Elles volent plus bas lorsque le plafond est bas et couvert que lorsque le ciel est dégagé, et volent généralement plus bas au printemps qu'à l'automne. Particularités : Les Bernaches se tiennent près de la mer sur le littoral et les côtes.
C'est là qu'elles ont passé l'hiver, à la chaleur, dans les refuges des états côtiers entre les Carolines et l'état de New York. Elles sont en route vers le Grand Nord du Québec. C'est dans les basses terres des baies de James et d'Hudson et des côtes de l'Ungava qu'elles terminent leur migration.
Ces populations, qui nichaient dans un habitat s'étalant de la région des Grands Lacs aux Rocheuses, migraient juste assez vers le sud chaque hiver pour trouver de la nourriture et des eaux libres de glace.
Il s'agit pourtant de deux oiseaux totalement différents, la bernache étant un oiseau aquatique avec des pattes palmées et un bec rond comme ceux d'une oie alors que l'outarde est un oiseau terrestre avec des pattes non-palmées et un bec pointu ressemblant à ceux d'une poule.
Au printemps, en provenance entre autres des Carolines aux États-Unis, elles migrent vers le nord dans les tourbières boréales et sur les lacs et les étangs d'eau douce jusqu'à la Baie d'Hudson.
Espèce nuisible
Face à la multiplication de l'espèce sous nos contrées, la Bernache du Canada est désormais considérée comme une espèce exotique envahissante. Elle est classée comme nuisible et chassable, car ses excréments polluent les sols et les cours d'eau.
Oui. Seule le détenteur d'un permis peut manger les bernaches abattues, il ne peut pas les donner à quelqu'un d'autre.
Pourquoi les outardes crient en vol ? Nombre d'oiseaux — comme les bruants, les parulines et les grives — évitent les prédateurs en volant la nuit vers le sud, à destination des États-Unis, de l'Amérique centrale, des Caraïbes, et même de l'Amérique du Sud, pour prendre leurs quartiers d'hiver. …
De nombreux oiseaux lancent de simples « cris en vol ». Ceux-ci permettent sans doute d'informer les autres oiseaux de l'endroit où ils se trouvent pour éviter les collisions.
On appelle couvée l'ensemble des oisons d'un couple de bernaches. La période d'élevage des oisons, soit de l'éclosion jusqu'au moment où ils peuvent voler, dure environ deux mois.
En octobre, quand le sol commence à geler, elles s'envolent pour passer l'hiver plus au chaud, sur la côte est des États-Unis. La plupart d'entre elles se donnent rendez-vous entre la Caroline du Sud et l'État de New York, et principalement sur la péninsule Delmarva (Delaware, Maryland, Virginia).
En effet, une moitié de l'hémisphère cérébral dort pendant que l'autre moitié est en plein éveil. La bernache du Canada, communément appelée outarde, ne dort au besoin, que d'un seul œil. Cette particularité lui permet de monter la garde sur ses oisillons tout en se reposant.
Lieu de vie :
L'outarde canepetière vit dans les milieux ouverts à végétation haute, les steppes, les prairies, les champs cultivés.
Alimentation : La bernache du Canada adopte un régime alimentaire végétarien. Elle se nourrit principalement de céréales, d'herbes, de graminées, de baies et de plantes aquatiques.
Les outardes ne sont pas dans la famille des oies. Au lieu d'avoir un bec qui ressemble à celui d'un canard, leur bec est pointu. La grosseur des outardes est environ du même ordre de grandeur que celle de la bernache.
Chaque année, au cours du mois de mars, les bernaches nonnettes (Branta leucopsis), des sortes d'oies, quittent les régions tempérées et migrent vers le Nord pour se reproduire.
Outarde kori- Ardeotis kori Les cris sont rares dans cette famille, mais l'Outarde du Bengale (Houbaropsis bengalensis) émet un « chik » répété au cours des parades de menace.
Elle niche dans l'Ouest de la Sibérie, sur la péninsule du Taymir, où ses colonies s'installent dans les parois et escarpements rocheux des côtes, du mois de mars à octobre et migre en Europe occidentale afin d'y trouver des conditions d'hivernage clémentes répondant au mieux à ses exigences.
Les oies bernaches se donnent rendez vous en Bretagne pendant quelques mois d'hiver (de novembre à mars). Ces oiseaux migrateurs quittent la Sibérie en novembre et y repartent fin mars pour se reproduire et nicher (mai à juin).
À l'aube et au crépuscule, l'augmentation ou la diminution de la luminosité provoque des changements neurologiques dans leur cerveau, ce qui stimule l'activité vocale de certaines espèces. C'est ce qui explique les «chœurs des oiseaux» au lever du jour.
Les oies de derrière crient pour encourager celles qui sont à l'avant, afin qu'elles gardent leur vitesse. (Nous aussi devons nous encourager mutuellement quand les difficultés nous semblent insupportables).
Laisser pousser les herbes naturelles à une hauteur minimum de 1 pied sur la pente de la berge aux endroits où la Ville ne peut respecter la zone de 10 m; Modifier l'habitat et empêcher l'accès en mettant une clôture de 1 pied, 1,5 pied de hauteur (et possibilité de laisser pousser l'herbe);
On la faisait souvent braiser avec des légumes, des pommes ou des pruneaux, ou en la préparait en pâtés divers comme le cipaille, en compagnie de viandes domestiques. Enfin, le civet d'outarde se pratiquait aussi dans le Bas-Saint-Laurent.
Les bernaches qui migrent et celles qui restent
« La plupart des populations de bernaches du Canada se reproduisent dans des régions nordiques éloignées et migrent vers le sud pour y passer l'hiver : elles ne sont présentes dans le sud du Canada qu'au printemps et à l'automne.