Dès qu'une croûte s'est formée sur la plaie et que celle-ci s'est refermée, il est recommandé de continuer à soigner la plaie avec une crème cicatrisante. La dernière étape en cas d'écorchures au genou ou au coude est particulièrement importante.
Généralement, une crème cicatrisante doit être appliquée minimum 2 fois par jour, localement sur la zone affectée.
Pour cela, on peut hydrater avec une crème ou une huile pour ramollir la croûte qui se détachera alors toute seule. Pour résumer, en cas de croûte : ne pas gratter, ne pas la toucher avec des mains sales, l'hydrater, et ne pas masquer avec des produits de maquillage. Ne jamais oublier qu'une plaie est une zone vivante.
Après les premiers soins, le processus de guérison peut être soutenu par des produits favorisant la cicatrisation tels qu'une crème cicatrisante contenant du dexpanthénol.
La cicatrisation en milieu humide adapté est plus rapide, et surtout elle limite les risques de marques lésionnelles. Les cellules se renouvèlent plus facilement dans un environnement légèrement humide, et cela évite l'apparition de croûtes qui peuvent ralentir la fabrication de nouveaux tissus sains.
Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
En effet, la crème Ialuset est l'un des meilleurs soins cicatrisants pour les plaies non infectées, suintantes, aiguës, chroniques ou surinfectées ! Elle est également indiquée pour le plaies du quotidien, les coupures, les coups de soleil et les blessures du quotidien.
La nouvelle peau ne retrouvera jamais une résistance à 100%, mais elle atteindra une solidité de 80% environ 11 à 14 semaines après avoir subi la blessure.
La vaseline va notamment empêcher la plaie de se dessécher et de former une croûte. Et, contrairement aux idées reçues les plaies recouvertes de croûtes mettent plus de temps à cicatriser. Enfin l'humidité prévient aussi la formation d'une cicatrice trop importante, profonde, volumineuse et inesthétique.
Les plaies génèrent souvent une sensation de chaleur au début de processus de cicatrisation, lorsque les globules blancs luttent contre les microbes. Une plaie infectée peut présenter une fièvre localisée continue après les cinq premiers jours.
Le maintien de l'humidité de la plaie accélère la cicatrisation. Les plaies cicatrisent mieux et plus rapidement dans un milieu humide. La formation d'une croûte lors de la cicatrisation en milieu sec ralentit même le processus de cicatrisation et favorise la formation de cicatrices visibles.
Prêter attention à l'aspect de la peau
Deux couleurs vous informent qu'une blessure cicatrise bien : si votre plaie superficielle est rouge, c'est un signe que la cicatrisation est en bonne voie. Si elle prend une teinte rosée et nacrée, votre blessure arrive en fin de cicatrisation !
Ainsi, on évite les complications potentielles comme les infections bactériennes, la réouverture de la plaie causée par les influences externes et les plaies croûteuses, qui pourraient laisser une cicatrice permanente. « Les plaies qui cicatrisent lentement peuvent indiquer qu'on souffre d'une maladie sérieuse. »
La prise en charge des petites plaies et des brûlures superficielles peut être assurée par la pommade Cicatryl. Ce produit de premier recours s'utilise seul, sans désinfection préalable. Un simple lavage à l'eau et au savon suffit.
Toutes les plaies, traitées à domicile ou par des prestataires de soins de santé, doivent être surveillées pour détecter les signes d'infection (aggravation de la rougeur/sensibilité, chaleur, ou écoulement de pus) pouvant se manifester plusieurs jours après le traitement.
Les pathologies vasculaires comme l'artérite, l'insuffisance veineuse chronique, l'hypertension artérielle ou l'artériosclérose réduisent l'aptitude à cicatriser. Le tabagisme entraîne une diminution de l'oxygénation de la plaie et des anomalies de la coagulation dans les petits vaisseaux sanguins.
Trop d'humidité aggrave l'état cutané autour de la plaie. Il faut donc un pansement capable d'absorber tout en maintenant le milieu humide de la plaie et un environnement relativement sec autour de celle-ci pour éviter toute macération qui est source d'aggravation.
La crème cicatrisante est l'un des traitements les plus efficaces pour éviter l'apparition d'une cicatrice. Bien plus qu'une simple crème hydratante, elle accélère le processus de guérison de l'épiderme.
pour une plaie chronique exsudative : on peut recouvrir de pansements pour effectuer le drainage des exsudats et assurer la protection mécanique de la plaie ; pour une plaie productive : on peut utiliser un pansement absorbant sur la plaie exsudative ou des compresses stériles absorbants non adhérentes.
De part ses propriétés, le miel en règle général à des propriétés cicatrisantes. De ce fait, tous les miels se valent pour soigner une plaie. Le miel a en plus de ces vertus, les vertus de la plante ou de la fleur dont il est issu.
Est-ce que la Bétadine aide à cicatriser ? La Bétadine est un désinfectant, il détruit les germes pathogènes mais il n'aide pas à cicatriser.
Lorsqu'il n'y a plus de croûtes, il faut masser la cicatrice 2 à 3 fois par jour à l'aide d'une crème à base d'acide hyaluronique type Épithéliale A.H. Duo® qui accélère le processus de réparation cutanée, hydrate la cicatrice et permet de l'assouplir en la décollant des plans sous-jacents.
Inversement, à l'air libre, la croûte se forme très vite et empêche les tissus de se régénérer correctement. Il en résulte alors une cicatrisation douloureuse, lente et un fort risque d'en conserver une trace indélébile sur la peau. Mais attention, tout cela ne fonctionne que si l'humidité est bien régulée.
La protection: il est important de protéger la plaie des agressions extérieures afin de permettre une cicatrisation optimale. Couvrez votre plaie avec le pansement en tissu ou le pansement stérile Elastoplast qui convient le mieux à vos besoins.