Les riches ont toujours existé car les inégalités sont naturelles ; En travaillant dur, chacun peut devenir riche ; On critique les riches par jalousie ; Les riches consomment et investissent ; Les riches créent des emplois ; Les riches prennent des risques et innovent ; Plus il y a de riches et moins il y a de pauvres ...
Sans surprise d'ailleurs, les inégalités de richesses, qui sont plus fortes aujourd'hui que jamais, sont mises en lumière en quatre chiffres : les 10% les plus riches détiennent 76% de la richesse mondiale, tandis qu'à l'inverse, les 50% les plus pauvres n'en possèdent que 2%.
Le détail des évolutions annuelles par tranche de niveau de vie fait apparaître une évolution en dents de scie pour les plus pauvres, une forte progression en début de période pour le niveau de vie des plus riches suivie d'une nette diminution et une progression suivie d'une stagnation pour les couches moyennes.
La différence fondamentale de mentalité entre les riches et les pauvres est que les riches ont compris un principe très simple : l'argent fait de l'argent, et l'argent que l'argent fait, fait de l'argent. Les riches voient l'argent comme une opportunité, les pauvres le voient comme quelque chose qui doit être gagné.
À l'origine, l'expression «problème de riche» visait à souligner la tendance, voire l'indécence, qu'ont les privilégiés de ce monde de se plaindre de bagatelles en l'absence de véritables problèmes.
pour rester riches. Risques financiers, politiques, géo-stratégiques, les menaces qui planent sur le patrimoine des plus riches sont nombreuses. C'est pourquoi ils ont besoin des pauvres, afin de leur servir de rempart.
Une multitude de facteurs – stagnation des salaires et baisse de la part des revenus du travail, déclin progressif de l'État-providence dans les pays développés, protection sociale insuffisante dans les pays en développement, changements dans la fiscalité, déréglementation des marchés financiers, évolutions ...
Les différences d'âge, de profession, de situation matrimoniale, d'apparence physique, de niveau d'études, etc. deviennent donc de fait des inégalités dès que la société leur confère une importance et valorise certaines caractéristiques par rapport à d'autres.
Les inégalités qu'elles soient qualitatives ou quantitatives, prennent des formes variées : inégalités de revenu ou de patrimoine, inégalités scolaires, culturelles, générationnelles, genrées, politiques, etc.
Protéger nos services publics et nos retraites
L'éducation, la santé, la protection sociale, les transports, les crèches… nos services publics sont des leviers décisifs pour réduire les inégalités.
Par ailleurs, lorsque les inégalités conduisent à accroître le taux de pauvreté, l'économie souffre d'un déficit de consommation et de productivité (affaiblissement du capital humain et de l'état de santé de travailleurs), qui contraint l'équilibre économique à court terme et la croissance à long terme.
Les inégalités réduisent l'efficacité de l'aide au développement. L'idée que les inégalités ont un impact négatif sur le développement des pays, parce que sources de tensions, de ralentissement de la croissance et de mal-être des populations, est aujourd'hui largement partagée.
Le Burundi conserve la tête du classement, avec un PIB par tête de 307 dollars en 2023. C'est le seul pays du palmarès des 20 nations les plus pauvres de la planète à afficher un PIB par habitant inférieur au seuil de 400 dollars. Il est suivi du Sierra Leone et du Malawi.
1. Caractère, état de choses ou de personnes inégales entre elles : L'inégalité des salaires. 2. Caractère de ce qui n'est pas égal à lui-même ; manque de constance, de régularité ; variation : Les inégalités du débit d'un fleuve.
Une inégalité sociale est le résultat d'une distribution inégale, au sens mathématique de l'expression, entre les membres d'une société, des ressources de cette dernière, distribution inégale due aux structures mêmes de cette société et faisant naître un sentiment, légitime ou non, d'injustice au sein de ses membres.
L'État a un rôle majeur dans la lutte contre les inégalités. Il peut lutter contre les discriminations, moduler ses prélèvements obligatoires pour plus de justice sociale et surtout par la mise en place d'une sécurité sociale collective qui crée un lien de solidarité entre tous les individus.
Les inégalités sociales sont des différences entre individus ou groupes sociauxportant sur des avantages ou des désavantages dans l'accès à des ressources socialement valorisées. Ces ressources socialement valorisées dépendent bien sûr de chaque société, des valeurs de chaque société.
L'une des causes dans le temps et selon les domaines est la part des femmes parmi les artistes, qui a pu être moindre dans certains secteurs artistiques à certaines périodes : par exemple, en 1929, année de la première cérémonie des Oscars pour le cinéma, il y avait peu ou pas de femmes réalisatrices.
Ce n'est pas absolu, mais comme les fréquentations que tout le monde a, sont souvent issues d'un milieu peu ou prou similaire, de fait les riches se fréquentent entre eux. Partageant les mêmes aspirations, la même vision sociétale, cela facilite la rencontre des rejetons, ainsi que la préservation des fortunes.
La richesse n'est qu'une illusion qui se cache derrière votre cupidité et votre égo car en réalité, les plus riches sont les plus misérables. Malgré leurs fortunes, l'argent devient toujours source d'anxiété qui contamine peu à peu leur travail, ce qu'ils aiment et leurs familles.
Contrairement à la solidarité des plus pauvres qui permet de mutualisées les risques de la vie, les riches n'ont aucun intérêt à être solidaire. Pourtant, en Europe ils le sont par obligation avec « la sécurité sociale ». Mais ils ne sont pas plus égoïstes que la population ordinaire, à mon avis plutôt moins.
Le Luxembourg est le pays le plus riche du monde, selon un classement réalisé par le Fonds monétaire international. La France ou encore l'Allemagne sont loin derrière.