En général, après 60 ans, les personnes ont tendance à moins dormir la nuit. Ce manque de repos est compensé par des siestes en journée. Le fait d'être atteint d'hypersomnie ou de somnolence diurne indique que le. Cette durée allongée peut éventuellement cacher une maladie comme une démence, type Alzheimer.
L'hypersomnie idiopathique est une maladie rare . Elle débute avant 25 ans et touche les deux sexes et peut prendre deux formes : Avec allongement de la durée du sommeil, elle entraine une somnolence diurne excessive et un ou deux endormissements quotidiens.
Contrairement aux idées reçues, le fait de dormir beaucoup n'est pas le propre des seniors. Il se pourrait même que cela soit lié à une altération des fonctions mnésiques dans le cerveau. Cette dégradation peut être le signe avant-coureur d'un état de démence ou de la maladie d'Alzheimer dans les 10 années à venir.
Chez les personnes atteintes, on constate cependant l'accumulation de deux protéines : la Tau et la β amyloïde. Des chercheurs américains, de l'université Mayo, ont constaté qu'il existe un lien entre l'accumulation de cette dernière et un excès de sommeil dans la journée.
Selon une étude réalisée par la NSF - National Sleep Foundation - une personne âgée a besoin de 7 à 8h de sommeil pour éviter le risque de fatigue dans la journée.
Pourquoi les personnes âgées se lèvent-elles plus tôt ? Le sommeil nous est indispensable. Pendant que nous nous reposons, l'organisme se régénère et recharge les batteries. Cependant, on note que plus on avance dans la vie, moins le besoin de sommeil est important et plus les personnes se lèvent tôt.
Les troubles du sommeil sont, en effet, très fréquents chez les malades d'Alzheimer. Ces troubles affectent fortement la qualité de vie du patient et engendrent une fatigue physique et psychologique du proche aidant. Ne pas dormir la nuit est un problème courant.
En s'approchant de la mort, une personne peut dormir davantage, être somnolente ou être difficile à réveiller. Elle peut tomber endormie même en parlant. Elle peut aussi perdre lentement conscience au cours des jours ou des heures qui précèdent sa mort.
La phase terminale, qui conduit au décès, est souvent annoncée par des signes dits annonciateurs non spécifiques : troubles neuropsychiques (agitation, somnolence), angoisse de mort, modification des téguments : pâleur, teint cireux, respiration bouche ouverte avec chute des mandibules…
On distingue souvent trois stades de démence : déclin cognitif léger, déclin modéré, déclin sévère.
Au départ, à 70 ans, 29% d'entre elles rapportaient de la fatigue; à 78 ans, cette proportion était passée à 53 %; et autour de 85 ans, c'était plus des deux tiers, à 68 % [http://bit.ly/328LxHo].
Les causes de cette perte d'appétit sont multiples : l'isolement social, la perte de goût et d'odorat qui apparaissent avec l'âge, diminution de la sensation de faim, les troubles bucco-dentaires et de déglutition, les traitements médicamenteux au long court, la douleur, les troubles digestifs, les régimes restrictifs ...
La plupart du temps, la fatigue n'est que passagère. Tout rentre dans l'ordre après une bonne nuit de sommeil ou quelques jours de congés. Mais "si la fatigue ne cède pas après un week-end de repos et perdure plus de 15 jours sans cause particulière, il faut consulter un médecin", estime le Dr Cozon.
Une insuffisance cardiaque, une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou une maladie rénale chronique sont responsables de fatigue lorsqu'elles s'aggravent.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Quelle est la définition de "fin de vie" ? Comme le rappelle le ministère de la Santé, une personne est en fin de vie lorsqu'elle souffre d'une affection ou maladie grave et incurable, en phase avancée ou terminale, et donc lorsque son pronostic vital est engagé. Le corps médical ne peut plus la guérir.
12 Le suicide est la troisième cause de décès chez les personnes âgées après les maladies cardiovasculaires et le cancer (soit 3 000 décès par an). Plus on avance en âge, plus le risque est important. Les plus de 85 ans se suicident deux fois plus que les 25-44 ans.
"Les premières heures suivant le décès, le corps a une odeur de viande froide. Cette odeur va évoluer et tendre vers une odeur caractéristique de certains fromages forts comme l'Époisses ou le Maroilles", compare notre interlocuteur.
La procédure collégiale peut être demandée par le médecin, l'équipe médicale mais aussi par la famille et les proches sur le fondement des directives anticipées dont ils seraient dépositaires. La décision finale appartient au médecin qui doit la motiver et l'inscrire dans le dossier médical du patient.
Elle consiste à endormir profondément et durablement un patient atteint d'une maladie grave et incurable pour soulager ou prévenir une souffrance réfractaire alors que le décès est attendu à court terme. Dans tous les cas, l'accès à une sédation profonde et continue est soumis au préalable à une procédure collégiale.
Le stade avancé de la maladie d'Alzheimer est également appelé le « stade grave ». À ce stade, la personne atteinte finit par être incapable de communiquer verbalement ou de prendre soin d'elle. La communication non verbale est de plus en plus importante.
La phase terminale d'Alzheimer
La phase terminale se traduit par la dépendance totale du malade. D'une durée moyenne de 2 ans, cette étape de la maladie conduit au décès du patient. La personne âgée alitée, grabataire, incontinente n'est plus en mesure de communiquer.