Les racines de la pauvreté se trouvent dans une répartition inégale de la nourriture, des terres et du capital. Les pays en développement se ressentent encore des maux du colonialisme, quand d'énormes quantités de ressources et de richesses nationales étaient transférées aux pays industrialisés du Nord.
Ce sont l'innovation technologique, les investissements dans le capital physique et humain, un faible niveau d'inflation, la stabilité politique et l'existence d'une économie de marché décentralisée.
La pauvreté est un fléau mondial. Alimentée par les crises financières, elle est aussi le résultat d'un héritage historique (les colonies) et même des aléas climatiques. Certains pays, comme le Brésil, ont décidé de réagir et ont pris des mesures pour lutter contre les inégalités.
Bien qu'elle soit en hausse en milieu urbain, la pauvreté en Afrique est avant tout un phénomène rural. Elle est liée au faible niveau d'instruction, au mauvais état sanitaire et aux taux élevés de fécondité. Elle a également des dimensions spatiales considérables, d'où les grandes disparités sur le continent.
Même après l'indépendance des pays africains de leurs anciens colonisateurs européens, les investisseurs étrangers continuent à posséder beaucoup de terrains et mines, ce qui perpétue le colonialisme. Cela empêche les communautés locales de tirer pleinement parti de leurs ressources naturelles.
L'homme considéré comme le plus pauvre du monde est un Indien du nom de Manoj Bhargava. Il est né en 1953 à Lucknow, en Inde, et a grandi à Philadelphie, aux États-Unis. Après avoir obtenu un diplôme en entrepreneuriat, il est devenu un entrepreneur prospère dans l'industrie des boissons énergisantes.
Les ménages pauvres ont particulièrement pâti des baisses de revenu, des pertes d'emploi et des interruptions de travail enregistrées pendant la pandémie. Les femmes, les jeunes et les travailleurs informels et à bas salaires, en particulier dans les zones urbaines, ont été parmi les plus durement touchés.
Mais la comparaison à l'échelle de l'Europe permet d'en dégager trois formes élémentaires : une pauvreté intégrée, une pauvreté marginale et une pauvreté disqualifiante, renvoyant chacune à une configuration sociale précise.
La pauvreté progresse alors sous l'effet de plusieurs facteurs : la hausse du nombre de familles monoparentales aux faibles revenus et une croissance économique qui demeure historiquement faible avec pour conséquence un niveau de chômage élevé.
Sergueï Ivanov. Son patrimoine : – 2 millions d'euros.
L'intégration sociale, la réduction des inégalités, la hausse de la productivité et un environnement favorable comptent parmi les mesures essentielles à la mise en place de ces politiques.
– des critères économiques : agriculture prédominante mais peu productive, industrialisation inexistante ou faible, importance du chômage et du sous-emploi, extraversion de l'économie, faiblesse du niveau de vie pour la plus grande partie de la population.
L'économie française s'appuie sur des secteurs puissants et dynamiques : L'agriculture a connu un développement spectaculaire depuis 1945. La France est aujourd'hui la 1re puissance agricole de l'Union européenne. Elle produit et exporte massivement (blé, viande, produits laitiers, fruits, vin…).
C'est pourquoi l'économie d'un pays dépend de l'économie des autres pays. Plus un pays produit de biens, plus il vend ces biens, et plus il est riche. On dit alors de ce pays qu'il est en période de croissance. À l'inverse, il est en perte de croissance quand il produit moins et qu'il vend moins !
La pauvreté, c'est aussi ne pas pouvoir participer à des activités récréatives, ne pas pouvoir envoyer ses enfants en excursion ou à une fête d'anniversaire avec leurs camarades de classe, ne pas pouvoir payer les médicaments en cas de maladie. Ce sont là autant de conséquences de la pauvreté.
La pauvreté n'est pas le fruit du destin, elle est une conséquence de l'égoïsme. Il est donc essentiel de mettre en place des processus de développement qui valorisent les capacités de tous, pour que la complémentarité des compétences et la diversité des rôles conduisent à une ressource commune de participation. »
La pauvreté rend des gens malades, cause de la souffrance, rend difficile l'accès à l'éducation et nuit à la capacité des personnes qui la vivent de réaliser leurs légitimes aspirations. Elle empêche des citoyenNEs de contribuer pleinement à la société. Et toute personne a droit à la dignité, qu'elle travaille ou non.
En France, une personne confrontée à la pauvreté vit une quinzaine d'année de moins qu'une autre de milieu aisé. La santé des plus pauvres est mauvaise et ce handicap se cumule aux précédents pour rendre difficile leur sortie de la pauvreté.
Sous un bon gouvernement, la pauvreté est une honte; sous un mauvais gouvernement, la richesse est aussi une honte.
Être pauvre n'est pas un choix mais une conséquence. La misère humaine, où se côtoient les nœuds de la pauvreté subie, montre une fracture sociale qui ne cesse de croître et avec cette période de crise, il est encore plus stigmatisant et dévalorisant d'être pauvre.
En revanche, Françoise Bettencourt Meyers (et sa famille) - douzième fortune mondiale avec 86,5 milliards de dollars - reste pour la troisième année consécutive la femme la plus riche du monde. Fille unique d'André et Liliane Bettencourt, la Française a hérité du numéro un mondial de l'industrie cosmétique : L'Oréal.
Selon Money, qui assure avoir passé "des heures" à interroger des économistes et des historiens pour parvenir à comparer les fortunes à des époques différentes, l'homme le plus riche de tous les temps est un Africain : Mansa Mousa (aussi appelé Kankou Moussa), dirigeant de l'empire du Mali de 1312 à 1332.