Des processus plus complexes Certains produits issus d'une industrie bio sont plus chers qu'un produit venant d'une entreprise peu soucieuse de l'environnement. L'explication de ces tarifs est simple : La culture de matière première est raisonnée : pas d'engrais chimiques donc les rendements sont plus faibles.
Il s'agit d'un mode de production qui nécessite plus de main d'œuvre et peut présenter des rendements plus faibles. Ce surcoût peut être diminué par l'achat de produits bruts, de saison et locaux.
Aussi, les produits écologiques que l'on achète sont généralement moins coûteux (tant sur le plan financier que personnel), car en plus d'être moins dispendieux dans leur impact sur la durée, ils nous assurent également d'un espace de vie sécuritaire et sain, loin de la toxicité des produits chimiques!
L'agriculture biologique, de par ses pratiques culturales, permet de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique d'une part en limitant les rejets polluants et d'autre part en stockant davantage de CO2 dans le sol.
- Le refus d'utiliser des intrants chimiques préserve les sols et les nappes phréatiques. - L'agriculture biologique consomme moins d'eau et d'énergie que l'agriculture dite "conventionnelle". Inconvénients : - Les rendements de l'agriculture biologique sont moins importants que ceux de l'agriculture conventionnelle.
L'agriculture biologique tient compte des incidences des méthodes de production sur l'agrosystème sur le moyen et le long termes. Elle vise à produire des aliments tout en créant un équilibre écologique en vue de réduire les problèmes de fertilité des sols et de ravageurs.
Lorsqu'il est pratiqué de manière volontaire, le greenwashing dénote d'un manque de volonté à faire ce qui est nécessaire pour amorcer la transition écologique de notre société. Non seulement l'entreprise fuit ses responsabilités, mais elle induit les consommateurs en erreur.
Acheter un produit écologique, c'est bien, mais toujours faut-il que son emballage le soit tout autant. Pour être écoresponsable, il doit être conçu avec moins de matières, être composé de matières recyclées et être recyclable. Pour savoir si c'est le cas, il suffit de trouver le symbole apposé sur l'emballage.
En cas de greenwashing, la publicité est censurée et l'entreprise doit payer une amende, mais également communiquer sur cette sanction. C'est donc à la fois un risque financier et réputationnel qui pèsent sur les entreprises qui ne respectent pas les obligations fixées par la loi.
C'est aussi une fierté de savoir que nos produits vont être valorisés en produits de qualité. » « Biocoop nous permet de nous structurer afin de fournir nos consommateurs en viandes de qualité et tout en transparence, et d'assurer, à nous paysans, une sécurisation de nos productions.
Un gros travail est réalisé dans Biocoop sur la sélection des produits, les garanties apportées (aussi bien au niveau de la qualité des produits que des méthodes de production), la construction des filières avec les producteurs… La qualité et l'exigence ont un prix !
En 1ère position : le caviar d'Almas
La rareté de l'esturgeon beluga albinos et la demande croissante pour cette délicatesse culinaire font du caviar d'Almas l'aliment le plus cher du monde, atteignant un prix exorbitant de 25 000 € le kilogramme.
Yves Rocher …
Bien connue aussi dans le secteur de la cosmétique solide, Lush est aussi accusé de greenwashing de par la contradiction de son discours et les ingrédients utilisés … Vous comprendrez donc pourquoi vous ne trouverez pas ces produits sur le site de LaChouettePlanete.
Réchauffement climatique, appauvrissement de la biodiversité, diminution des ressources naturelles… Les enjeux liés à notre environnement sont une source de préoccupation majeure, non seulement en France, mais aussi dans le reste du monde.
(Anglicisme) (Marketing) Pratique consistant à ridiculiser les pratiques et les opinions écologistes et à se moquer de certains comportements jugés excessifs ou ridicules.
Chanvre. Considérée comme l'une des matières les plus écologiques qui existent, le chanvre est de plus en plus présent dans le monde du textile. Sa culture et sa transformation ont très peu d'impact sur la planète, le chanvre ne nécessite pas d'irrigation ni d'engrais. Il participe même à la régénération des sols.
faire des promesses disproportionnées ; utiliser des termes tout en mettant en avant les mots sur lesquels la marque souhaite attirer l'attention comme “SANS” ou à mettre en très gros les chiffres qui l'intéressent ; manquer cruellement de transparence ; s'auto-attribuer des labels créés par la marque elle-même.
En 2018, c'est Burberry qui faisait scandale, surpris en train de brûler des millions d'euros de valeur de stock. L'affaire avait fait une telle esclandre qu'elle a sûrement joué dans l'adoption de cette loi française et peut-être bientôt européenne contre la destruction des invendus…
Les produits sont réalisés à partir de polyester non recyclé et des matériaux loin d'être durable car ils sont considérés comme non biodégradables. Le discours de H&M perd alors en crédibilité auprès des consommateurs. Ces derniers n'ont plus confiance en la marque et aux arguments écologiques mis en avant.
Alors que le marché du Bio a connu une forte croissance ces dernières années, la tendance semble s'être inversée depuis 2 ans. L'Agence Bio a annoncé une baisse du chiffre d'affaires du secteur de 1,3% entre 2021 et 2022 et les premiers chiffres disponibles sur l'année 2022 confirment la tendance.
L'agriculture raisonnée est un système de production agricole dont l'objectif premier est d'optimiser le résultat économique en maitrisant les quantités d'intrants, et notamment les substances chimiques utilisées (pesticides, engrais) dans le but de limiter leur impact sur l'environnement.
En résumé, l'alimentation biologique offre de nombreux avantages pour la santé et l'environnement, car ces aliments ne contiennent pas de pesticides et les méthodes de production préservent les sols et la biodiversité. Cependant, elle peut être plus coûteuse et moins disponible que l'alimentation conventionnelle.
«La faiblesse d'Yves Rocher était de croire que ses crèmes étaient des médicaments. Du coup, les points de vente ressemblaient à des pharmacies», lâche un ancien patron de filiale étrangère. L'Occitane et The Body Shop en avaient profité pour lui faire de l'ombre sur le créneau porteur de la cosmétique écolo.