soit au repos, soit animé d'un mouvement rectiligne uniforme.
La force gravitationnelle est le phénomène de réaction physique qui cause l'attraction mutuelle entre deux corps. La Lune tourne autour de la Terre, car elle est attirée par elle. Lorsqu'une personne saute à la corde à danser, elle retombe au sol, car la Terre exerce une attraction sur cette personne.
C'est la vitesse de la Terre qui l'empêche de « tomber » sur le Soleil (car elle est attirée par le Soleil). Sa vitesse moyenne de 29,783 km/s (ou de 107 220 km/h) a tendance à la faire quitter son orbite actuelle (sans le Soleil, elle irait « tout droit »), mais la gravité du Soleil la retient.
- les planètes s'attirent les unes les autres et sont donc en équilibre : voilà pourquoi la Terre ne tombe pas. - et le fait que les gens qui sont aux antipodes ne tombent pas (nous sommes attirés par cette énorme boule, nommée Terre, qui est sous nos pieds).
Mais il expose aussi et surtout sa théorie de l'attraction universelle. Les corps s'attirent avec une force proportionnelle au produit de leur masse et inversement proportionnelle au carré de la distance qui les sépare.
Loi selon laquelle, en un même lieu et en absence de résistance de l'air, tous les corps ont le même mouvement de chute libre s'effectuant avec la même accélération g, quel que soit le corps pesant. (g est l'accélération de la pesanteur au point considéré.)
À partir de cette relation, il est possible d'établir que l'accélération est inversement proportionnelle à la masse. Pour deux objets de masses différentes sur lesquels on applique la même force, l'accélération sera plus grande sur l'objet le plus léger.
Un solide est en chute libre s'il n'est soumis qu'à son poids . C'est ce qui se passe si on supprime l'air dans une enceinte pour y étudier la chute d'un solide dans le vide (au voisinage de sol de la Lune, sans atmosphère, toutes les chutes sont libres).
Pour les «scientifiques» de l'Antiquité, c'est le marteau qui arrive au sol bien avant! Aristote pensait que plus une boule était massive, plus elle tombait vite: «une boule de fer tombera 100 fois plus rapidement qu'une autre boule 100 fois plus légère».
La pomme et la Lune sont toutes les deux en chute libre.
La masse est un invariant, elle n'augmente pas avec la vitesse. La notion de "masse relativiste" qui dépend de la vitesse est une notion dépassée que plus personne n'utilise sérieusement. si on supposait qu'en relativité, la masse était multipliée par .