En effet dès le 19e siècle les riches souhaitent tout logiquement éviter les fumées noires et polluantes issues des usines à charbon. Or il se trouve qu'en France les vents d'ouest sont souvent dominants. Ils poussent les fumées de la ville vers l'est. Ainsi les riches choisissent d'habiter à l'ouest.
Dans le bassin parisien, le vent souffle principalement de l'ouest vers l'est. Les quartiers ouest de la ville étaient donc plus épargnés par les émanations des usines et des ateliers, et c'est ce qui a attiré la bourgeoisie au moment du développement de l'industrie.
La raison était alors double : l'urbanisation plus tardive de l'ouest de Paris permettait de s'offrir de plus grands espaces et l'Ouest offrait plus de proximité avec Versailles.
Selon l'Insee, « 16 % des ménages riches (c'est-à-dire ici ceux situés entre les 10 % et le 1 % des ménages les plus aisés) habitent à Paris ou dans les Hauts-de-Seine ».
La Tuque, en Haute-Mauricie, est la championne.
Les agglomérations de Grenville et Lachute trônent au sommet peu enviable des villes canadiennes où il y a le plus de personnes pauvres. Les ménages québécois continuent d'avoir les revenus parmi les plus bas du pays.
La Grand-Combe, commune la plus pauvre de France, à nouveau épinglée dans la presse : le maire monte au créneau.
Le grand écart dans les quartiers de Bordeaux
En Gironde, Bouliac, sur la rive droite de Bordeaux, arrive en tête du classement. Sa voisine, Latresne, arrive en seconde position.
« Gros caillou », là où se concentrent les plus riches
C'est le cas du quartier dit « Gros caillou » dans le 7ème arrondissement de Paris (entre les Invalides et la tour Eiffel) qui se situe au sommet du sommet du niveau de vie des riches selon les données de l'Insee.
C'est le quartier de Gros Caillou dans le 7ème arrondissement parisien qui met la barre le plus haut avec un revenu de 264.490 euros par an pour faire partie des 10% des plus aisés.
Le 7e arrondissement l'emporte haut la main avec 11 quartiers sur 20 dans le classement, devant le 16e (5 quartiers) et le 8e (2 quartiers). Les 6e et 17e arrondissements ferment la marche dans le top 20 avec un quartier chacun.
L'étude a aussi démontré que les particuliers les plus riches privilégient les placements en Bourse. Ils préfèrent investir dans les obligations qui ont un taux de rentabilité plus élevé au détriment des liquidités qui n'engendrent que très peu de profit.
À Paris, le quartier du Gros-Caillou 6 (7e arrondissement) arrive en première position. Les 10% les plus riches y élisant domicile gagnent au minimum 264 490€* par an. Juste derrière, les quartiers Europe 10 (8e arrondissement, 221 200€* annuels) et Gros-Caillou 7 (7e arrondissement, 212 940€* annuels).
Département le plus pauvre de métropole
L'étude, qui se base sur les revenus médians en 2018 révèle que la moitié des habitants du territoire a un niveau de vie annuel inférieur à 17 740 euros. La Seine-Saint-Denis est alors le département le plus pauvre de métropole, devant le Pas-de-Calais et l'Aude.
Quels sont les signes extérieurs de richesse en France ? Dans son rapport sur « Les riches en France, » l'Observatoire des inégalités considère qu'avec 3.470 euros net mensuels, une personne seule entre dans le club des privilégiés.
Le football est de plus en plus devenu un sport de millionnaires au cours des 10 dernières années.
Paris, la palme des villes les plus sales de France
La propreté ou plutôt la saleté est un vrai problème à Paris. En cinquante la poubelle des ménages a doublé de volume !
#1 Paris, la Ville Lumière.
À l'échelle mondiale, la ville d'Édimbourg (Écosse) a été désignée comme la meilleure ville du monde. « Dans tous les domaines, Édimbourg arrive en tête du classement mondial des villes les plus belles et les plus faciles à parcourir à pied », explique Will Gleason.
Toronto est la ville la plus chère au pays selon cette enquête et s'est mérité la 89e position, soit 36 positions devant Montréal. La ville reine est suivie par Vancouver qui occupe le 108e rang. Derrière Montréal (125e) on retrouve les villes d'Ottawa et de Calgary, qui occupe respectivement la 132e et 141e place.
Des salaires plus faibles. Une productivité inférieure. Une fiscalité provinciale plus gourmande. Cela explique, en partie du moins, pourquoi les ménages québécois disposent d'un revenu disponible nettement inférieur à l'ensemble des ménages canadiens.
Les ménages de la Colombie-Britannique sont les plus riches.
Sans surprise, Vancouver est devenue la première «ville de millionnaires» au Canada : la valeur nette moyenne des ménages est de 1 036 202 $, une augmentation de 7,1 % depuis 2014.